Episode.21

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Sous cette pluie déchaîner je n’avais que mes larmes et ma maudite vie qui passait en boucle devant moi. Pourquoi tant de mépris à mon égard. Ma mère m’abandonne, mon père me livre à la vindicte de ces femmes et de ces enfants. Pour couronner le tout ma meilleur amie m’a jeté comme un torchon. J’en avais marre de cette vie misérable pourquoi moi. Je suis maudite c’est Coumba qui avait raison. Alima et Kader se mettrons à ma recherche. Cheikh qui venait de déposer Lamine n’avais pas envie de rentrer chez lui. Au loin il aperçoit une silhouette il m’aura dépasser avant de s’apercevoir que c’était moi. Ne voulant pas se mêler de ce qui ne le regardait pas il continue sa route. Arriver devant son immeuble c’était plus fort que lui il fait marche arrière pour me retrouver.

Cheikh commence par me chercher du regard et finira par m’apercevoir dans une ruelle. IL arrête la voiture à mon niveau mais je le dépasse. Énerver il pense que je l’avais fait exprès et voulais retourner sur ces pats mais s’aperçoit que j’avais laisser tomber mon porte-monnaie sans me retourner. Il descend le prendre et cours vers moi il dit mon prénom, pas de réponse c’est là qu’il comprend que je n’étais pas dans mon état normal. Ces yeux bascule automatiquement sur mon poignet en sang. Je m’étais blesser en tombant sur le jouet de Yazid. Il me tire par le bras mais aucune réaction. IL ne comprends pas et se poste devant moi me bloquant le passage je me heurte à lui. Il soulève mon mentons vers le haut pour voir mon visage il veut me gronder mais il prendra peur quand il croisera mon regard.

Les yeux Hagard, vide, essoufflé, Cheikh n’avait jamais vue un regard aussi triste et perdue. Je ne le reconnaissais plus je fait juste un petit pas en arrière en disant ~Ne me toucher pas monsieur je suis maudite. Je continue ma route. La pluie devenait plus fort et Cheikh sentais que le vent prenais une tournure dangereuse en voyant la toiture en tôle d’une maison en construction s’envoler. IL se dit ~Je ne peux pas la laisser partir dans cet état. Elle est complètement à l’ouest en plus elle est mouillé. Cheikh cours vers moi pour me rattraper il prend mes mains et là il entend une phrase qui va lui arracher le sol sous les pieds

Romi : S’il vous plaît monsieur tué moi. Je promets que vous n’aurez pas de problème je n’ai personne je suis seul au monde.

Cheikh comprend enfin la gravité de mon état. IL s’arrête un cours instant pour me regarder ne sachant pas quoi faire il se contente de me serrer dans ces bras. Sans qu’il ne comprenne c’était le bon geste. Tout d’un coup j’éclate en sanglots je pleure encore et encore. IL se contente juste de rester debout et de me laisser pleurer dans ces bras. Je pleurais en le serrant encore plus fort dans mes bras tellement fort que ça lui faisait mal au point de l’étouffer mais il ne se défend pas. IL reste là à supporter.

Un crie avec une telle douleur s’échappe de moi. Cheikh ne pouvais pas l’ordonnée et il ne pouvait pas bouger. Dans sa tête une seul question ~Qui t’a fait pleurer. Au bout d’un instant je m’effondre dans ces bras il me porte en direction de sa voiture. IL me dépose à l’arrière du véhicule en jetant un coup d’œil sur mon visage cheikh murmure ~même comme ça tu pleure ? IL remonte dans sa voiture et démarre. Maman et Kader arrivent au même moment leur voiture dépasse celle de Cheikh sans qu’ils ne s’en rendent compte. La vitre de sa voiture était teinter. Kader dira a maman

Kader : On a plus le choix appelle Amina pour savoir si elle est chez elle. C’est la dernière ruelle du quartier.

Maman appel tante Amina il était bientôt 4h du matin. La nouvel choque la mère de Marieme. Elle court sonner chez papa pour savoir ma position mais rien. Elle se souvient que Samba était parti en mission de 2 jours avec son patron. Coumba, ces filles et Aïda ne m’aurait jamais ouvert la porte je serai rester devant la maison sous la pluie. Elle appel chez Leïla mais je n’étais pas chez elle. Ensuite chez Madame Diallo et son mari mais rien.

Issifu, le mari de Leïla Souley et Moussa Diallo montent chacun dans leurs voitures pour arpenter le bord de route priant de m’intercepter. 7h toujours rien avec le temps certains habitants du quartier ont eu vent de la situation tout le monde se mettra à ma recherche. Amina et Issifu se rendent chez ma mère pour savoir la raison de tout ce tam-tam. Marieme qui entre temps c’était réveiller et avais appris la vérité sur Brimata se fait des reproches. De son côté elle appelle Lamine pour lui demander pardon et supplier son aide. En voyant son appel Lamine ne voulais pas répondre mais il se laissera attendrir

Lamine : Qu’est ce que tu veux

Marieme : S’il te plaît ne raccroche pas. Ont peu se voir pitié.

Lamine inspire et lui dit qu’il viendra vers 10h. Amina et Issifu tombe de haut quand ils apprennent la raison de ma disparition.

Amina : Tu est folle Romi ne ferais jamais de mal à ton fils

Alima : Je le sais maintenant j’ai tellement honte. Comprend moi j’ai crû que la vieille disait la vérité

Amina : ROMI n’est pas comme Samba elle est juste sa fille. Allah toi le tout miséricordieux jusqu’à quand tu va les laisser martyrisé cet enfant jusqu’à quand.

Alima : Je crois qu’elle est blesser je n’ai pas fait attention. Je l’ai pousser un peu trop fort. Amina je n’en peu plus aide nous

Issifu : Reste loin de la petite ça suffit maintenant. Dès qu’elle va rentrer elle vivra avec nous. Vous ne méritez pas cette fille.

Kader : Alima je crois qu’il est temps qu’ont lui disent la vérité. Peut-être qu’elle comprendra notre réaction.

Issifu : C’est trop facile vous voulez vous sortir d’affaires en lui racontant le passer? Vous pensez que ça va racheter votre erreur d’hier? Je n’ai jamais voulu me mêler de cette histoire mais avec le temps je considère Romi comme ma fille avec raison nous l’avons élevé ma femme et moi. Rester loin d’elle.

Alima : Issifu tu connais bien la raison

Issifu : Ça ne change rien qu’ont te l’a confier pensant que tu serais différente et qu’elle serait en sécurité chez toi. Déjà pour un simple mensonge tu l’a blesser. Que va tu lui faire la prochaine fois

Kader : Qu’est ce que tu racontes Issifu ne dit pas de bêtises

Issifu : Bêtises? Appelle là fait la venir. Même pas une seul nuit chez vous et nous sommes a sa recherche. C’est une bonne enfants la preuve tout le quartier est à sa recherche. Alors dite moi qui fait peur parmi vous trois. Samba, Toi où Alima. Je suis déçu de vous.

ROMI Mon Amour (Histoire en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant