Chapitre 17: ISIS

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ISIS IVANOV

Pour une fois, depuis que je connais les Lombardi, aucun de leur regard ne réussissait à me calmer. J'avais beau serré la main d'Apollon dans la mienne, rien ni faisait. Stresse et anxiété était au rendez-vous. Sagement assise sur les cuisses de mon ange, je pouvais sentir le regard de tous les mafieux présent, se qui ne m'aidait pas a faire partir mon stresse. Je ne suis pas sensé être la, je ne suis pas sensé être dans cette pièce. Leur réunion sont privé et aucune femme n'a le droit d'être ici.

Seth putain a quoi as-tu pensé.

- Commençons cette réunion. Dit Seth en frappant dans ces mains.

- Pas avec une femme dans la salle. Dit un homme avec un accent Espagnol.

- Notre femme est au courant de tous se qui se passe, elle connait la spécialité de chacun d'entre vous, elle sait quel famille fait quoi ... pas besoin de rien cacher devant elle

Mensonge. Je ne connais rien de leur monde. A quoi joues-tu Seth?

Je pouvais entendre des chuchotements, mais je restais concentré sur la main tatoué d'Apollon, jouant doucement avec ces doigts. Faire comme si rien n'était et les laisser parler de chose de mafieux pour qu'ont puissent rentrer à la maison au plus vite. J'ai un mauvais pressentiment et je déteste cette sensation.

- Très bien, alors commençons

Cette voix. Mon corps se crispait et mon souffle se coupait. Alexeï Ivanov. Ça voix était toujours la même. Après dix ans, je croyais que quelque chose avait changé en lui, mais rien. Il était toujours le même que dans mes souvenir.

La réunion commençait enfin. Ils parlèrent chacun leur tour des statistiques de leur vente ou des baisses qu'ils ont eu. J'apprenais alors que les Américain avaient la main sur la drogue, les armes et la prostitution. Les Mexicain sur la drogue et la prostitution. Les Allemand sur les armes et pareille pour les Yakuza. Les Canadien sur la prostitution. Les Russe, mon géniteur. J'avais envie de vomir. La Bratva touche à tout. La drogue, les armes, la prostitution, trafic humain et d'organe, vente d'enfant mineur. Des enfants bordel.

Est-ce qu'il nous aurait vendu Osiris et moi?

- Maintenant que la réunion est terminer ... je peux savoir pourquoi tu m'ignore Moya doch'?

Répondre serait embarqué dans son jeu de domination. Il sait qu'il est plus fort que moi, il sait que mentalement je suis légèrement instable. Mais je ne pu empêcher un petit rire de passer la barrière de mes lèvres. Les regards étaient de retour sur moi et je pouvais sentir ma peau brûler.

- Comment pourrais-je t'ignoré alors que l'aura autour de toi est aussi malfaisante que le roi de l'enfer lui-même?

Tranquillement, je relevais la tête et j'ancrai mon regard dans celui de mon géniteur. Son sourire en coin me donnait envie de sortir l'arme de Miguel dans mon sac a main et de lui tiré une balle entre les deux yeux.

- Aussi, depuis quinze ans, tu as perdu le droit de m'appeler ta fille ... mon père est mort lorsque j'avais dix ans

Son sourire s'effaçait instantanément et la colère faisait rage dans l'émeraude de ces yeux. Rapidement, il se levait de sa chaise, faisant tomber cette dernière avent de frapper du poing sur la table.

- Tu es Isis Athéna Ivanov, tu es ma fille que tu le veule ou non

A mon tour, je me levais tranquillement en plaçant ma robe comme si notre sujet ne pourrait pas déclarer une guerre future.

- Je suis Isis Athéna Lombardi, je suis la femme d'Il Padrino, je suis la femme des cinq frère Lombardi ... que tu le veule ou non

Malgré que mon regard fût sur mon géniteur, je pouvais quand même voir Dimitri me sourire. Un sourire qu'il cachait rapidement lorsque Vladimir tournait sa tête vers lui. Les poings serré d'Alexeï me montrait a quel point il lui manquait juste une phrase bien placer pour qu'il explose.

- Je tes élever pour que tu deviennes la future chef de la Bratva, je tes rendu plus forte, intouchable ... ces grâce a moi que tu es devenu la femme que tu es aujourd'hui ... que tu sois marié avec qui tu voudras, tu seras ma fille jusqu'à ma mort

- Alexeï, tu peux allez te faire foutre toi et ta Bratva ... oui ces grâce a toi que je suis cette femme qui a qu'un seul but ... la vengeance ... mon jumeau est mort par ta putain de faute, je n'arrive pas a fermer les yeux s'en imaginé le viol collectif que tu as organiser pour notre dixième anniversaire ... dans cette pièce, il ni a pas assez de doigts pour déterminé le nombre de fois que tu as abusé de nous, tes propre enfants ... alors oui par mon ADN tu es mon père ... mais pour moi tu est mort depuis quinze ans

Des chuchotements se faisait entendre autour de moi, mais je ni portait aucune attention. Ma cible était Alexeï et personne d'autre. Mais a voir le regard semi-paniqué de mon géniteur, les mafieux autour de cette table ne devait pas être au courant de se qu'il faisait vivre a ces propre enfants.

Je jetais un petit coup d'œil aux personnes autour de nous et je pouvais comprendre la panique d'Alexeï. Les regards de dégout et de colère qui était posé sur lui parlaient d'eux même. Les mafieux avaient beau être les pires criminels qui existent, la famille restait la famille.

- Tout ça ... se sera fini lorsque l'un de nous deux seras mort Moya doch'

- Cela fait déjà quinze ans que mon âme est morte ... tu la dit toi-même Otets, je suis une femme forte et intouchable ... que le meilleur Russe gagne. Dis-je en souriant.

Sur mes derniers mots, je tournais les talons et je sortais de la salle de réunion. De retour dans la salle de bal, le regard des femmes présent était ancré sur moi. Je savais qu'elle me regardait avec jalousie, chacune d'elle avaient envie de savoir se qui se passait dans cette fameuse salle.

Derrière moi, je pouvais entendre des bruits de pas, six pour être exacte. Mais je les ignorais. Pour le moment, je n'étais pas en états pour parler à qui que se sois, je souhaitais qu'une seule chose. Rentré à la maison.

Je sortais du manoir et j'entrais directement dans la limousine. Je me plaçais au font, espèrent qu'aucun des Lombardi prennent place a mes côté. Je n'avais pas envie de dire ou faire quelque chose contre eux alors qu'ils ont tout fait pour me rendre heureuse.

Comme si ils avaient entendu mon souhait mental, aucun d'eux ne se plaçaient a mes côté, a l'exception de Miguel. Le seul qui savait quoi faire dans ces moment la. Je savait qu'il pourrait m'arrêter, qu'il serait le seul qui n'aurait pas peur de me faire du mal pour me faire revenir à la réalité.

- Quel numéro Stella?

Un code que nous avions établie lorsqu'on avait remarqué qu'une trop grosse charge d'adrénaline me faisait perdre le capte.

- Neuf ... bientôt dix

A dix, je ne me contrôlais plus. Je devenais une autre personne. La rage me consumait et dictait mes gestes. Mon regard était posé sur se que je crois qui était le sol de la limousine. Tout était noir autour de moi, j'entendais des voix, mais je ne pouvais comprendre se qu'elle disait. Mes oreilles bourdonnait et j'entendais les battements de mon cœur s'accéléré. Ma respiration était saccadée et une légère douleur se répandait dans mes mains. S'en voir, je savais que mes ongles s'enfonçait dans la paume de mes mains et je devais surement saigner aussi.

- Miguel. Dis-je à bout de souffle.

- Ont arrive bientôt Isis, essais de tenir le coup

- Je suis désolé

Je n'avais plus le contrôle de rien. Isis n'était plus, Hécate était de retour.

Ne leur fait pas de mal.

L'obsession des dieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant