𝕃𝕖 𝕡𝕒𝕣𝕣𝕒𝕚𝕟 | Original

Mère

J'ai passé plusieurs tests qui sont déroulés à merveille. 

Je suis dans ma chambre. Me souvenant de ma sœur des larmes chaudes coulent sur mes joues sans que je ne remarque. 

Je les essuie et décide de me changer les idées. 

Puis soudain la porte toque.

Je l'ouvre. 

C'est Léandro.

Léandro : on m'a dit que tu n'as pas mangé le petit-déjeuner.

Je soupire. Et lui, pourquoi ça l'intéresse ?

Léandro : et tu as pleuré. 

Valencia : ça se voit tant que ça ?

Léandro : y a une caméra dans ta chambre. 

Heureusement que je me change dans la salle de bain. Merci.

Valencia : et ce n'est que maintenant que vous me le dites. 

Léandro : t'inquiètes pas, je ne regarde pas d'habitude, je t'ai vue en train de pleurer par coïncidence. 

Hmm.

Valencia : bon. Vous venez pour m'informer d'une mission ?

Léandro : non. 

Valencia : pourquoi alors ?

Léandro : pour rien.

Il tourne le dos et s'apprêtait a partir.

Valencia : non. Dites-moi.

Il se fige.

Léandro : prépare-toi, porte des habits normaux. 

Puis il part. 

Étrange.

Je m'habille, mais je glisse un mini fusil sous ma veste et un mini couteau dans ma botte et je descends. 

Léandro parlait avec des hommes.

Lucy et Matteo sont introuvables. 

Je m'approche de Léandro. 

Valencia : où sont Matteo et Lucy ?

Les hommes s'éloignent. 

Léandro : ils sont sortis.

Valencia : pour une mission ? Sans nous ?

Léandro : faut dire que la mission est assez spéciale. 

Valencia : ah.. un.. rendez-vous ?

Léandro : ouais.

Nous nous dirigeons vers une des voitures et je monte côté passager.

Valencia : et nous allons où ?

Léandro : je veux juste que tu m'accompagnes.

Valencia : pour te protéger ? Mais.. Tu as d'innombrables hommes et puis je suis toujours en phase de test... Et si j'échoue ?

Léandro : t'inquiètes pas.

Il démarre la voiture. 

Léandro : j'peux tout aussi me protéger moi-même. 

Je hoche la tête. 

Nous arrivons à un endroit paisible. Il ressemble à un hôpital, mais ce n'est pas trop le cas.

Il y a beaucoup de personnes âgées. 

Valencia : pourquoi sommes-nous ici ?

Léandro ne répond pas et nous montons au deuxième étage. 

Quand nous entrons dans une salle une femme âgée était dans le lit.

Léandro : ma mère.