Mes Trésors Interdits

chapitre IX : Adiction

J'ouvre les yeux et me contenta de regarder le plafond. Après la mésaventure de hier soir, je ne voulais même pas passer devant un miroir. J'avais honte de moi. Comment ai-je pu faire une action aussi ignoble? Et si un jour il parvienne à le découvrir. Seul ces pensées viennent m'accueillir de si bon matin.

Je passa la main dans mon visage, comme pour le cacher de quelqu'un. Je sortis du lit et me dirigea tout de suite vers la salle de bain. J'avais pas le temps de m'apitoier sur mon sort car j'avais bien d'autres occupation. J'entra sous la douche assez tiède et laissa l'eau tracé son chemin sur mon visage et sur tout mon corps.

J'en avais bien besoin de cette douche tiède. Je me laissa aller toute en essayant d'élaborer un plan pour me réconcilier avec mon futur mari.

Devrais-je l'inviter à dîner ou lui demander de me pardonner directement. Je pense que l'invité à dîner sera plus correcte, j'en profiterai pour obtenir plus d'informations sur mon mariage avec lui et la raison à laquelle ma famille a autant besoin de notre mariage. Je l'appellerai après les cours pour l'inviter.

Après ma douche, avec ma serviette qui cachait à peine le quart de mon corps j'ouvris mon placard et me chercha quelques choses à me mettre.

Habillé, je rassembla mes affaires, pris mon téléphone qui était toujours au coin de mon lit, d'où je l'avais mis hier soir. Je vérifie mon téléphone et remarqua trois appels manqué de mon père. C'est à ce moment que je me souviens que je lui ai raccrocher au visage. Je suppose qu'il est fâché, je ne lui retourneras pas encore ses appels, je veux pas entendre ses insultes de si bon matin.

_ Waawww, quel miracle ! Tu es déjà préparer. C'est un jour special aujourd'hui ? Exclama Jiana dès que je sorti de ma chambre.

_ Pourtant j'ai dormi très tard hier. Tu vois, il y a un jour pour tout. Lui dis-je tout en descendant les escaliers pour aller la rejoindre au salon. T'es même pas encore habillé. Jiana tu traîne à moitié à poil dans le salon et si quelqu'un débarquait et te voyait.

_ Qui aurait pu imaginer qu'un jour tu me ferais la remarque sur laquelle je ne suis pas encore habillé alors qu'il est 8 heures du matin. Alors que toi tu t'habille d'habitude vers les 10 heures. Allez, fini de manger, je vais m'habiller. Et si quelqu'un apparaît, il aura la chance de m'admirer à moitié à poil. Une chance que seul 0,1% de la population mondiale ont durant leur existence.

_ Oui Jiana, un chance énorme ! Allez plus rapide. Je veux te voir prête dès que j'aurais finis mon petit déjeuner, compris ? Dis-je avec assez d'autorité.

_ Oui chef. Affirma-t-elle, essayant d'imiter un soldat.

Ah Cette fille! Elle a toujours été consciente de sa beauté et de sa sensualité. Encore un de ses qualités, si confiante. On se sent toujours en sécurité avec elle dans les parages. Je lui doit la vie celle là. Ma meilleure amie, ma cavalière, ma cofidente. Elle est tout pour moi. En parlant de confidence, j'ai pas encore raconter à Jiana toute mes mésaventure, je devrais peut-être la mettre au courant dans la voiture.

_ J'ai fini. On n'y va.

_ okay, je n'ai qu'a prendre deux bouchées et je te rejoins. Dis-je avec la bouche toute remplie.

_ Allez viens, gourmande. Dit-elle toute en me traînant par le bras droit.

_ Bah okay. Et j'ai quelques potins à te raconter dans la voiture.

_ Des potins, des potins! Mais qu'est-ce qu'on attend, plus vite. Dit-elle toute en s'agitent dans tous les sens.

_ Ok, tu vas me faire tomber, voyons.

Arriver dans la voiture j'angoissa à l'idée de la raconter tout ce qui se passa dans ma vie en ce moment.

_ Je vais me marier avec Peterson pour de bon cette fois.