Chapitre V : la routine

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J'ouvre les yeux, tout en essayant de me lever du lit. Je peine à me lever du lit, car tout mon corps me faisait mal. Comme-ci on m'avais battue à mort hier soir. J'étais dans ma chambre, toujours dans les accoutrement d'hier soir.

Hier je suis rentrer peu de temps la discussion avec Jiana. Je ne resta pas longtemps. Quelques minutes après j'étais déjà dans un des club les plus proches. Je me souviens d'avoir beaucoup bu, d'avoir danser, chanter... C'était une soirée dingue, ça m'étonne qu'en ce moment je ne suis pas dans le lit d'un homme, d'un inconnu. Je dois en conclure que j'étais sauver par le gong. Ma très chère cavalière Jiana. Ça a toujours été le cas. Elle me sauvais toujours des situations les plus pénibles, depuis notre première rencontre.

Je me souviens d'avoir pas préparer ma partie de l'exposé, car j'étais aller dans une fête chez une amie, j'avais carrément pas le temps de faire les recherche nécessaires. Mes autres camarades disaient que j'étais paresseux, immature, que j'avais pas le sens de responsabilité... Sachant la vérité, malgré ça je le niais. Juste au moment que j'allais toute avouer elle est  intervenue:

- "En faite on l'a préparer ensemble, elle avait oublier ça partie de l'exposé, alors je lui ai proposé de m'aider à faire le mien, sachant qu'on ajouta un peu plus de détails que prévu.
Déclara-t-elle avec une telle sincérité, que c'était impossible de ne pas la croire."

J'avoue qu'elle a un don pour mentir, d'autant plus avec son visage d'enfant, impossible de ne pas la croire, " la déesse du lycée". Elle a toujours été très gracieuse, elle a un accent très prononcé. Les mecs faisaient la queue pour sortir avec elle, la beauté incarnée, elle semblait si frêle, si innocente, si gentille... contrairement à moi qui était loin d'être gracieuse, j'étais pas pour autant un garçon manqué mais ça a fallu être le cas, si ce n'était l'apparition de mes seins voluptueux, et de la largeur de mes hanches.

J'entra sous la douche tiède que je réclama depuis mon réveil. J'avais besoin de me détendre, de digérer toutes ses tragédies, toutes ces aventures que j'étais en train de vivre. Moi qui pensait tout contrôler, mais d'un coup j'étais complètement perdu Je ferma les yeux pour accueillir les gouttes d'eau qui s'affola sur ma peau, je pensa à cet inconnu. Je me demande quel âge a-t-il ? De qu'elle famille provient-il ...
Je m'embarassais de question que peut-être jamais je ne connaîtrais les réponses. Mais il y a une choses que je suis sûr et certaine c'est que je ne voudrais plus recroiser ce mystérieux inconnu.

Après ma douche, je ne réclamais qu'une seul chose : un bon plat équilibré bien chaud ou un grand burger ou un pizza, une chose du genre. Le seul problème, c'est que je ne sais pas cuisiner, mon dernier essai était de la vraie merde. Mais j'avais une faim de loup.

Je pénétra dans la cuisine, avec l'idée de me préparer un petit sandwich, mais une agréable odeur vient me chatouiller le nez, ça avait l'air si appétissant, si savoureux, si délicieux. J'accélère mes pas pour arriver plus rapidement à destination, la nourriture m'attirait comme un aimant.

_Waawww! Oh my God! Un vrai festin de reine.

Je me precipita pour m'assoire mais une idée me traversa l'esprit.  Qui avait préparer ce festin ? J'avais ma petite idée. Jiana. Ça c'est toute elle. Quel talent !

Je m'apprêtais à touner les talons quand tout à coup je vis la cravate que portais Peterson, qu'est ce qu'elle faisait ici ? Je ne m'attarda pas trop sur la question lorsque Jiana entra dans la pièce.

_ Allez vas-y, n'hésite pas ! Tu as extrêmement faim, non ?

_ Mais on est fa...

_ Voyons c'est déjà oublier ! Me dit-elle toute souriante, laissant paraître ses jolie fossettes.

Quel était belle! Je le disais pas parce que l'odeur de sa nourriture me montait au nez mais parce que c'était la réalité. Elle est d'une grande beauté, avec ses cheveux blonds, ses jolie fossettes, ses lèvres bien dessiner, ses courbes parfaites... Elle méritait bien son surnom ( la déesse de la beauté).

Elle prena aussi une chaise, juste en face de moi. Nous commençons à manger.

_ Qu'est ce que la cravate de Peterson fait ici. Je croyais qu'il l'avait emmener avec lui, non ?

_ Il avait un double, n'oublie pas que nous t'avons attendus plus de quatre heures. Alors le pauve avait quelque chose d'important à régler, il s'était déplacé pendant quelque minutes, il avait retirer son cravate, alors il était passer chercher l'autre chez lui. Je suppose qu'il l'a oublié.

_ okay je vois, je vais le lui apporter demain, se serait une opportunité pour moi de nous rapprocher, n'est-ce pas?

_ Oui t'as raison, me dit-elle toute en ricanant. Vas falloir de donner à fond ma belle.

_ Oui je sais qu'il est en colère. D'autant plus que je l'ai menti.

_ Oui, vas-y explique moi, que c'est il passer ce soir ? Me questionne-elle.

_ J'ai coucher avec un... un inconnu. Lui avoué-je.

_ Ça je le sais, mais il ressemblait à quoi ce fabuleux in-con-nu ?

_ Il était grave beau,  il était d'une couleur caramelle, ces cheveux étaient frisée, il avait les yeux bleus pâles, il avait une de ces corpulence... bref il était grave beau.

Je surpris Jiana qui entendait ma description avec une regard farouche. Comme si j'étais une ado en puberté qui faisait son crise d'ado. Et c'est ce regard là, que je détestait le plus.

_ Quoi tu ne me crois pas ? Et c'est quoi ce regard et ces petites sourires en coin ? Lui questionnai-je.

_ Non c'est rien, c'est juste que je te trouve si fasciné par cet inconnu.  J'aimerais tellement le voir si il correspond vraiment à ce que tu dis il doit être un vrai appolon. Alors dis moi es-tu prêt pour la rentrer, demain ?

_ Oh fait chier ! J'ai carrément oublier cette histoire. J'étais tellement occupé à cette histoire de future mariage que j'ai oublié le plus important.

_ Quoi t'avais oublier que ton conger avait terminer ?

Je poussa un profond soupir.

_ Jiana, pourrais-tu me choisir
Un tenue s'il-te-plaît ma belle.

_ ok j'ai rien à faire pour le moment. Allons-y.

_ Non, en faite j'ai une sorte d'exposer à faire pour demain alors je te laisse. Lui dis-je avant de m'éclipser rapidement de la pièce pour me diriger vers ma chambre.

_ Annaïse ! Oh my God cette fille ! Cria-t-elle.

Je pris mon ordinateur et commença à taper quelque truc sur le suget qu'on m'avait donner pour Noël.

_ J'y crois pas malgré que je ne suis plus au lycée, j'ai toujours autant de devoir moi qui pensais que c'était fini ce truc. Dis-je à moi même.

Je continuais à taper mais sans le vouloir le sommeil m'emporta.

Dring, dring... sonna mon alarme, ce qui me fis sursauter.

_ Je ne me souviens pas d'avoir dormi sur mon lit. Ah, je vois ma très chère cavalière Jiana. Il faudrait que je finisse de m'habiller et de terminer ce soit-disant exposer.

_ Annaïse t'es prête !

_ Non, pas encore. Où sont mes vêtements ?

_ Dans le placard, à droite. Viens déjeuner après.

_ Okay, my girl.

Aprè avoir fini notre petite déjeuner. Le chauffeur nous raccompagna aussitôt.

Nous pénétrons dans la cour de l'université Colombia. Puis nos chemins se séparent, les amis de Jiana l'acceuillait depuis la chambranle de la porte principale.

À mon entrer je vis plusieurs groupes d'étudiants se rassemblent comme pour discuter d'un truc, il cessa leur murmure quand la porte principale s'ouvra et qu'une personne apparaît. Lorsque je me retourne je le vis.

_ Fait chier qu'est-ce qu'il fait ici celui-là ?


Mes Trésors Interdits Où les histoires vivent. Découvrez maintenant