Je m'apprêtais à pénétrer à l'intérieur de la banque par l'arrière, lorsque un cri rempli de détresses retentit.C'était une femme qui criait, nous étions dans de petites ruelle a 5h du matin.
Mon instinct féminin reprends le dessus.
Je ne réfléchis pas sur le coup,
Je lache mes outils et court pour sauver cette femme.
Je continue de courir mais j'ai l'impression d'être dans un labyrinthe sans fin.
Toutes ces ruelles se ressemblent et le cri de la femme continue à tourner.
Je m'arrête pour me concentrer sur d'où provient ce cri et je marche doucement afin de ne pas surprendre les agresseurs si il y en a.
Je tombe enfin sur la ruelle où elle y est, je m'accroupis et observe attentivement la scène.
Il pleut, il fait nuit noir, un seul lampadaire est à l'autre direction, ce qui explique que je vois mal, très mal.
Je distingue 2 hommes, de grande taille, avec une musculature imposante puis une femme est contre le mur et les deux hommes sont contre la femme.
Je m'approche et tente d'écouter la conversation, je préfère être sure que c'est réelle et ne pas foncer au risque que sa soit des ennemis.
Étant donnée que je suis derrière eux avec une caisse de poubelle devant il y a peu de probabilité qu'il me remarque.
Même pas du tout.
En m'approchant, je réussi à distinguer leurs conversation.
— Je vous en supplie lâchez moi, je vous est rien fais j'ai mon fils qui m'attend dit une pauvre jeune femme
— Regarde moi la belle trouvaille qu'on c'est fait mon vieux, ça va être la fête ce soir, dit-il d'une voix rauque.
— Tu m'étonne Jérôme je vais m'amuser je le sens répète une deuxième voix.
Ils commencent à la toucher de partout, s'en est trop pour moi.
Je me lève et leurs pointe mon arme.
— Lâchez là immédiatement m'exclama-je d'un ton exuctant .
Les trois personnes se retournent vers moi.
— Je pensais pas qu'il y aurait un deuxième festin ce soir mais je dis pas non !
Le deuxième homme se contente de me fixer en me détaillant.
— Lâchez là tout de suite ou j'hésiterais pas à appuyer sur la gâchette.
A ce moment-là, je fais quelque chose que je n'aurais jamais dû,
Je prends mon arme et tire en l'air.
Quelle conne que je suis putain.
COMMISSARIAT DE POLICE
Je sais, je sais j'ai été extrêmement idiote.
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Un amour entre les barreaux
RomansaUn amour entre les barreaux ? Des gangs rivaux qui vont apprendre tout les deux ce qu'est l'amour , possible ou impossible ? On l'appelle la femme de glace et lui l'homme à la terreur. Et puis après tout sa pourquoi pas ? ‼️ C'est une suite de «...