Chapitre 5: ÉROS

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ÉROS LOMBARDI

Je regardais Isis qui dormait profondément contre mon torse.

Notre petite femme.

Ses lèvres pulpeuses légèrement ouverte avec sa respiration chaude et régulière dans le creux de mon cou me donnaient des frissons.

Je continuais à flatter son dos, même si je savais qu'elle dormait. J'en avais besoin. Si qu'elle a vécu il y a quinze ans me donnais la rage. Comment peut-ont faire subir sa a son enfant, ses enfants. Même mon père qui est un homme autoritaire et dominant nous a jamais fait subir se genre de chose. Pour les Lombardi, une femme est précieuse et les enfants de vrai trésor.

Des pas se firent entendre dans le couloir et la porte de la chambre s'ouvrit sur mon jumeau. Rapidement, je lui fis signe de se taire et il regardait Isis en souriant. Doucement, je réussi a me lever du lit et de remplacer mon corps par un oreiller. Une fois fait, je suivi Arès jusqu'au grand salon ou se trouvais le reste de mes frères. Automatiquement, je me dirigeais vers le petit bar s'en un mot. Je savais très bien qu'ils attendaient que je dise quelque chose, mais présentement j'ai besoin d'un putain de verre. Je pris une bouteille de whisky et je versais le liquide sombre dans le fond avent de le boire cul sec.

- Éros ... tu n'aime pas l'alcool

Un rire sec et amer sortie de ma gorge en entendent la phrase d'Apollon.

- Effectivement

Je remplis mon verre une deuxième fois avent de prendre place sur un fauteuil face a mes frères.

- Éros ... il se passe quoi? Me demandais Hermès.

- Notre femme a parlé ... elle ... putain.

Je grognais avent de vider mon verre. Le liquide me brulait la gorge me fessant grimacé.

- Elle a dit quoi putain Éros parle

Oh Seth, tu as raison de perdre patience.

- Elle ses réveiller en hurlant ... elle a hurlé tellement fort que même moi j'ai eu peur ... elle était totalement paniqué, elle hurlait qu'elle ne voulait pas et de la lâcher ... lorsqu'elle ma reconnu, elle a fondu en larmes dans mes bras

Je regardais mon verre vide et je me relevais pour me servir un troisième, mais Arès se plaçait devant moi les sourcils froncé.

- Éros merde arrête ... assis toi et parle

- Tu veux que je parle ... d'accord ... la Bratva se Saint-Pétersbourg, ils sont des hommes mort ... tous s'en exception ... peut importe combien ils sont et je vais finir par Alexeï ... oh oui se connard va mourir

Je pouvais sentir la rage monté de plus en plus en moi et je savais très bien qu'Arès le remarquait

- Parle avent d'exploser Éros. Me dit Arès d'une voix grave.

- Isis et son jumeaux on vécu un viol collectif pour leurs dixième anniversaire ... un putain de viol organisé par Alexeï ... lui ainsi que tous les membres de la Bratva on violé Isis et Osiris

Je pouvais sentir le regard de tous mes frères sur moi, mais je gardais mes yeux ancré dans ceux d'Arès.

Lui peux m'empêcher d'explosé.

- Pendant cinq putain d'années ... cinq ans à se faire violé par se qu'ils considéraient leurs famille ... Alexeï a même réussi à obliger ses enfants à faire de l'inceste ... Isis et Osiris était obliger de coucher ensemble pour offrir a la Bratva un porno en live

Les yeux gris d'Arès devinrent plus sombres et je pouvais sentir la rage sortir de ses pores. Je tournais mon regard vers mes autres frères et c'était pareil. Leur yeux claires était maintenant des billes sombre.

- Osiris a été assassiné par les hommes d'Alexeï pendant qu'ils essayaient de fuir il y a sept ans

J'inspirais un grand coup en passent ma main libre dans mes cheveux.

- Notre femme est brisé ... la Bratva la brisé alors qu'elle avait dix ans

En une fraction de seconde, le regard de mes frères changèrent et devinrent tendre. Je compris automatiquement que derrière moi devais se tenir notre petite femme. Je me retournais tranquillement et tombais face à cette beauté. Ses petits yeux vairons fatigués, ses cheveux roux légèrement emmêlé, le chandail de Seth qui lui arrivait raz les fesses.

Non de Zeus, elle est magnifique.

Elle passait doucement ses mains dans ses cheveux, se qui fis remonter le chandail. Mon regard se posait sur ces cuisses dénudé et je pouvais voir le début de sa culotte en dentelle rouge. Mes yeux retrouvèrent son visage et mon souffle se coupait lorsque je vis qu'elle me regardait déjà.

Pris la main dans le sac.

Ses yeux vairons se plissèrent et elle croisait les bras sur sa poitrine, nous regardent a tour de rôle.

- Votre femme?

Et merde.

L'obsession des dieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant