𝕃𝕖 𝕡𝕒𝕣𝕣𝕒𝕚𝕟 | Original

Torture

Pdv Léandro. 

Mes hommes ont pu attraper le tireur de Valencia.

Nous sommes sous terre dans le manoir.

Léandro : il est prêt ?

Homme : oui chef.

Je me dirige vers la salle de torture. 

L'homme est sans vêtement accroché à l'envers.

Je prends le bâton en métal que je chauffe à une très haute température.

L'homme est terrifié.

Léandro : ça prouve que tu n'es pas un homme. Tu trembles comme une feuille. 

L'homme : je ne dirais rien !

Puis il crit. 

Léandro : personne ne t'écoutera. Tu es 7 étages sous terre, comme en enfer.

Le bout du métal est rouge.

Léandro : Ascoltami, ragazzone, o mi dici chi ti ha dato gli ordini o ne pagherai le conseguenze. (Écoute moi bien mon grand, soit, tu me dis qui t'as donné les ordres soit tu vas en subir les conséquences.)

Homme : De toute les façons je suis mort ! Je ne dirais rien.

Léandro : no no no... perché essere così drammatico? Decido se tolgo la tua vita, non te. (non non non... Pourquoi être si dramatique ? c'est moi qui décide si je prends ta vie pas toi.)

Homme : ça sert à rien, je ne vais rien dire.

Léandro : j'aime jouer. Je suis un lion affamé qui n'a que toi comme nourriture... pas de chance hein? Mais j'ai un beau festin ici...

Je colle le métal a la peau du tireur de Valencia et le son de la peau qui brûle n'est pas suffisant pour calmer ma colère. 

Je le fais plusieurs fois, mais l'homme refuse de dire qui lui a donné l'ordre.

Léandro : Exprime-toi heureux que je n'ai pas encore perdu patience... 

Homme : Tue moi directement ça sert a rien.

Léandro : je vais te tuer. Mais je vais faire en sorte que tu restes vivant un moment pour sentir le regret et la douleur...

J'ordonne qu'ils détachent l'homme et je le place sur un lit en métal et le ligote.

Je prends une hache.

Léandro : jouons au jeu... Trouvez le mot.
Tu me donnes les lettres et si ce ne sont pas les bons, je commence à dessiner un homme lentement à côté. Si je le dessine entièrement t'as perdu. 

Mais.. La seule différence, c'est que tu es l'homme... déjà dessiner et...Il faut éliminer chaque membre un a un si tu ne me donnes pas l'info que je veux.
En gros le jeu du pendu mais a l'envers.

L'homme écarquille ses yeux.

Le tireur : On m'a dit que vous étiez cruel et terrifiant, mais a ce point ! Sale psychopathe ! Tu vas me démembrer ?!

Léandro : Oulala toujours si dramatique. 
Tu n'as pas pensé une seconde que t'as failli priver cette fille de marcher à vie ?! 
La balle a frôlé la colonne vertébrale de Valencia. 

En une fraction de seconde, je lui ai coupé la main droite.

Léandro : je vais avoir beaucoup d'argent de toi de toute façon, que tu parles ou non je suis gagnant imbécile !

L'homme hurle de douleur et se tortille dans tous les sens.

Léandro : tu ne vas toujours rien me dire ? Bien.

Je coupe sa deuxième main.

Ces cris retentirent dans tout le sous-sol.

Léandro : Oops.. Tu veux un crayon pour écrire qui t'as ordonné de faire ça ? Mince alors...

Le tireur : Alessandro moretti

Dit-il en murmurant. 

Puis il pert connaissance. 

Le fils de ce salop ? Il ose essayer de m'assassiner ?!