chapitre 34

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Je suis vraiement désolé de ne rien poster depuis un certains temps. J'avais pas eu assez de temps mais je vais essayer de poster un peu plus régulièrement affin de terminer le livre d'ici fin janvier pour pouvoir me consacrer sur une autre histoire.

Comme d'habitude n'oubliez pas de voter et commenter mes chers lecteurs🌝 vos réactions comptent pour beaucoup.

Encore n'hesitez point de donner des idées pour la suite ou comment est-ce-que vous verrez la fin.

A partir de ce chapitre, il va y avoir le point de vue des protagonistes, soyez attentifs pour ne pas vous perdre.

Votre Kerliloue 🌹bonne lecture
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Elle était là, belle, encore plus belle que la dernière fois où on s'est vu. Et on dirait que mon corps ne la pas oublier comme je le pensais car mon palpitant répond férocement à  sa vue. Et je resent comme la sensation de sa peau sous ma paume, comme ci elle était toujours là et j'ai peur de ça, je ne veux pas me planter encore une fois. Cette femme, si imbue d'elle même, si belle, aucune chance qu'il y a pas déjà quelqu'un. Quelqu'un qui malheureusement pourrait prendre place dans son coeur, cette place que j'ai refusé.

Elle et sa famille saluait ma famille tandisque moi je reste en retrait à la contempler, à admirer ses courbes délicieuses, on dirait que ses fesses ont pris du volume.

-Nathaniel, tu ne salues pas nos invités. Me repproche gentiement ma mère en bonne hôte.

-Pardon, je...je...humm...Bonsoir monsieur et madame Romain, mesdemoiselles Romain...heureux de vous rencontrer.

-Bonsoir jeune homme, le plaisir est pour nous. Repond le père.

-Bonsoir, ravie de vous rencontrer. Continua la mère , alors que les deux filles se contentent de hocher la tête faiblement.

-Bon, venez tous, on va au salon vrignoter un peu, laissante temps aux serveurs de terminer leur boulot.

Ils prennent place au salon et le père Romain commence la conversation, pressé d'en savoir plus

-votre excellence, je suis flatté d'être ici. Et merci encore d'avoir protéger ma fille.

-Oh! Vous inquiettez pas mr Romain c'est mon devoir de protéger chaque citoyen de ce pays et encore plus ceux qui sont cher à ma famille. Dit-il en fixant Nath.
Vous faites quoi dans la vie?
-Je suis professeur. Et ma femme est commerçante.
-C'est bien, et c'est votre dernier fils?
-Marlone bon sang c'est son petit fils. Reprit ma mère amusée.
-Oh! Pardon c'est votre fils alors...
-Thérésa, votre excellence...oui. sourit cette dernière.
-Et vous, Nassecka comment ça va depuis la dernière fois? Continua ma mère

Surprise qu'on s'adresse à elle, ellle ne repond pas sur le champ et son regard se plante dans mes yeux qui n'a jamais cessé de l'observé depuis son arrivé. Elle déglutit et dit:
-Ça va, mercii
   Je vous présente mes excuses pour ne pas vous avoir donner de nouvelle après surtout toi Dan.

Ça me blesse qu'elle ne s'adresse point à moi et qu'elle soit assis dans les bras de mon frère comme s'ils ont toujours été fusionnels, comme des...

-Nathaniel, tu m'écoutes?

La voix de ma mère me ramène à la conversation.

-Tu disais...
-On va passer à table entre temps va montrer les toilettes à Nassecka, celles de ma chambre stp.   Dit-elle avec un sourire complice et j'ai capté que le plan commence. Tout de suite je me lèves et elle fait de même les yeux par terre. Nous nous avançons silencieusement jusqu'à la chambre de ma mère, je lui indique les toilettes toujours en silence.

-Je vais t'attendre ici.
-Je suis une grande fille, je peux me débrouiller après. Répond-elle en colère.

Je lève mes mains en signe d'abandon et je le laisse entrer faisant semblant de partir.
Je me poses sur le lit de ma mère, en pensant à la façon dont je vais essayer de la parler, quelques secondes après elle resort et me fixe durement.

-Je t'avais dit que je....
-Je sais, j'avais envie de t'attendre, tu m'as à peine saluer depuis ton arrivé.
-Tu t'attendais à ce que je te sautes dans les bras. Dit-elle ironique
-Pas vraiement mais....
-Mais rien, on n'a rien à se dire. Maintenant pardon.

Elle traverse la pièce prête à partir mais je la tiens par le bras

-Comment est-ce-que tu vas?

Elle semble surprise par ma question au début puis elle reprend contenance et essaie de dégager son bras mais je reste ferme.

-Je ne voulais pas que ça se termine comme ça.
-C'est trop tard maintenant, t'avais assez de temps pour parler de ça. Je ne veux plus rien avoir avec toi dorenavant.
-Tu peux m'accorder 5mn après le diner?
-Je...
-Nassecka, Nath, on vous attend pour commencer, vous aurez le temps pour parler après.
-Merci Dan. Dit-elle en s'échappant tout de suite.

Je me résignes à attendre une autre occasion, hors de questions qu'elle m'échappe.
Je retournes à table quand j'entends son père mentionner notre retard.

-J'avais pris plus de temps que prévu désolé. Repond-elle.
-Un soucis avec le bébé. Dit son père quand je m'appretait à m'asseoir.
Tout de suite quelques choses s'est passé en moi, je n'arrives pas à mettre de mots là-dessus mais pas bon du tout.

-Quel bébé? Dis-je amèrement alors que Nassecka et sa soeur écarquilla les yeux la bouche grande ouverte et d'autres regard se convergent en ma direction. Personne ne parle, me plongeant encore plus dans la douleur. Mon coeur se serre à chaque seconde qui passe, puis sa mère parla

-Je pensais que vous le saviez, Nassecka a décidé de garder l'enfant de ses agresseurs.

-L'enfant de ses agresseurs dit Dan étonné mais tu n'étais pas enceinte, le docteur a bien dit que tu n'as pas été violé.

-Tu nous as tous menti. Dis-je en colère, incapable de digerer la nouvelle, je ne peux pas passer à coter de ça alors que je l'ai vu nu à plusieurs reprises, on a dormi ensemble, non, et si...
     Depuis quand le sais-tu?

-Elle me l'a dit à son retour de Port-au-prince, soit un mois après et elle entame sa 8e semaine. Repond sa mère.

Un silence de mort se tient sur la table, je la regarde et je vois des larmes couler de ses yeux et mon coeur se serre encore plus et là l'évidence me frappe comme un coup de marteau en pleine tête, je serre les points, je la regardes énnerver, la tête pleine de question.
Puis tout le monde semble avoir une idée à la tête, ils font comme si de rien était puis mon père vient fermer la discussion.

-Bien... je suis heureux que tu l'ai gardé Nassecka, mes felicitations et si tu as besoins de quoi que ce soit appelle-moi ou ma femme. Nous sommes là pour toi et ton bébé. Maintenant c'est l'heure de manger, parlons de choses plus léger.

Tout le monde le remercie et le rituel du repas commence.

Le fils du presidentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant