I N A Y A
Je me réveille, aujourd'hui on est jeudi, on a peu être changer de jour, mais moi pas d'avis. Je ne vais pas travailler. Tant qu'on me fera passer pour une folle et une mytho je n'y retournerai pas.
C'est peu être pas la bonne solution mais j'en ai rien à foutre. C'est vrai que c'est quand même mon travail, mais mon bien être à moi passe avant.
J'ai ignorer Aurélien la veille, je me demande si il fait exprès de ne pas comprendre ou si il est vraiment con ? Cynthia lui a vraiment retourner la tête.
Bref, je me lève et me douche et m'habille, aujourd'hui pas trop de programme prévu. Après tout ça, je part dans ma cuisine pour voir ce que je peux préparer. Mon téléphone vibre au loin mais je n'y prête pas attention au départ, mais finit par aller voir.
Yanis
-salut
-Comment tu vas ?
-C'était pour savoir si t'étais dispo ce midi pour qu'on mange ensemble ?
Salut ça va et toi ?
Pas de problèmes pour ce midi
-ok je passerai vers 12h45 c'est bon ?
Ok
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Il est 12h, donc j'ai le temps de me préparer. Je m'habille d'un simple jean bleu et d'un haut haut blanc avec une queue de cheval basse. Je me prépare en musique et en prenant mon temps. J'entends sonner à ma porte sans surprise puisque c'est censé être Yanis. Je prends mon sac et éteins ma maison pour pouvoir sortir directement avec lui.
Arrivée à ma porte je l'ouvre avec un beau sourire mais à ma très grande surprise c'était Aurélien ??? Mon sourire s'efface tout de suite, je m'apprêtais à lui refermer la porte au nez, mais celle ci fut stopper net dans son élan par son pied.
Moi : sort
Aurélien : non
Moi : tu te prend pour qui exactement ?
Aurélien : ta gueule un peu non
Mes gestes fût incontrôlés car ma main se leva et lui donna une énorme gifle. Sa tête tourna avec l'élan de ma main. Quand il redressa sa tête et me regarda j'ai vite regretter ce que je venais de faire. Son visage respirais la colère, ça se voyais qu'il voulais me monter en l'air.
Aurélien : ta de la chance je frappe pas les femmes
Moi : arrête de te ridiculiser, tu me fait pas peur.
En une fraction de seconde, il m'attrapa par le cou et me colla au mur. Quelques centimètres nous séparais. Il serrait de plus en plus fort et mon oxygène se faisais de plus en plus rare.
Aurélien : ne joue pas à ces gamineries avec moi Inaya pa...
Il me lache tout de suite, je ne comprend pas pourquoi au début mais je comprend en voyant la tête de Yanis dans son dos. Je respirais enfin.
Yanis : casse toi
Aurélien lui fait fasse et se rapproche de lui.
