Chapitre 4: ISIS

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IL Y A 15 ANS ISIS

Aujourd'hui on fête notre anniversaire Osiris et moi. Papa a dit qu'on était grand maintenant, que lui a dix ans il avait accomplie beaucoup de choses. Papa est notre modèle pour mon frère et moi, il est toujours présent pour nous et nous offre tout se que l'on désir. Papa dit que maman nous a abandonner parce qu'elle ne nous aimais pas, alors il dit qu'il fait tout en double pour ne pas qu'on sois triste s'en elle.

Les deux gâteaux devant nous, mon jumeaux et moi on entre croisa nos doigts ensemble avent de souffler nos dix bougies. Papa et ses amis de la Bratva ainsi que d'autres sont présents et aussi souriant que nous. Eux aussi semble heureux et fiers de nous. Papa dit que dans se monde il est le roi et que nous sommes le prince et la princesse de se royaume qui sera nôtre un jour. Et nous avons très hâte.

- D'accord mes amours, nous avons un dernier cadeau pour vous. Nous dit papa en souriant.

Automatiquement, Osiris et moi on se plaça contre la table les paumes a plats dessus comme a demander papa. Deux de ses amis se plaça eux aussi devant nous avent de prendre nos mains et de les attacher a la table. Je regarda alors mon frère ne comprenant pas pourquoi les amis de papa nous attachait. Mais le regard vairons de mon jumeaux me disais que quelque chose n'allais pas.

- Se soir mes amours, vous allez entré dans le monde des grands ... se soir, vous allez perdre toutes votre innocence

Je fronçais alors les sourcils, ne comprenant pas ou papa voulait en venir. Mais j'eu rapidement la réponse a ma question.

Un des amis a papa se tenait droit derrière Osiris et il descendit son pantalon. Mon regard se portait alors sur mon jumeaux qui me regardait droit dans les yeux. Sa main attrapa la mienne et il la serra aussi fort qu'il le pouvait.

- On va s'en sortir Izy ... toi et moi contre le monde entier. Me chuchota mon frère.

Un cri de mort sortie de la bouche de mon frère. L'homme derrière lui bougeait de manière étrange et les larmes sur les joues de mon jumeaux me fis paniqué.

- Papa ... papa détache nous, Osiris pleur

Des rires se firent entendre avent que ma robe sois relever jusqu'à mes hanche. L'homme derrière Osiris poussait des grognement qui me fessait tremblé de peur. Et j'hurla de douleur a mon tour.

Papa a raison, nous venons de perdre notre innocence.


PRÉSENT, ISIS IVANOV

Un hurlement a en déchiré les corde vocale sortie de ma gorge. Je me redressais rapidement, la respiration saccadé. Ma poitrine se compressait et mes tremblements augmentaient. Des mains se posèrent sur moi et automatiquement, je me débattais en hurlant.

- Je ne veux pas ... lâchez moi

Des mains chaudes se posèrent sur mes joues et une voix se fis entendre.

- Isis ... Isis regarde moi ... bébé regarde moi

Rapidement, mes yeux s'ouvrirent et je tombais dans un regard orageux. Je le reconnu. Je touchais de la pulpe de mes doigts tremblant son visage jusqu'à son piercing.

- Éros

Un soupire sortie de sa gorge avent qu'il pose son front contre le miens. Je pouvais sentir la chaleur émaner de son corps et cela me réconforta.

- Ne nous fait plus jamais sa bébé putain ... on a eu tellement peur

Mes larmes continuaient à tomber et mon corps tremblait toujours. J'enroulais alors mes bras autour de la nuque d'Éros et je le serrais contre moi, comme si ma vie en dépendait. Je me sentie soulever et mon corps entrais en contacte avec une surface molle et douce. Éros continuait de me serré dans ses bras et je sentie une couverture se poser sur nos corps.

Je pris alors le temps de regarder autour de moi, une chambre, mais pas la mienne. Les murs était gris claire, quelques meubles en bois massif, une porte vitré menant sur un petit balcon, une porte était ouverte et je pu voire une salle de bain complète.

Une main dans mes cheveux me fit détourner le regard sur Éros qui me regardaient. Je remarquais alors que mes cheveux était détaché et que je ne portais plus ma robe, mais un grand chandail.

- Éros ... ou sommes nous?

Un grand sourire apparu sur ses lèvres avent qu'il dépose un baiser sur mon front.

- On est a la maison bébé ... on est en Italie

Mon corps frissonnais face a se surnom. Mais j'étais enfin en sécurité, j'avais réussi.

- Je ne veux plus jamais retourner en Russie Éros ... plus jamais

- Tu n'y retourneras plus jamais bébé, tu reste avec nous ... ta maison est ici, a nos côtés

Je m'installais alors confortablement contre le torse de Éros et il serra contre lui avent de flatter doucement mon dos. J'inspirais un grand coup, il devait connaitre la vérité. Ils le devaient tout les cinq.

- Éros?

- Mmmh

- Je ... il ... il y a quinze ans ...

L'obsession des dieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant