𝕃𝕖 𝕡𝕒𝕣𝕣𝕒𝕚𝕟 | Original

Attaque directe

Le soir même, nous étions en train de préparer pour nous rendre chez Alessandro et en finir une fois pour toute.

Puis mon téléphone sonne.

Léandro : allo ?

Infirmière : nous sommes désolés. Votre mère est décédée. 

Matteo : Léandro ? Qui a-t-il ?

Je baisse le téléphone. 

Léandro : Lucy...

Lucy : quoi ?

Léandro : elle est morte.

Je ramène le téléphone à mon oreille en voyant Lucy s'effondrer en larmes.

Infirmière : venez. Il y a quelque chose d'urgent à voir.

Je me dirige dehors et monte dans la voiture. 

Matteo me suit en criant, mais je n'écoute personne. 

Je me rends à l'hôpital et ils me montrent les caméras. 

Un homme s'est introduit dans la chambre de ma mère et l'a tué.
Il etait si agressif avec elle...

Tuer une femme âgée innocente. Pourquoi ?
 
Le docteur m'avait annoncé qu'elle avait un cancer, mais au moins, elle était destinée à vivre plus longtemps. Ils lui ont pris la vie. Ils vont me le payer.

Je me rends chez Alessandro directement. 

Il est minuit, nous étions censés élaborer un plan pour le surprendre chez lui, mais je m'en fou à présent. Je vais me venger seul, de mes propres mains.

Pov matteo 

Nous devons deviner où léandro allait se rendre.

Moi, Lucy et Valencia suivis par des hommes quittons le manoir.

Pdv léandro

J'arrive chez Alessandro. 

Fusil a la main, je me débarrasse des gardes.

Je me bats les mains nues avec l'un d'entre eux. Une colère noire est montée en moi.

Je me débarrasse de tout obstacle m'empêchant d'entrer chez Alessandro. 

J'entre et je monte au deuxième étage. J'entends un bruit.

Je fracasse la porte et j'entre.

Je surprends Alessandro et Alice dans un moment intime. 

Alice commence à crier.

Tout ce que je veux, c'est me débarrasser de cette ordure.

Je tire un nombre incalculable de balles sur Alessandro. 

Je ne m'arrête que quand mon fusil se vide.

Mais je continue avec le deuxième fusil de réserve. 

La chambre est devenue toute rouge. Mon acte ne m'a pas calmé.

La colère en moi est toujours vivante, elle brûle en moi.

Ses draps anciennement blancs sont devenus rouge vif.

Alice, c'est levé est à essayer de s'enfuir.

Je lui bloque le passage.

Léandro : tu crois partir où ?

Je la pousse, elle tombe sur le lit en tremblant comme une feuille.

Léandro : j'ai vidé mes fusils, mais j'ai toujours mes couteaux. 

Alice commence a crier et a me supplier.

Matteo, Lucy et Valencia apparaissent dans le couloir devant la chambre.

Lucy regarde Alice. 

Lucy : laisse-moi m'en charger frère. 

Pov Valencia. 

Le monde de la mafia, c'est ça. 

Tu as le droit de tuer qui tu veux. Et te venger. Un monde remplis de trahisons et de cruauté. 
Et quand il y a un travail a finir... vaut mieux le faire soi-même,  de ses propres mains.

Léandro descend à la voiture. 

Je le suis et monte côté passager. 

Léandro : tu as dû être choqué. 

Valencia : si tu te poses la question, je n'ai pas peur de toi. 

Je le regarde. 

Valencia : je trouve ce que tu as fait, juste. 

Crois-moi, je ne te déteste pas.

Il se tourne vers moi.

Et m'embrasse.