Episode.18

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Le proviseur voyais bien que je voulais protéger Marieme il me dit ~Ecoute ROMI tu ne peux pas continuer à protéger ce genre d’écart. La prochaine fois vous serez renvoyer Marieme. Je me lève aider par Lamine. Je m’excuse après le départ du proviseur qui me permet d’aller me changer à l’infirmerie. Lamine ne dira rien à Marieme il s’en ira fâcher. Marieme prends son sac pour rejoindre son fiancé avant ça elle demande à Brimata

Marieme : C’était quoi ça Brima ? Tu veux me créé des ennuies ?

Brima : C’était juste pour rigoler ma chérie

Marieme : Je ne trouve pas ça drôle du tout. Si tu veux rester mon amie tu ferais mieux de ne plus jamais recommencer.

Marieme la laisse planter là et s’en va. Brimata est rejoint par d’autres filles qui trouvait ça très drôle. L’une d’entre elle murmure ~Romi n’a rien vu venir tu est trop agressive bébé. À la sortie de l’école j’évite Lamine Niang et sa fiancée qu’il avait pousser à me présenter des excuses. Aucune trace de moi Marieme se dira dans la tête ~Ci cette traître raconte ce qui c’est passer à maman je serais dans de salle drap. Brimata merde tu ne pouvais pas te respecter un peu. De retour à la maison je prépare mes affaires on était vendredi papa savais où j’allais il me dira juste

Samba : Dimanche 18h tu est rentrée. Dans le cas contraire Coumba sera le plus beau de tes problèmes dans ce monde.

Romi : Oui papa.

De loin Kader m’attendais avec sa voiture. Je monte et nous voilà en route. Ils habitaient loin du centre ville. Voyant mon regard émerveillé par les lumières il me demande

Kader : Qui y’a-t-il ?

Romi : Je ne connais pas cet endroit il Y’a tellement de lumière sur la route. L’électricité doit coûter le prix d’une vache.

IL souri en disant ~Romi ne dérange pas trop ta mère ok? Je dis oui de la tête. Kader craignais la première approche mais sera agréablement surpris par mon aura décontracté. IL déstresse un peu. Nous arrivons 45 minutes plus tard devant la maison de maman. J’étais sous le choc ma mère habite dans le quartier Sacré Cœur. Le quartier où habitait le patron de papa. On étaient venues une fois ici pour une fête j’avais 11 ans à l’époque. Papa nous avaient même interdit de respirer c’était un quartier résidentiel avec des Villa qui coûtait deux reins et deux foie. Je n’osais même pas descendre de la voiture.

Mon sac au dos à la main je me tenais comme une villageoise devant cette magnifique villa. Marieme m’aurait gronder si elle me voyais. Maman sort en courant elle me tire dans la maison ce qui vole un petit sourire à son mari qui fera signe au gardien d’ouvrir le garage. Je savais que Kader était riche mais pas à ce point.

J’imaginais ma mère dans un appartement dans une cour commune du moins c’était comme ça que les femmes de mon père m’avait décrit l’endroit. Coumba serait morte sur le coup ci elle voyait la maison ou vivait ma mère. À l’entrée je salue une vieille dame qui buvait du jus sur la terrasse vue son âge c’était clair qu’elle était la belle-mère de maman. Fatou me répond avec la tête et rentre dans la maison.

Ma mère m’avait arranger une chambre tout juste à côté de celui de mon petit frère. Elle me fera faire le tour de la maison en quelques secondes. Ensuite elle ouvre l’armoire qui se trouvait dans ma chambre en disant les larmes aux yeux ~On ira faire les magasins demain dès la première heure. Je vais remplir cet armoire en 40 minutes.

J’avais toujours adoré passer du temps avec maman elle était super drôle quand elle ne boudait pas. Alors qu’elle s’étonne de mon téléphone Yazid mon petit frère se met à pleurer. Elle court le ramener en disant ~Bout d’hommes voici ta grande sœur. Vas-y prends le

Romi : Non maman

Alima : Tu ne veux pas tu m’en veux toujours

Romi : Non pas du tout. IL est trop petit je n’ai jamais tenue de bébé je ne sais pas comment ont fait

Kader qui était derrière la porte répond ~c’est facile essaie. Très vite je nettoie ma main contre ma chemise et tend mon bras. Maman dit en riant ~Tu à passer trop de temps au village ce n’est pas un sac de blé n’est pas peur. Prends. IL était là avec ces petits yeux à me regarder. Un sourire m’échappe mais très vite je prends peur et demande à maman de le reprendre elle ne comprends pas Kader n’ont plus

Romi : Reprend le maman

Alima : Alors j’avais raison tu m’en veux n’est ce pas

Kader : Pourquoi tu ne veux plus le prendre

Romi : Je suis maudite et je porte malheur. IL ne doit pas être toucher par une personne comme moi.

Alima : Romi tait toi qui t’apprends ce genre de phrase

Kader : Oublie un peu cette folle de Coumba allez viens prendre.

ROMI Mon Amour (Histoire en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant