Le Fil rouge du Destin ~Aime moi autant que je te déteste~

Chapitre 10

Pdv: Akashi

Le contact de sa peau contre le mienne était intense, mes cellules ne réalisaient pas que c'était bien mon âme soeur que j'étais entrain de toucher. Mes mains tremblaient et j'avais l'impression d'être entrain de réciter un poème devant toute une classe. Tonomoé à sentit ma légère détresse et au lieu de me taquiner dessus il m'a simplement rapproché de lui et serrer un peu plus fort dans ses bras en embrassant mon cou. Les caresses que me proccurait Tonomoé étaient d'une douceur tel que je n'en avais jamais connu, j'aimais ça et surtout je l'aimais lui.

Tonomoé: A-allons sur le lit..

Oh...

Sa voix dans mon oreille, faisait résonner tout mon corps. Sans perdre une minutes de plus je le souleva et le posa sur le lit, je descendis mes baisers jusqu'au creux de ses reins avant de saisir son membre entre mes doigts. Il laissa échapper un gémissement et je me sentais déjà sur le point d'arriver à terme. Je mis son membre dans ma bouche et savoura chaque goutte de son liquide préséminale, ses gémissement devenaient de plus en plus fort au fur et à mesure que j'intensifiais ma succion et mes gorges profondes.

Tonomoé: Akashi arrête je vais ve-!

Il nut pas le temps de finir sa phrase qu'il se déversa dans ma bouche et je ne manqua pas de tout avaler.

Tonomoé: Mon dieu pourquoi est-ce que tu as fait ça?!

Akashi: Parce que je le voulais, arrête de cacher ton visage on ne fait que commencer.

J'enlevais mon t-shirt et je suppris son regard sur mon torse, je pris alors ses mains et lui fit caresser mon torse, de mes pectoraux jusqu'à mes abdos. Ce que je lui faisait faire l'excitait ouvertement et je me permis de lui faire continuer sa petite excursion de mon anatomie en descendant ses mains jusqu'à ma bite.

Akashi: Enlève mon pantalon Tonomoé.

Il déboutonna mon pantalon avec une lenteur qui était bien trop flagrante, il me taquinait et il savait que cela me rendait fou. Pour lui rendre l'appareil je me penchai sur lui et titilla l'un de ses tétons de ma langue.

Akashi: Tu pensais que j'allai me laisser faire aussi facilement?

Tonomoé: Évidemment que non, c'est pour ça que je l'ai fait exprès.

Je laissai échapper un rire, ses réponses étaient dignes de lui et je voulais en entendre d'avantage.

Akashi: Tu aimes vraiment me pousser à bout.

Tonomoé: Quoi? Tu n'aime pas les mauvais garçon?

Akashi: Seulement quand ils m'aiment aussi.

Nos baisers reprirent et ma main alla se nicher entre ses deux magnifique fesses, il gémit de plus belle s'entend mes doigts taquiner son trou sans pour autant y entrer. Il remuait ses hanches contre moi et l'envie de le pénétrer devenait de plus en plus forte, cependant je me devais de le faire attendre, il fallait qu'il exprime son désir de ses propres mots.

Ordonne le moi et je ferai tout ce que tu veux, s'il te plaît!

Comme s'il avait entendue mes supplications Tonomoé prit mon visage dans ses mains et m'embrassa fougueusement.

Tonomoé: Akashi mets la moi tout de suite, j'en peux plus!

Une chaleur immense s'enparra de tout mon corps et j'entrai en Tonomoé d'un coup sec.

Putain!

Cet oméga avait le don pour m'exciter comme un fou. Chaque parcelles de mon corps n'existaient que pour son plaisir, il devait le comprendre après m'avoir fuis tout ce temps. Quand je commença à bouger nos respirations et nos corps bougeaient dans une synchronisation parfaite, j'avais l'impression de savoir exactement à quelle allure et comment je devais bouger pour qu'il succombe. Pourtant il n'était pas lui même sans ressources, son trou obscène m'aspirait et me serrait à chaque fois que j'essayais de me retirer.

