Pdv Maë: On s'était enfin tranquillement installé dans la cabane .Cette cabane est vraiment simple , et c'est ce qu'on aime vraiment avec les autres jeunes, juste quatre murs en bois , un toit en taule,et cinq matelas pare terre .
J'étais allongé entre ané et Louca, ané lisait un livre tranquillement et Louca était sur son téléphone, sûrement en train de faire quelque chose de très intéressant vu qu'il n'avait adressé là paroles à personne depuis qu'il s'était installé . On s'était un peu installé de manière approximative: (Les carrés noirs c'est des matelas)
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C'était clairement pas comme ça qu'on allait dormir... En tout cas j'espère ,je n'ai pas trop envie de passé la nuit à côté de monsieur "je mate les cuisses de maë en croyant que je suis discret"
Bref pour l'instant on ne faisait que discuter de tout et de rien , profitants que Typh n'est pas engagé un autre débat foireux .
Je papillonnais un peu entre les conversations et mon livre quand Typh me fit signe en mon montrant les trois sur le matelas du milieu. Effectivement j'avais le droit à une image assez drôle :
Robin et Louca était en pyjama (torse nu) sur leurs téléphones et Iosune était entre les deux dans son jolie pyjama fleurie avec son livre entre les mains , une image adorable . Je pris une photo et la montra a Ané et puis la photo finit par faire le tour de la petite chambre.
Pdv Tristan: J'étais dans ma chambre, au dernier étage du château, à réfléchir à ce que je pouvais dire à Louca pour être clair avec lui . Je me sentais presque stupide : Me donner autant de mal pour quelqu'un qui avait sûrement choisi de tout oublier... J'entendis un léger bruit dans la chambre d'à côté, le ronflement de mes parents. Car oui , au dernier étage il y a que trois chambre : la mienne tout au fond du couloir , ensuite celle de mes parents et pour finir celle de Selim...
Je finit par choisir de me poser par terre sur le dos à fixer mon plafond avec un regard aussi vide que le cerveau de l'auteur.
D'un coup , on toca à la porte , Ça ne pouvais pas être mes parents, j'étendais encore leurs ronflements.
Je me leva et me dirigea vers la porte pour l'ouvrir, derrière se trouver Selim dans son pantalon de la journée, mais sans le t-shirt.
