L'obsession des dieux

Chapitre 10: ISIS

ISIS IVANOV

Je ne peux pas. Pas maintenant.

Après se qui m'est arrivé avec la Bratva, je me suis protéger. J'ai enfermé mon cœur dans une cage avent de l'emmuré avec du béton. Mais je le ces, se n'ai qu'une question de temps avent que l'un d'entre eux réussissent a entré et lorsque se sera fais, toute la fratrie Lombardi aura sa place bien au chaud. Et sa, je ne peux pas le laisser arriver.

Je me relevais rapidement et je m'éloignais d'Hermès. Le cerveau de la famille Lombardi. Lui. Lui pourrait réussir à voir au dessus du mur. Apollon réussirait à dissoudre pierre par pierre. Arès réussirait à me les faire enlever moi-même. Éros réussirait a ouvrir la cage seulement en me souriant. Seth donnerait le coup finale en me serrant dans ses bras et plus rien ne me protégerais d'eux. De leur affection et de leur amour.

Hermès se relevait tranquillement, s'en me quitter du regard. Je ces que je lui est fait du mal en me levant rapidement devant sa supplication. Il avançait alors d'un pas et je levais ma main entre nous deux en secouant la tête, se qui le fis arrêter instantanément.

- Non Hermès ... vous ... vous cinq allez avoir ma peau ... se blocage, je les installer moi-même ... il est la et il va rester ... toi ... tes frères, je le ces ... vous allez réussir a détruire se mur que j'ai construit autour de mon cœur ... et putain je ne veux pas

- Isis, ne dit pas ...

- NON. Le coupais-je automatiquement.

- Je ne veux pas ... les seules personnes que j'ai aimer sont mon père et Osiris ... mon père nous a trahit de la pire façon et mon jumeaux est mort ... ensuite il y a eu Lorenzo et Miguel ... pendant cinq ans, Osiris et moi avons attendu que ton père nous sortent de cet enfer ... cinq putain d'années, il nous avait promis ... mais on ses échappé par nos propre moyen ... la seule personne sur qui je peux compter maintenant a part moi-même ces Miguel

- Tu peux compter sur nous aussi Isis

- Non ... vous voulez détruire le mur autour de mon cœur, vous croyez que cela va me permettre d'allez mieux ... mais tu te trompe, vous vous trompez tout les cinq ... ce mur m'empêche d'aimer de nouveau et de souffrir encore une fois ... je ne pourrais pas m'en sortir si je perdais Miguel ... ou même un de vous cinq

Tranquillement, Hermès avançait dans ma direction et tout se que je pouvais faire était de reculer. Lorsque mon dos entra en contacte avec la surface froide du mur je compris. Ma seule option était de l'écouter. Courir ne servirais a rien, il me rattraperait en deux pas et crier l'exciterait seulement.

- Isis ... on ne te demande pas de nous ouvrir ton cœur, pas maintenant ... lorsque tu seras prête, les seules choses qu'on souhaite es de t'aider et te protégé

Aider et protégé.

Les mêmes mots qu'ils répètent s'en arrêt. Toujours aider et protégé. Ils ne peuvent pas se contenter de seulement me garder en vie point.

Il posait alors ses deux mains sur le mur, de chaque côté de ma tête et il ancra ses yeux polaire dans les miens. Tout mon corps frissonnait sous l'intensité de son regard. Je me noyais littéralement dans le bleu de ses iris. Je savais très bien que tout était calculé, de la manière de positionné ses mains jusqu'à sa respiration. Le cerveau de la famille Lombardi. Jamais il agirait de façon spontané, s'en avoir déjà anticipé chacun de mes future mouvement.

Ma respiration s'accélérait lorsqu'il approcha tranquillement son visage du miens. Son souffle chaud frôlait mes lèvres et mes jambes se mirent a tremblé.

- Principessa

Et mon cœur s'arrêtait de battre. Mon corps me disait de cesser de me battre contre la fratrie, mais mon cerveau voulait garder les barrières autour de mon cœur.

- J'ai peur Hermès ... je ne veux pas vous perdre comme j'ai perdu Osiris ... je ne veux pas revivre se qui est arrivé avec la Bratva. Dis-je d'une voix tremblante.

Une de ses mains se décollait du mur pour se poser délicatement sur ma joue. Encore une fois, les frissons envahirent la totalité de mon corps et je me sentie fondre contre lui.

Je ne devrais pas me laisser allez contre lui. Je ne devrais pas le laisser entré dans mon cœur comme sa. Mes barrière se mirent à fondre comme de la glace au soleil face a son regard remplie de tendresse et je savais qu'il était maintenant trop tard.

- Ma princesse. Commença-t-il dans un murmure.

- Laisse nous la chance de pouvoir te donner se que tu mérite ... laisse nous t'aimer. Dit-il en collant son front contre le mien.

- Personne ne m'a jamais aimé Hermès ... je ne ces pas se que sa fait d'être aimer

- Laisse moi te montré un aperçu

Je n'eu pas le temps de dire quoi que se sois, que ses lèvres était contre les miennes. De la tendresse, de la douceur, du désir et de l'amour. Hermès me transmettait toutes ces émotions au travers de se baiser. Lorsque sa langue entra en contacte avec la mienne, toute barrière encore présente volèrent en éclat. A partir de cet instant, la fratrie Lombardi devin ma vie. Mes protecteurs. Mes hommes à moi. Tous les cinq.

On se sépara à bout de souffle et mon regard s'ancrai automatiquement dans le sien. Un magnifique sourire apparu sur ses lèvres et mon cœur loupa un battement.

- Ti amo mia principessa. Soufflait-il en me donnant un léger baiser sur le front.

Mon corps se figea. Je ne parle peut-être pas italien, mais je comprenais très bien ces mot. Souvent, très souvent Miguel nous les avait dit a Osiris et moi.

Je t'aime.

Hermès s'éloignait légèrement en me souriant. Je savais qu'il ne me demanderait pas de lui dire ces petits mots et je lui en suis reconnaissante.

Je lui rendis son sourire et il glissa sa main dans la mienne avent d'entre croisé nos doigts.

- Vien ... mes frères doivent surement nous attendre

- Nous attendre pourquoi faire?

- Se soir on sort au club de la famille

Je sautillais sur place en souriant a pleine dent. Heureuse de pouvoir enfin sortir de la maison, mon corps réagit alors avent mon cerveau. Je sautai littéralement dans les bras d'Hermès enroulant mes bras et mes jambes autour de son corps avent de plaqué mes lèvres contre les siennes. Ce baiser était loin d'être tendre comme le premier. Non. C'était sauvage, brutal et putain d'excitant. D'un coup, l'idée d'allez de sortir de la maison ne me tentais plus, je voulais Hermès. Je veux les cinq frères.

Je détachais alors mes lèvres de ceux d'Hermès et je pu voir les flammes du désir danser dans ses yeux, se qui fis contracter les muscle de mon vagin. Depuis le début je me protège derrière les barrières que j'ai placer autour de mon coeur. Mais maintenant je comprend se que voulais me dire les Lombardi et Miguel ... je les désir, tout les cinq depuis le début. Miguel avait raison, je suis une putain de frustré sexuelle.

Putain de merde.

- Je te veux Hermès ... je vous veux tout les cinq ... maintenant

- Tu es sur?

- Je n'ai jamais été aussi sur de toute ma vie

Me gardant dans ses bras, Hermès ouvrit rapidement sa porte en souriant avent de marcher a pas rapide dans le couloir.

Les barrières sont tombées et je vais me faire baiser par cinq dieux.