chapitre 17

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Quelque minutes plus tôt

Paoline: Je dois me rendre d'abord quelque part, vas y tu peux me devancer. On se verra au pénitencier.

Ruth:  Où iras-tu?

Paoline : Je dois me rendre à l'entreprise  de ****

Ruth:  Mais pouquoi?

Paoline : Je dois avoir le téléphone d'un de mes patients. Allez à plus.

Ruth :  D'accord  on se verra là bas.

Une fois arrivé

Paoline :  Bonjour M.Georges *en regardant son prénom sur son badge* Je dois m'entretenir avec M.Paul Bown c'est très important.

Le réceptionniste :   Désolé madame
Cela  ne marche pas ainsi, il vous faut une carte qui indique que vous avez rendre vous avec M. Bown dans le cas contraire vous ne pouvez pas. Je veux néanmoins  vous donner rendez vous dans deux jours. Veillez me donnez votre nom au complet.

Paoline : Écoute  dite lui que c'est le psychologue de sa sœur.  Je crois qu'il....attendez dit-elle en voyant Paul freint le chemin de la sortir. Merci

Elle hâte les pas pour arriver à la hauteur de Paul.

Paoline:  Bonjour M. Bown , je veux m'entretenir avec toi un instant si c'est possible,  cela me prendra quelque minutes.

Paul : Allez m'attendre dans mon bureau puis il fait signe au réceptionniste de l'accompagner jusqu'à son bureau.

****

Le réceptionniste : Nous s'y sommes . Je vais prévenir la secrétaire du patron , elle vous apportera du thé.

Merci:  Merci.

Elle ouvre la porte du bureau, attendant à être seul, elle fut surpris de voir sa voisine qu'elle  qualifie  toute de suite la secrétaire de Paul , en train  de faire des trucs louches et bizarres. Ce qui est la cause de sa méfiance  est bien la poupée  voudou qu'elle  laisse échapper entre ses mains sous l'effet de l'étonnement.

Éloïse:  *Sous la defensive* qu'est ce que tu fais là ? Et personne ne t'a appris à toquer d'abord ?

Paoline :  Bonjour je ne savais pas s'il y avait.....

Éloïse :  Je ne savais pas s'il  y avait. L'imite t-elle avec dédain. Je veux savoir qui t'a autorisé à entrer lui crie t-elle.

       : Et toi qui t'a autorisé  à lui crier dessus dit Paul en faisant irruption .

Éloïse  : Je....je...je en ayant les yeux rivés sur la poupée qui est aussi visible que la honte qu'on lui a collé.  Elle essaie malgré elle à le cacher sous le bureau.  Enfaite reprend t-elle à ce que je sache elle  n'a pas rendez-vous dit-elle en prenant sa tablette pour lui montrer les listes des personnes avec lesquelles il a pris rendez-vous.

Paul :  Elle n'en a pas besoin

Éloïse. :  Excusez moi mais cela aille à l'encontre  des règlement de l'entreprise.

Paul ' Dis moi qui  a établis ses règlements? Elle peut venir autant que ça lui chante est ce clair?

Éloïse : Oui mais qui est elle alors?

Paul : Celle que vous disiez avoir la chance et qui en a trop même  lui répond t- il en le regardant dans la blanc des yeux.

Éloïse : Je ne peux pas vous croire. Dit-elle avec les larmes aux yeux.

Paul : Ça c'est votre problème  pas le mien. M. Carter viens d'arriver si ça ne vous dérange pas j'aimerai que vous le présentez le budget en mon attente. Dit-il pour mettre fin à leur conversation.

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