Nous arrivions tous les deux à notre apogé, nous savions que c'était les derniers instants et nos regards refusaient de se quitter, ses yeux avaient l'air de me demander milles promesses, j'espères de tout coeur que les miens y répondaient à l'affirmative parce que je savais déjà ce que je voulais. Et comme dans un soupir d'approbation commun nous nous sommes embrassés, j'ai accéléré mes coups de reins et je lui ai mordue le cou. La sensation de plaisir qui s'est déversée en moi à cet instant était absolument incomparable, j'étais en extase total sous ce trop pleins de plaisir, je ne m'étais toujours pas arrêté de jouir. Tonomoé en dessous de moi tremblait tout en jouissans et la vue était tout simplement érotique.

Je venais de jouir et ma bite bandait encore, je ne me suis pas retiré de Tonomoé et l'ai juste soulevé pour qu'il puisse s'asseoir sur moi et que je sèche les larmes de plaisir qui coulaient de ses yeux. Il me laissai faire et j'appréciais sa coopération, le fait qu'il ne me fuyait plus et qu'il ne partait plus loin de moi était un cadeau que je me devais de chérir, pouvoir l'étreindre ainsi est plus que nos contacts physique ces dix dernières années.

Tonomoé: Tu bandes toujours espèce d'animal!

Akashi: C'est uniquement parce que tu es tellement bon mon amour.

Tonomoé: Je suis ton amour maintenant?!

Akashi: Tu l'a toujours été, depuis les premiers instants où je t'ai vu et que j'ai fondus en larmes quand tu m'a adressé la parole, tu l'a été.

Tonomoé: Je suis désolé Akashi.

Akashi: Pour quoi?

Tonomoé: Pour tout, je pense...j'aurai aimé que ça ce passe autrement.

Akashi: Tes excuses ne nous feront pas revenir en arrière tu sais? C'est du passé et ce qu'il ce passe maintenant est grâce ou plutôt causé par ce passé. On ne refait pas le monde avec des «si» Tonomoé.

Tonomoé: C'est vrai...

Il me fit un triste sourire que je m'empressa d'embrasser. Maintenant, je ne voulais que sa chaleur et son amour à mon égard, nous auront tout le temps de refaire le monde plus tard.

Tonomoé: Akashi.

Akashi: Oui mon amour?

Tonomoé: Tu ne penses pas que tu pourrais au moins retirer ta bite de moi pendant que tu me fais ce genre de déclaration?

Akashi: Vois tu, je l'utilise comme bouchon.

Tonomoé: Pardon?

Akashi: Il se pourrait que j'ai énormément jouis en toi et que pour que tu gardes chacunes de mes graines, je laisse juste ma bite en guise de bouchon. De toute façon elle est assez grosse il faut bien qu'elle serve à quelque cho-!

Je me pris un énorme coup de poing de la part de Tonomoé.

Tonomoé: Si je tombe enceint, je t'abandonne avec le bébé.

Oh oui je veux un bébé avec lui!!

Loup intérieur: Simp.

Le coup de poing de mon âme soeur avait fait que je m'étais retiré de lui et le voir les jambes écartées sur le lit tandis que mon liquide sortait de son adorable trou était un grand plaisir pour mes yeux; un très grand plaisir pour mes yeux.

Akashi: Si tu tombes enceint j'en prendrai toute la responsabilité, mais Tonomoé...

Tonomoé: Quoi?

Akashi: Laisse moi le faire encore une dernière fois, t'es beaucoup trop sexy!

Tonomoé: Je refuse. Vas mourir.

Il se leva pour aller dans la salle de bain me laissant moi et ma bite beaucoup trop dur, seuls.

Akashi: Me laisse paaaaaas!!!! Mon amouuuuuuuuuuur!!!!!

(Ils ont finit par le faire sous la douche et toute la nuit dans le lit)

Le fil rouge du destin

~Aime moi autant que je te déteste~

Fin