Episode.17

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Waouh quand elle à faim c'est Romi quand elle est avec sa mère c'est hé toi. Je me retourne en lui disant

Romi : Va voir ta mère

Taïba : Elle dort. Son visage ressemble à un gros ballon

Tout d'un coup je me sentais coupable. Voir cette petite fille me demander à manger m'avait ramolli. Je me lève et me rend à la cuisine lui faire un peu de pain en attendant de lui faire un vrai repas. Depuis cet action de Coumba et mon retour de la clinique je ne cuisinait que pour moi. Le repas prêt je le pose sur la table et je l'emmène se laver les mains. Dès qu'elle finit elle cour pour aller manger au même moment je reçois un appel de papa me disant de prendre soin de bien fermer la porte qu'il allait rentrer tard.

À peine le téléphone était raccroché que j'entends les hurlements de Taïba. Aïda l'avais entendue aussi. J'espérais qu'elle ne c'était pas brûler avec la sauce. Quand j'arrive au salon je vois Seyna et Aïcha manger son repas. Aïda qui croyait que j'avais malmené sa fille verra les deux filles de sa coépouse pousser son enfant au sol

Taïba : C'est mon repas Romi l'a fait pour moi j'ai très faim

Seyna : Dégage si tu m'énerve je te mets devant la maison

Aïcha : Les Hyènes viendrons te dévorer.

Aïda voulais sortir mais se rétracte en entendant ma phrase

Romi : Taïba arrête de pleurer viens ont va à la cuisine il en reste encore assez.

À son anniversaire Marieme était tout feu tout flamme. Lamine est étonner de ne pas me voir. IL demande à son pote cheikh

Lamine : Dit mec tu à vue Romi a la soirée ?

Cheikh : Je ne connais pas de Romi

Lamine : La nana du chargeur

Cheikh : Non. Depuis quand Brimata et Marieme sont amies ?

Lamine : Depuis 6 mois déjà.

Cheikh : Et tu t'étonne de ne pas voir Romi. Tu connais Brimata

Lamine : Tu crois qu'elle a causer leur différence ?

Cheikh : Brimata n'est pas nouvelle. Ont la connais depuis la primaire tu l'a déjà vue avec une fille comme Marieme ?

Lamine secoue la tête en disant ~Je l'avais totalement oublier celle là. C'est de ma faute j'aurais dû mettre Marieme au parfum. Cheikh fait un sourire à Lamine, prend ces clés tout en disant au-revoir à son amis en voyant venir Brimata et Marieme. Après avoir manger Taïba disparaît dans la chambre de sa mère qui essayait de dormir

Taïba : Maman maman tu ne veux pas manger? Romi m'a fait à manger je suis rassasier. Seyna la méchante m'a gronder

Aïda : Tu va bien c'est l'essentiel. Laisse moi dormir un peu.

Pour la première fois Aïda ressentais de la honte. Elle se souvient de la première fois où ont c'était vue. Ce jour là Coumba m'avait laisser affamé toute la journée je lui avais dit que j'avais faim mais sa seul réponse à mon égard à l'époque c'était ~Va loin de ma chambre idiote. Les larmes lui viennent. De son côté Kader avait accepter ma venue chez lui mais au moindre faux pas il me ramènera à la maison maman était hors de joie.

Sans savoir que Fatou était cacher derrière la porte elle murmure en allant dans sa chambre ~Tu ne va pas donner ta bâtarde à mon fils. Jamais de mon vivant. Maman m'appelle pour m'annoncer la nouvelle. Tante Amina me rassure. Le lundi suivant j'arrive à l'école à l'avance comme d'habitude. Cette fois-ci Cheikh viendra s'asseoir tout juste derrière moi. Étonner je le regarde il demande ~Tu veux une gifle? Je retourne très vite la tête il continue

Cheikh : C'est pas a toi que je parlais c'était à mon démarcheur

Romi : Tu m'a fait peur

Cheikh : Pourquoi je te giflerai je ne touche pas aux filles. Bon si tu étais musclé se serait autre chose.

Je souris ce qui le surprend je tourne ma tête en continuant de relire mon devoir. L'instant qui suis Brimata est témoin de la scène elle n'était pas du tout contente. En voyant Marieme je voulais lui annoncer que j'allais passer mon premier week-end chez ma mère mais elle m'ignore. Pendant la pause déjeuner alors que tout le monde vaque à son pain.

Je m'avance vers Marieme pour lui parler mais encore une fois elle me refoule sans m'écouter. Mon plateau de déjeuner en main je veux retourner sur mes pats quand Brimata me mets un pied. Je glisse sous le regard amusez de tout le monde sauf Lamine. Le proviseur qui m'apprécie vient a ma rencontre il dit

Proviseur : Encore vous mademoiselle Marieme!

Marieme : Je n'ai rien fait monsieur elle a glisser

Je savais qu'elle avait déjà un avertissement et dans cet université personne n'avait jamais reçu deux avertissement. Je retoque poliment au proviseur

Romi : Elle n'a vraiment rien fait c'est moi qui est glisser pardon

ROMI Mon Amour (Histoire en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant