ROMI Mon Amour (Histoire en cours)

Episode.14

Elle lui aurais avouer qu’elle était belle et bien la fille de la vidéo. Je la gronde elle me dit de ne pas m’inquiéter pour elle et de redonner une chance à Cheikh. En la voyant parler si sérieusement au téléphone sa belle mère voulais épiée en cachette sa conversation mais Marieme remarque son ombre et change subtilement de sujets. Nous changeons de conversation et parlons de la gentillesse et de l’amour qu’elle recevait dans sa nouvelle famille. Un sujets qui ravira la mère de Marieme qui s’en ira heureuse. En parlant j’aborde la venue de Cheikh et la demande de mon père elle me dira

Marieme : Ne fait pas ça. IL a passer la nuit chez nous ici. Ils ont parler toute la soirée. IL regrette pour de vrai. IL faut savoir qu’il n’a confiance en personne depuis cet histoire de viole.

Romi : C’est vrai j’avais oublié cette histoire mais c’est plus fort que moi maintenant je n’ai plus ce sentiment de sécurité.

Marieme : Laisse le temps faire s’il te plaît. Combien de fois tu a dû plaider ma cause auprès de Lamine. Épouse le et prend ton temps pour lui refaire confiance le mec à merdé oui mais

Romi : Tu a peut être raison, tu me connais tu sais pourquoi.

Marieme : Raison pour laquelle je te dit de ne pas te saboter.

Romi : Ok je vais discuter avec lui plus tard.

Marieme : Et pour Alima ?

Romi : Je ne sais pas j’ai l’impression qu’elle le fait exprès de me faire du mal Marieme pourquoi elle fait ça ?

Marieme voulais me dire la vérité sur ma mère mais elle se souvient de ce que sa mère lui avait dit. Elle se contentera de la défendre et de me dire qu’elle avait eu peur sur le coup. Je ne savais plus quoi penser de ma mère j’étais blesser dans mon amour propre et j’étais inquiète aussi. Parfois elle me faisait peur. En parlant de ma mère c’était la guerre chez elle Yazid pleure à tout bout de chant en criant mon nom. Kader voyant sa femme triste décide de me parler. Le lendemain matin à la sortie des cours je me retrouve en face de lui. IL m’invite au snack et j’accepte. Devant ma bouteille de coca on aurai l’impression qu’il cherchait son courage

Kader : Romi je ne vais pas aller par quatre chemins ta mère est malade. Je crois qu’il est temps que tu comprennes un peu son comportement. Je sais que tu est en colère contre elle.

Je ne répondrai pas je fixe juste mon verre en boudant. IL va sourire un peu en disant

Kader : Tu peux couper le baobab mais tu pourras difficilement le déracinés. Tu est bien la fille de ta mère elle boude de cette façon quand elle n’obtient pas ce qu’elle veut.

Romi : Désolé mais je ne veux plus venir chez vous.

Kader : Je peux te comprendre mais écoute moi et décide ok ?

Un petit oui de la tête m’échappe, le mari de ma mère soupire et me raconte son histoire. J’étais comme collé a la chaise.

Romi : Je comprend mieux mais ce n’est pas une raison pour abandonner sa fille chez des psychopathes.

Kader : C’est à cause de moi non seulement elle mais moi aussi j’étais dans un état second. Je ne voulais pas de toi tu étais là fille de Samba et qu’ont le veuille où non tu lui ressemble. Et il y’a une chose que tu dois savoir.

Romi : Elle a une autre excuse ?

Kader : Ta mère est malade mentalement

Mon verre à failli me glisser des mains. Je le regarde et je me demande s’il mentait mais ce n’était pas son genre. Il continue

Kader : Le psychologue dit qu’elle est atteinte d’un Stress Post traumatique aigus et elle montre quelques petits signes de Paranoïa. Ta mère ne le fait pas exprès de te faire du mal Romi

J’étais sonnet je soupire et vue mon visage il connaissait déjà la question que j’allais lui poser

Kader : Ton père n’en sais rien. S’il le savait il aurait déjà tout fait pour qu’elle se retrouve à trier les ordures dans la rue. Ton père est dangereux pour elle c’est pour ça que j’évitais tout contact avec toi je ne voulais pas prendre de risques.

Tout était clair maintenant chez moi. Les yeux de maman ce jour là tout était devenue limpide. Je voulais la détester mais maintenant c’était moi qui me sentais mal de ne pas l’avoir vue. Même si je l’avais vue je ne voulais pas l’admettre. Quel enfant oserait dire où penser que l’un de ces parents étaient fou. Mon Dieu ma tête brûlait. Kader et moi allons discuter pendant un bout de temps où il m’expliquera tout en détails. J’étais triste pour ma mère mais au moins je savais pourquoi elle m’avait abandonner. Ceci ne diminue pas ma douleur pour autant mais cette vérité la rendait moins douloureuse.