chapitre 16

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Perdu dans ses pensées, Nath fixa un point invisible au plafond, il se rememmora les dernières paroles de sa défunte cousine, celle-ci était brisée psychologiquement que physiquement, ces brutes lui ont prit sa fièreté et lui ont insérer tellement de chose dans la tête en a peine une semaine, il se rappelait de lorsque les gars de son père la retrouver, elle demandait à tout le monde de le pardonner pour ce qu'elle s'apprête à faire sans que personne ne sache qu'elle voulait se suicider.

Nathaniel pousse un énorme soupir et se surpris à imaginer ses retrouvailles avec Nassecka dans divers scenarios les unes plus électrique que d'autres.

Soudain une idée germea dans son esprit et il passa un coup de fil à un ami qui lui droit un petit service, si on pouvait appeller ça ami vu les circonstances qui les ont rapprochées.

Une voix rauque se fait entendre à l'autre bout du combiné et l'arracha de ses souvenirs:
- Le grand Nathaniel Marlone...
-Georges... repond-il froidement.
-Je sais que tu ne m'apprécies pas mais pourrais-tu être plus gentil vu que c'est toi qui m'a contacté. Lança son interlocuteur le ton glacial.
-J'ai besoins de toi.
-Enfin ce jour est arrivé, j'en pouvais plus de tes menaces chers cousins.
-Je n'ai aucun lien de parenté avec toi Georges, on ne va pas discuter de ça encore une fois, j'ai pas le temps.
-Parles.
-J'ai une amie qui s'est faite kidnapper, je t'enverrai les informations necessaires par messages, je veux que tu la retrouves avant la fin de la semaine. C'est quelqu'un de cher à mon frère et je ne veux pas que le nom de ma famille soit inclus dans sa libération.
-Un membre de ta famille?
-Non une amie je te dis.
-Simplement une amie? Tu ne m'auras pas contacter juste pour une amie de ton frère.
-Oui mec, limiter les sequelles autant de fois possible, ok.
-D'accord Nathaniel, je te ramène ta femme ou celle de ton frère et puis on est quitte.

Nathaniel lache un soupir las à travers le combiné et lui raccrocha au nez avant que les choses ne dégenèrent entre eux. Et lui envoya les informations comme promis ne voulant pas perdre de temps.

Tout à coup quelqu'un rentre en furie dans son bureau, en entendant la voix de sa secretaire courrir derrière celle-ci

-Je suis désolé monsieur, elle...elle...

-Ne vous inquietez pas Magalie, je vais m'en occuper.

Magalie part une main sur le Coeur laissant la nouvelle venue en compagnie de son patron ennervé en jujant par le ton qu'il vient d'employer avec elle.

- Que me vaut ta visite Adrianna?

- Bonsoir mon amour, j'avais envie de te voir vue que tu n'as pas beaucoup de temps pour moi ces temps-ci.

-Combien de fois devrais-je te dire de ne pas me déranger au travail pour ces futilités?

-Je sais tresor mais tu ne peux pas m'en vouloir, tu me manque et depuis que j'ai appellé chez toi qu'une fille m'a répondu tu ne répond plus à mes appels, je devrais savoir si tu m'as cocu.

- T'es sérieuse Adrianna, tu sais comment je fonctionne, si ça aurait été le cas je te l'aurais dit, c'était une cousine qui séjournait chez moi qui t'as répondu. Que vais-je pouvoir faire pour toi là maintenant. Dit celui-ci en se demandant pourquoi il ment au sujet de l'appel, il se doute bien que c'est Nassecka qui y a répondu.

Elle saisit la perche et s'avance vers lui avec sa démarche féline auquelle seulement elle connait le secret, c'est dans ses moments-là que Nathaniel se disait que son père a bon gout, cette femme peut l'accompagner partout, elle est charmante, bien entretenue, élégante et pleine de ruse mais pourtant elle lui manque quelque chose, quelque chose que Nathaniel n'arrive pas à trouver, cette chaleur qu'il ressentait au creux de son organe quand Achelie était proche de lui et ce petit bond dans son Coeur en appercevant Nassecka ; entre temps Adrianna fut déjà aupres de lui, elle s'assoit sur le bureau, lui exposant ses longues jambes nues sous sa petite jupe en tailleur

-On peut s'amuser ici Nath, t'es tout tendu, je sais qu'il y a beaucoup à faire mais je suis la maintenant.dit-elle en essayant de l'embrasser.

Nathaniel réfusa ses lèvres mais pas pour longtemps car cette femme-là savait comment s'y prendre.

Nathaniel se leva de sa chaise et gagna les lèvres de son partenaire, une de ses bras regagna sa gorge pour la faire basculer un peu plus en arrière et l'autre en bas de son dos, elle enfila une de ses mains sous son bras et commenca a déboutonner sa chemise qui se retrouve quelques secondes plus tard sur la chaise à quelque pas d'eux. Et de suite en suite leurs vêtements s'échouent un peu partout dans la pièce et Nathaniel empoigna son amante par les fesses avant de le soulever et de se retrouver dans la petite piece qui lui servait de salle de bain et tout s'enchainent.

Une heure plus tard, ils sont assis lovés l'un contre l'autre entrain de papoter comme deux vieilles connaisances.

-A mon arrivé tu m'as dit quoi encore papi?

-Quoi bae? Répond-il en souriant.

-C'est pas toi qui ne voulait pas être déranger? Lança-t-elle en rigolant.

-Moi, je ne me souviens même pas. Ils rigolèrent de plus belle avant que ce dernier ne rajoute quelques choses. Ça passe pour cette fois, bref j'avais rien de trop urgent à faire et tu m'as fait plaisir, je me sens super bien mais ne le refais pas sinon tu seras punie.

-Si c'est pour être punie comme tout à l'heure, je le referai autant de fois possible. dit-elle le regard aguicheuse.

-N'y pense surtout pas, imagine-toi que j'ai un rendez-vous

-J'ai compris mon Coeur, je te taquinais simplement. Bon, il faut que je m'en ailles. On se voit chez moi ou chez toi.

-Chez toi de préférence.

Elle l'embrassa sur les lèvres et il va l'ouvrir la porte et claqua une de ses fesses à son passage avant de retourner à son poste.

Et bam, le problème Nassecka lui est revenu comme un flashback, pendant une heure il a reussi à l'effacer de sa memoire, à oublier le gout de ses lèvres sur les siennes, mais une fois de plus son cerveau semble ne pas vouloir se détacher de ce souvenir.

Incapable de se concentrer il ferma tout et décide de rentrer chez lui le Coeur lourd.

Le fils du presidentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant