𝕃𝕖 𝕡𝕒𝕣𝕣𝕒𝕚𝕟 | Original

Police (2)

Matteo : PUTTANA! NON SANNO CHE IL PADRINO LEANDRO IL CAPO DELLA MAFIA SICILIANA C'È IN QUESTO CLUB DEL CAZZO?! COME OSANO?! 
(PUTAIN ! ILS NE SAVENT PAS QUE LE PARRAIN LEANDRO LE CHEF DE LA MAFIA SICILIENNE EST DANS CE PUTAIN DE CLUB ?! COMMENT OSES-ILS ?!)

Léandro : donne-moi un peu de calme. 

Je passe un coup de fil rapide.

Léandro : le chef de la police m'a raccroché au nez.

Matteo semble brûler encore plus.

Matteo : COMMENT OSE-T-IL?! EN PLUS, IL ÉTAIT EN TRAIN DE TIRER ALÉATOIREMENT !

Un homme approche. 

Homme : chef. Valencia et Lucianna ont disparu.

Je me lève. 

Léandro : très bien. Au travail. 

Il est 6h du matin. Nous sommes au moins 25 voitures et je me dirige directement où le chef de la police vit.

Nous nous arrêtons loin.

Léandro : je descends seul.

Matteo hoche la tête. 

Je descends et je me dirige vers la maison.

Avec mon fusil silencieux, je tue les deux gardes sans le moindre bruit.

J'entre et je me dirige où les serviteurs vivent.

Ils dorment tous.

Je vise un en particulier et je le réveille. 

Je mets ma main sur sa bouche et mon fusil silencieux sur la tête. 

Léandro : le moindre son, bruit, gémissement, j'appuie sur la gâchette et je suis prêt à tuer les 30 serviteurs si aucun d'entre eux ne veut coopérer. 

Il hoche furtivement la tête. 

Il m'ouvre la porte principale et dès qu'il me montre où se trouve la chambre du chef, je l'assomme.

Je monte et j'ouvre la porte.

Le lit était vide.

Seule sa femme dormait encore, mais lui, il était visiblement en train de prendre une douche.

Je laisse la femme endormie. 

Me souvenant de ma propre mère, je ne veux pas rendre ces enfants complètement orphelins.

J'ouvre la porte et j'entre sans le moindre bruit.

Je repère une fenêtre que je peux facilement m'échapper d'elle.

Depuis tout petit, j'aime escalader et je trouve cette tache simple. Il y a un balcon au premier étage en plus.

J'ouvre la fenêtre. 

Il arrête l'eau, il semble avoir entendu le bruit puis il continue. 

Hilarant.

Je tire sur sa main.

Il hurle de douleur.

Léandro : ça, c'est pour avoir ordonné l'attaque au club.

Je tire sur sa deuxième main.

Léandro : ça, c'est pour m'avoir raccroché au nez. 

Je tire sur ses deux pieds et j'entends déjà sa femme en train de hurler dehors.

Bien sûr, je n'ai pas oublié de verrouiller la porte.

Léandro : et ça, c'est pour avoir osé essayer de me tuer et de tuer les membres de ma mafia.

Je tire sur sa tête et ses cris s'arrêtent instantanément. 

Je saute de la fenêtre et je retourne aux véhicules. 

Léandro : j'ai coupé tous les câbles,  y a plus d'Internet et leurs téléphones ont disparus... Étrange hein ?

Dis-je en regardant malicieusement Matteo.

Matteo éclate de rire.

Matteo : tes méthodes sont toujours les mêmes et surtout professionnels.

Léandro : maintenant, cherchons ma sœur et Valencia.