La Maîtresse du milliardaire Froid

Chapitre 44

- Hummmm. Tournant la tête de gauche à droite, un gémissement puis un souffle franchit la barrière de mes lèvres. 

Mon corps en feu, je me fais réveiller par une sensation étrange mais tellement bonne qui consume tout mon être.  Hummm. Dis-je une nouvelle fois les yeux toujours fermés, profitant de cette sensation, je me tortille sur le lit essayant de bouger et c'est seulement à ce moment que je me rend compte de ce qui se passe, mes cuisses emprisonnées par de puissantes mains, j'ouvre grandement les yeux qui rencontre le plafond avant de le baisser plus bas. Angel… Ma voix n'est qu'un soupir de bien être, je veux qu'il arrête de me torturer mais pourtant je veux qu'il continue en même temps

- Tu es enfin réveillé, on peut enfin passer aux choses sérieuses. Dit il en sortant sa tête sous la couverture qui recouvre mon corps, son regard noir me transperce,  putain il n'a jamais été aussi beau. Les cheveux décoiffés à souhait, la mine enfantin malgré sa barbe et son regard noir rempli de tellement de desir qu'il me fait fremir. Tu aimerais que j'arrête? Me demande-t-il d'un ton moqueur, un sourcil levé attendant sûrement que je dise quelque chose.

Légèrement redressée, je le regarde avec attention, mes yeux remplis de luxure ne doivent sûrement pas faire moche de mes intentions, de mon envie. 

- Termine ce que tu as commencé.  Dis-je en renvoyant sa tête à l'aide d'une main vers mon intimité et sa tête disparaît une nouvelle fois sous le drap tandis que je retombe sur le lit en me mordant la lèvre inférieure avant qu'un énorme sourire ne le recouvre. 

Ce genre de matin, combien de fois je l'ai imaginé? C'est trop bon et puis pour mon bien être neurologique je dois me libérer car il me semble que cette action jouera beaucoup sur le reste de ma journée.

Et je veux passer une bête de journée. 

Sa langue sur mon intimité recommence à jouer avec mon petit bouton de chair, je ne me retiens pas plus pour gémir de plus en plus fort pour extérioriser ce que je ressens. 
Ça fait combien de temps que nous ne l'avons pas fait? Avec lui tout est toujours trop intense.

Il avait raison, si au début sa lenteur était volontairement contrôlée, ses coups de langue plus rapide me font serrer le drap tellement fort que j'ai l'impression de pouvoir les déchirer, ses doigts qui s'enfoncent en moi me pousse à me cambrer tandis que sa langue retrace ma féminité, il s'amuse à me faire perdre la tête dans ses mouvements tellement précis et exquises.

Je ne peux pas en supporter plus, je n'étais pas préparé à un tel déferlement d'orgasme que j'ai l'impression que je vais pleurer si je ne me contrôle pas plus, je sens mon corps qui ne m'obéit plus et se met à trembler.

Je me sens envahi par un flou d'émotion que je sais maintenant que je subis mon envie, ma passion pour cet homme, parce que c'est lui, je n'arrive pas à me contrôler, parce que c'est lui, ma raison et mon corps à reconnu son maître. 

Juste une phrase, il lui a fallu juste une phrase pour m'achever 

- C'est ça, jouit pour moi ma belle. Dit il après un dernier coup de langue et ses doigts enfoncés en moi se retire en même temps que je me libère dans un cri qui semble vider mon être tout entier 

Les yeux fermés et la respiration forte, j'essaie de reprendre mon souffle.

- J'espère que tu ne penses pas que c'est terminé. Me dit il sa tête apparaissant complètement du le drap, il s'avance, à quatre pattes, complètement nu, me dominant de sa grande corpulence et se plaçant au-dessus de moi, son sexe dresser me frôle de temps en temps, je peux voir les traces de ma jouissance encore sur ses lèvres. J'adore ton goût, comme toujours tu as été parfaite