Le fils du president

CHAPITRE 22

La raison n'y est plus une fois cette phrase fut prononcée, tout n'est que désir et passion, ainsi dans un grognement féroce sa langue se fraye un chemin en elle à la recherche de la sienne.
Elle lui donne accès à ses lèvres et ses mains se perdent sur son t-shirt qu'elle enleva sans perdre de temps pour toucher son torse dur et chaud, qui à son tour l'enflammait.
Il se saisit de ses mains pour les nouer en point au dessus de sa tête lui privant de s'accrocher à quoi que ce soit devenant esclave de ses désires aussi puissant soient-ils.

Les vêtements s'envolèrent de part et d'autre dans la chambre couvrant le bruit de leur souffle qui jusqu'à présent était le seul son venant d'eux, leurs corps se comprennent, s'emboitent et se cherchent dans un silence où chacun ait peur de dire quoi que ce soit qui pourrait compromettre ce moment si attendu.
Dorenavant ce sont les mains de Nassecka qui viennent jouer avec son sexe et ses boules qui pertubent le silence

-Putain Nasse, tu vas me faire sauter les préliminaires. Dit-il la voix emplit de desir.

-Ça ne me dérangera pas, j'ai besoins de te sentir là maintenant.

Il relève la tête pour le fixer avec un sourire ravageant, il admira la jeune femme, les pupilles dilatées, le corps frissonnant sous lui et lui pénétra sec et profond, il s'immobilisa pour lui permettre de s'habituer à sa longueur en appréciant sa respiration haletante et son souffle chaud qui lui balayait le visage.
Elle devient impatiente et arqua les hanches en mordant sa lèvre inferieure pour l'inciter à bouger, ce qu'il fit à la minute suivante. Leur corps se mouvaient au rythme de leur passion, les gemissements se multipliaient, les baiser et les caresses fusent de partout les enmmenant au point culminant avec un orgasme extraordinnaire leur coupant le souffle.
Il s'écrassa sur elle en soutenant son poids d'une main sur le lit avant de se rouler en boule l'emportant avec lui sans se défaire de leur étreinte.
Il la regarda combler, incapable de décrire le moment qu'ils viennent de vivre alors qu'elle garde la tête enfuit dans son torse honte d'avoir autant aimer.

Ayant récupérer sa raison, elle bougea de sorte qu'il le lache mais il ne le souhaite pas

-Laisse-moi rester au chaud en toi. Murmurre-t-il la voie emplit d'une douceur inconnue.

Elle obeit et décontracta ses muscles pour apprécier le calme de la nuit bercer par le bruit de respiration de son amant.