Ganondorf attrapa par le bras sa servante, et l'emmena dans une cellule petite et sombre, et la balança contre le mur. Elle cria de douleur et s'effondra au sol ! En tremblant, elle essaya de se remettre debout, mais son corps était trop faible.
Ganondorf : tu prétendais avoir un pouvoir issu de la déesse n'est-ce pas ? Un pouvoir aussi inutile et faible que celui que tu viens d'utiliser ne peut venir de la déesse en personne ! Je t'avais pourtant prévenu de ne pas mentir !
T/P : je le jure sur la déesse que... Je n'ai pas menti...
Ganondorf : on dirait que je vais devoir raser la forêt du royaume pour t'apprendre à dire la vérité.
T/P : non !! Je vous en supplie ! Si mon pouvoir est si faible, c'est par votre faute !
Ganondorf : ai-je bien entendu esclave ?
D'un geste de la main, il fit apparaitre ses mains de miasmes qui relevèrent la jeune fille en la tenant par les bras. Elle lui lança un regard plein de haine.
T/P : depuis mon arrivée ici, vous n'avez cessé de me dénigrer parce que je suis une femme, et parce que vous me trouver faible et indigne d'occuper la place de chef ! Mais je ne fais que dire la vérité depuis le début ! Mon pouvoir est faible à cause de tous les mauvais traitements que vous me faite subir ! Je ne peux pas l'utiliser à son plein potentiel si je suis aussi épuisée et affamée !
Ganondorf : peu m'importe ton état, tu n'as aucune valeur à mes yeux. Tu devrais déjà m'être reconnaissance de te laisser la vie sauve !
T/P : reconnaissante ?? Est-ce que vous réalisez seulement à quel niveau est votre arrogance et votre orgueil ? Sans nous, vous n'auriez rien à part un royaume vide sans aucun intérêt !! Vous passez votre temps à nous menacer pour assurer notre loyauté, mais la vérité, c'est que vous ne pouvez même pas vous permettre de tous nous tuer ! Un roi sans peuple n'est rien !
Ganondorf lui donna un puissant coup de poing dans le ventre qui la fit hurler de douleur et cracher du sang. Elle parvient néanmoins à rire, et offrit un sourire au roi, qui sentit sa rage augmenter d'un cran.
T/P : tu n'es rien sans peuple Ganondorf. Tu as besoin de nous, tu ne peux pas tous nous tuer. Tu ne mettras jamais tes menaces à exécution. Tu n'es qu'un sale prétentieux arrogant qui veut diriger à tout prix un royaume qui perd son intérêt jour après jour ! La vérité, c'est que tu es un roi, mais personne ne veut de toi pour occuper cette place !!
Une fois encore, Ganondorf l'asséna de coups la faisant crier de douleur ! Après une dizaine de coups, elle cracha une nouvelle fois du sang, elle garda la tête baissée et son sourire vacilla plusieurs fois, mais était toujours présent. Ganondorf était très énervé et projetait de la tuer, quand une idée se manifesta au même moment ! Il se mit à sourire à son tour et à rire aux éclats, ce qui fit disparaitre le sourire de sa servante et relever la tête. Elle ne comprenait pas sa réaction.
Ganondorf : je déteste les faibles, et encore plus les femmes qui font preuve d'autant d'audace et d'arrogance que moi ! Mais tu oublies quelque chose, je me moque complètement de l'avis du peuple et du tien ! Tu dis que je ne peux pas mettre mes menaces à exécution ? Mais je vais me faire un plaisir de massacrer toute la population jusqu'à ce qu'il ne reste plus que toi ! Qu'en penses-tu ?
T/P : quoi ?
Ganondorf : si je massacre chaque individu, tu auras la mort de tout le royaume sur la conscience. Et comme tu seras seule avec moi, je pourrai faire de toi ce que je veux, te faire connaitre pire situation encore qu'être ma simple esclave. Et tu n'aurais plus aucun espoir car, comme tu serais la dernière survivante, personne ne pourrait plus s'opposer à moi et te sauver.
Le roi-démon savait qu'il avait gagné. Elle s'était moquée d'elle mais il était le plus fort. Il se remit à rire tandis qu'elle prenait peu à peu conscience de son erreur.
Ganondorf : pour la peine de m'avoir rendu de si bonne humeur, je te laisse le choix ! Soit tu me supplies de te punir pour ton arrogance, soit je mets à mort la population toute entière du royaume, en commençant par ton peuple ! Et une fois qu'il ne restera plus de toi, je ferai de toi ma propriété en violant ton corps !
T/P : pardon ???
Ganondorf : tu deviendras ma chose, mon animal de compagnie ! Tu seras à la fois ma servante et mon esclave sexuelle, je maltraiterai ton corps jusqu'à ce que ton esprit se brise et que tu ne puisses plus rien faire d'autre que me supplier pour en avoir davantage !
La jeune fille baissa la tête. Ganondorf reconnaissait cette lueur dans son regard, celle de la peur, du désespoir ; et cela l'emplissait de joie ! Elle avait tenté de le remettre à sa place, mais au final, sa tentative n'avait fait que basculer encore plus son destin.
Ganondorf : je te repose la question une dernière fois : que préfères-tu esclave ?
T/P : que dois-je faire pour que vous me pardonniez mon audace, votre majesté ?
Ganondorf : supplie moi de te baiser tout de suite. Déshabille-toi et implore moi de te baiser jusqu'à ce que tu ne puisses plus marcher !
T/P écarquilla les yeux de stupeur avant de serrer le poing. Elle pensait qu'en lui disant ses quatre vérités en face, elle s'en sortirait juste après avoir été battue. Elle se disait qu'au meilleur des cas, il la tuerait. Mais elle n'en avait plus rien à faire de mourir, et elle ne pensait pas pouvoir subir pire humiliation !! En fin de compte, elle s'était totalement trompée !! Et il en profitait pour l'humilier encore plus !! Son sadisme ne connaissait donc aucune limite ??
Ganondorf : tu refuses de te plier à mon ordre ?
T/P : je préfère encore me faire battre à mort plutôt que de faire ça !
Ganondorf : très bien, tu as fait ton choix.
Il la laissa là, toujours maintenue par ses mains de miasmes et partit. Un sourire apparut sur ses lèvres quand il se remémora dans son esprit, le regard terrorisé de la jeune femme.
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Le paradis du roi-démon (commande CELESTIANNN)
FanfictionT/P, nouvelle chef du peuple Sylvain et des Korogus, se rend au château afin d'offrir sa loyauté et son pouvoir à son nouveau roi Ganondorf, en échange de la survie de la forêt. Cependant, le roi a décidé qu'une frêle femme comme elle ne pouvait qu'...