𝑨̀ 𝒕𝒐𝒖𝒔 𝒄𝒆𝒖𝒙 𝒒𝒖𝒊 𝒕𝒓𝒐𝒖𝒗𝒆𝒏𝒕 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒅𝒆 𝒑𝒂𝒊𝒙 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒑𝒓𝒐𝒑𝒓𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒇𝒇𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒄𝒆𝒍𝒍𝒆𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝒂𝒖𝒕𝒓𝒆s.
𝑨̀ 𝒕𝒐𝒖𝒔 𝒄𝒆𝒖𝒙 𝒒𝒖𝒊 𝒑𝒆𝒏𝒔𝒆 𝒒𝒖'𝒆𝒏 𝒏𝒐𝒊𝒓𝒄𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕 𝒔𝒐𝒏 𝒂̂𝒎𝒆 𝒐𝒏 𝒃𝒍𝒂𝒏𝒄𝒉𝒊𝒕 𝒔𝒐𝒏 𝒄œ𝒖𝒓.
- 𝑃𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒.
TW : sang
𝑴𝒆́𝒍𝒂𝒏𝒄𝒐𝒍𝒊𝒆, 𝑻𝒐𝒓𝒑𝒆𝒖𝒓.
Qu'est-ce qui ne va pas chez moi ?
Pourquoi fallait-il que je sois ratée ?
J'ai tellement de questions qui me trottent dans la tête que je ne cesse d'y penser...
-Hé, petite.
Qui est cet homme cagoulé ?
Je n'arrive qu'à apercevoir ces yeux.
-Je te parle, que fais-tu là ?
C'est vrai, pourquoi suis-je assise au pied de ma porte, recouverte de sang ?
À qui appartient-il ? Est-ce le mien ?
Mais je n'ai pourtant pas mal.
-Mes parents ? Où sont-ils ? dis-je déboussolée.
Ce sont les mots que j'ai pu articuler avec une boule à la gorge, sans rien laisser paraître et avec un sang-froid inimaginable.
FLASHBACK.
« JAMAIS TU M'ENTENDS ? JE NE VEUX PLUS JAMAIS T'ENTENDRE, SI C'EST POUR FAIRE SORTIR ÇA DE TA BOUCHE. »
« Oui, j'ai compris, pardonne-moi. »
« QU'AS-TU COMPRIS ? »
« Jamais je ne dois bégayer, peu importe la situation, mon ressenti. Même quand je suis seul, je ne dois jamais montrer de signes de faiblesse. »
« Très bien ma fille, retourne dans ta chambre maintenant. »
Sur ces mots, je repartis après lui avoir fait une révérence.
« Ma fille. »
« Ma fille. »
« Ma fille. »
« Ma fille. »
////// FIN FLASHBACK
-Tes parents ? Dit-il en pivotant sa tête sur la gauche.
-Oui. je confirme.
-Regarde tes mains, petite, tu auras la réponse.
Il insinue que j'ai tué mes propres parents ? Est-il fou ? Jamais je ferais une chose pareille, c'est totalement absurde.
Je suis totalement dans les vapes, je retiens mes mains tremblantes et réussis à articuler dans le plus grand des calmes :
-Je ne les ai donc pas tués.
-Tu mens aussi bien que ton père, j'ai l'impression de le voir à travers toi...
-Allez tout simplement le regarder si vous voulez le voir, mais je ne vous garantis pas un très bon accueil.
-Je préfère regarder les êtres vivants. Dit-il avec un sang-froid hors du commun.
-Chef, chef, venez voir. Dit un homme blond sortant de chez moi.
L'homme cagoulé se dirigea à l'intérieur de ma maison, mais quand j'ai essayé de faire pareil l'homme blond m'en a empêché.
-Laissez-moi passer.
-Chef.
-Laissez-la.
À l'instant même, je me ruai à l'intérieur... Leurs corps, celui de mon père et ma mère sans vie, celui de mon père, pendu, couvert de sang et mutilé, ses yeux dégoulinant de sang, la tête violacée.
Celui de ma mère... Celle que je chérissais de tout mon cœur, qui ne cessait de me trahir et de laisser mon père me faire subir des atrocités. Elle était là, tuée proprement avec un poignard dans le cœur, rien de plus, rien de moins. Malgré tout le mal qu'elle a pu me faire, je l'aimais tellement. Ce n'était pas de sa faute si elle était mariée à un monstre avec des troubles mentaux, mais c'était la sienne de le laisser me frapper alors que jamais il ne lèverait la main sur elle.
Ils sont morts à présent.
dites à mes larmes que c'est le moment de couler, elles ne veulent pas sortir. Je suis pourtant anéantie, non ? Je n'ai plus de famille. Je n'ai plus personne à qui me confier.
Tu t'es déjà confié ?
Plus de personnes à qui raconter ma journée.
Quelle journée ? Celle où t'es enfermée ? Ou celle où tu exécutes à la lettre les ordres de ton père ?
-Toi, c'est toi qui les a tués ! L'accusais-je.
Je me retourne vers le blond et pointe mon doigt vers lui.
-Mr Harryssone -f-fin je veux dire chef j-je le jure.
Le blond essaye de former une phrase.
-Plus un mot, j'en ai assez entendu. Dit l'homme à la cagoule.
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𝑼𝒏𝒆 𝒓𝒐𝒏𝒄𝒆 𝒅𝒆 𝒑𝒂𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏.
RomanceUne ronce de passion pour l'amoureuse des ombres nous plonge dans la vie de Rosazya, une jeune avocate brillante et déterminée, reconstruite à partir des cendres de son passé tumultueux et de celui de sa famille. Rosazya est forte, indépendante et...