Chapitre 17

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3 jours plus tard.

J'étais au self en train de manger, c'était le midi donc le self était rempli, il y avais un monde fou.
Aujourd'hui, c'était des spaghettis, faut savoir qu'ils sont vraiment pas doués pour les pattes. Elles sont toutes dures.

Soudain, je vois un rassemblement qui se forme autour d'une table, curieuse que je suis je m'approche pour savoir ce qui ce passe et remarque que tout ce groupe est sur une personne.

Bien évidemment, celle qui est devant est Naceira, le contraire m'aurait étonnée sérieux. Je me rapproche jusqu'à être assez proche pour comprendre ce qui se passe.

Elle était en train de mettre la pression à un gars pour qu'il lui cède sa place parce que princesse Naceira n'est pas contente sinon.

J'étais en retrait jusqu'à ce que je vois qu'elle le prends par le t-shirt et le pousse. Il se retrouve juste à côté de moi et dans un élan de fureur, elle le gifle.

— Pardon, pardon tiens ma place dit le jeune homme totalement apeuré.

Que je te reprenne pas bouffon va, et moi on me vouvoie pour une info rétorque Naceira.

S'en est trop, je déteste l'injustice et ces actes là me dégoûtes, humilié quelqu'un parce qu'elle sait qu'il se serait jamais défendu. Je me lève d'un coup de ma chaise en m'approchant d'elle.

— Ça te plaît d'attaquer quelqu'un qui est en situation d'infériorité ?

Elle équarquille les yeux, ne s'attendant sûrement pas à ce que je lui reponde. Je remarque que l'homme me regarde attentivement.

— La petite nouvelle veut jouer l'héroïne c'est ça ? Intéressant, tu te l'es tapé c'est ça ? me répond-elle de façon amusée.

— Tu sais que parler de sexe, on dirait une obsédée sérieux, évite de t'attaquer à quelqu'un qui est en infériorité, c'est pitoyable ce type d'acte lui dis-je d'un ton froid.

J'allais me retourner pour repartir lorsque je ressens que ma joue chauffe, je ne réalise pas tout de suite mais je comprends très vite,

Elle avait osée,

Osée me gifler.

Je lui rends sa gifle trois fois plus fort qu'elle et lui envoie un coup de poing en plein ventre.

— C'est la toute dernière fois que tu me frappe et que tu le frappe lui compris ?

Je sors du self en claquant la porte, elle m'avait mise les nerfs d'une force pas possible. Rapidement un surveillant vient me voir pour l'emmener dans le bureau du directeur ou je prends place en face de lui.

— Écoutez madame Bouldi, les actes de violences sont strictement interdit au sein de notre établissement.

— Je suis censée me laisser faire frapper c'est ça ?

J'en reviens pas, c'est elle la fautive et c'est moi qui me retrouve ici.

— Elle s'en est pris à un jeune homme sans aucune autorisation, je lui est dis qu'elle avait pas à se mettre contre lui, elle m'a giflée je l'ai frappé voilà tout. Sachez que je ne me laisserais pas faire, je donne du respect uniquement si l'on m'en n'en donne en retour lui fit-comprendre d'un ton froid.

Un amour entre les barreauxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant