Papa regarde ces deux femmes et leurs dira sur un ton ferme.
Samba: Ci jamais l’une d’entre vous lève encore la main sur Romi je vais m’assurer qu’elle ne respire plus. Mon nouveau statut ne me permets plus ce genre d’écart.
Elles font toutes les deux un oui de la tête. Babacar était déçu il ne pensait pas que Samba serait le premier à le pousser à se mêler d’une décision de justice. Le ministre était en colère mais avait déjà approuver sa nomination il ne pouvait plus le retirer de peur de perdre toute sa crédibilité. Samba c’était personnellement excuser mais la faute reste en travers de la gorge du nouveau ministre qui finira par se calmer grâce à sa femme.
De retour à la maison Coumba et Aïda irons se laver. Après sa douche Aïda se rendra chez sa sœur pour chercher sa fille. Coumba était fatiguée la prison l’avais épuiser. Essayant de dormir elle sera réveiller par ces deux filles qui seront contentes de la voir rentrer.
Seyna: Maman tu va bien?
Coumba : Et vous ça va? Vous n’avez pas eu peur seul à la maison? Vous avez manger?
Aïcha: On a acheter des repas dehors quand j’ai essayer de cuisiner j’ai brûlé le riz. Papa nous alors dit d’acheter.
Seyna: Maman ça fait trois jours qu’on a rien manger de bon. J’ai même eu la diarrhée.
Coumba: Dieu mes enfants. Tu va mieux maintenant?
Seyna: Oui maman
Aïcha: Tu peux imaginer que cette sale fille ne voulais pas nous faire à manger. Elle allait manger chez Amina et revenais se coucher. J’ai eu tellement faim hier que j’ai eu le vertige.
Coumba: Laissez là. Je vais m’occuper de vous moi-même
Aïcha: Tu sais ce qu’elle a dit
Coumba: Quoi?
Seyna: Ont lui a dit que tu n’avais pas intérêt à rester en prison par sa faute sinon ont lui en fera voir de toute les couleurs
Aïcha: Elle a dit ne vous inquiété pas elle n’ira pas en prison mais l’aurai aimé aller en prison. Elle nous à même menacer.
Coumba voulais se lever pour moi mais se souvient des mots de son mari et se rétracte. Un calme qui étonne ces filles. Coumba se demandait ce que j’avais voulu dire par là. Le lendemain soir c’était la fête chez nous papa avait inviter ces amies et collègues pour fêter sa nomination. Ils étaient tous dehors à faire la fête mais j’avais interdiction de quitter ma chambre. La plupart de ces amies étaient nouveau. Ils ne savais pas qu’il avait quatre filles et non trois. Ces femmes l’avaient toujours convaincu de ne jamais parler de moi. Et mon père ne voulais pas le faire.
Comment expliquer à ces collègues qui le voyais comme l’homme parfait qu’il avait été quitter par une femme et que cette dernière ne voulais même pas sentir l’odeur d’une personne qui avait le même sang que lui dans sa vie. C’est depuis ma chambre coucher sur mon lit porte fermer que j’entends ma soit disant famille célébrer. Quand je sors pour me rendre au toilette l’une des invitées me demande qui j’étais avant que je ne répond Aïda lui répond ~C’est la bonne.
Je continue mon chemin et l’inviter dira ~je ne sais pas j’ai l’impression de l’avoir vue quelques part je ne sais plus où. Aïda lui répond en souriant ~Tu te promène dans les villages maintenant allons-y. Ces mots ne m’avais pas blesser depuis un bout de temps plus rien ne me faisait mal. Je voulais qu’une chose rendre coups pour coups.
Le jour suivant Marieme voulais qu’on aillent absolument finir notre inscription dans l’université privée mais je ne pouvais pas c’était mon père qui avait les documents de ma bourse. Je lui demande un instant pour aller chercher le document. Assis au salon ils lisaient, discutaient c’était des hommes et des femmes de la famille de Coumba et Aïda. Ces derniers réfléchissait a une manière d’éviter la prison à leur filles
Romi: Bonjour papa
Samba: Bonjour il est trop tôt je ne veux pas de plaintes
Romi: Rien de pareille papa. J’ai besoin des documents de ma bourse pour l’inscription. Je m’y rend avec Marieme
Samba: Assied toi. Tu veux vraiment aller dans cet école?
Romi: Oui papa ils ont un cursus scientifique assez élevé.
Samba: Alors tu dira au juge de laisser le dossier que tu a pardonné à tes mamans pour que le calme revient chez nous.
Coumba et Aïda Sourissent elles savaient que j’adorais étudier. Je le regarde et ma réponse fera comprendre à la moitié de cette pièces que cette maison ne sera plus jamais pareille.
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ROMI Mon Amour (Histoire en cours)
RomanceROMI Sarr avait 5 ans quand sa mère demande le divorce à son père. La mère partira sans vraiment ce soucier du sort de sa fille qui va rester coincée entre les 2 femmes de son père. Vous l'aurez imaginer la petite sénégalaise va vivre l'enfer. Je vo...