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YLLONA GUIMARÃES1 juillet 2020london, england

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YLLONA GUIMARÃES
1 juillet 2020
london, england


il devrait arriver dans quelques minutes.

Je suis face à un immense immeuble, qui pourrait sûrement devenir le mien dans quelques temps si le cher William Saliba se décidait à pointer le bout de son nez.

Et putain... je risque vraiment de l'étriper quand il se pointeras.

Il finit finalement pas sortir d'une voiture et s'approche de nous, les mains dans les poches, car oui croyez moi que c'est un détail très important.

Plus il s'approche de nous, plus je remarque l'immense sourire qui règne sur ses lèvres. il passe son bras par dessus mes épaules et embrasse ma joue.

Car oui, comme ci c'était pas suffisant, faut qu'on fasse croire au proprio que nous sommes un couple, ça permet d'ajouter de la valeur a notre dossier, et qu'ils évitent de penser que nous sommes juste deux jeunes qui veulent faire, de leur appartement, un hébergement pour jeunes au taux de libido trop élevé.

william- hi. il serre la main de l'agent immobilier sorry I'm late.

?- ce n'est rien, nous pouvons y allez ?

william- bien sûr.

Il finit par nous montrer la marche à suivre et j'en profite pour rester en retrait avec william, un instant.

— je vais te tuer.

william- ca y est toi, j'ai confondu trente et pile.

— t'as un vrai problème avec les chiffres toi. il prince un bout de ma hanche tandis que je grimace tu va confondre quoi après ? machine à laver et lave vaisselle ? je ne vivrais pas avec toi, c'est mort.

william- t'es toujours dans l'excès. et puis déjà ça, ça sera ton ta-

— je le toise du regard connaissant la fin de sa phrase finit pas, c'est mieux pour toi.

?- du coup c'est un immeuble avec treize étage, et au rez de chaussé il y a tout ce dont vous avez besoin. piscine chauffée, salle de sport, laverie, coin détente, espace de jeux.

william- la salle de sport ce sera parfait pour moi, pour madame y'aurait pas une cantine ou un t- je lui mets un coup de coude discret

Mais malgré moi, je ne crois pas que ce coup de coude soit passé si inaperçue que je le prétend, vu comment le monsieur face à nous nous fixe.

— je ris faussement avant de reprendre vous disiez ?





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