14: 𝘝𝘢𝘳𝘦𝘴.

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CHAPITRE 14:









𝑴𝒆́𝒍𝒂𝒏𝒄𝒐𝒍𝒊𝒆, 𝑻𝒐𝒓𝒑𝒆𝒖𝒓.







Vares.















ROSAZYA.

Appartement.

Santa Monica.








- Maman ?

.

.

.

Pourquoi me tourne-t-elle le dos ?

- Maman ? Retourne-toi s'il te plaît.

Rien à faire, elle ne m'écoute pas.

Ou peut-être ne m'entend-elle pas ?

Un pas après l'autre, j'avance vers elle.

- Maman, j'arrive.

Je tends ma main pour attraper son épaule sauf que ma tête se tourne instinctivement, j'entends de gros fracas.

Je me lève en sursaut, inspire, expire.

Je pose ma main contre mon cœur.

Ce n'était qu'un cauchemar.

Je me rallonge et ferme les yeux.

Mais ils se rouvrent en entendant le même son que tout à l'heure.

Je commence à faire des hallucinations ?

Je fixe le plafond, essayant de me concentrer, et réalise que l'instant que je vis est bien réel.

Mais soudain, un autre fracas retentit.

Je me lève, réalisant que les coups se font à répétition.

Je regarde par la fenêtre.

Oh, le connard.

Je me rince le visage et enfile un léger peignoir pour me couvrir.

J'ouvre mon armoire et saisis mon revolver.

Je descends en appuyant toute ma haine contre les marches des escaliers.

Je souffle, devant la porte.

Enlève-moi toute la haine que tu as pour ce connard, Rosazya.

Il ne mérite pas de te voir en colère.

Et personne d'autre d'ailleurs.

Il continue en plus.

Je saisis la poignée et ouvre la porte d'un coup, pointant mon revolver contre son cœur.

Je tombe nez à nez avec ces...

FOUTUES LUNETTES.

Que je rêve de briser en des milliers de morceaux.

Son bras me tend son téléphone avec l'heure affichée : 8h05.

- J'entre.

Il me pousse et rentre.

- Sale connard, je chuchote.

Il a très bien entendu.

J'espère en tout cas.

Il s'installe sur le canapé, qu'il a mis lui-même ici.

- J'avais pourtant dit à Paolo que je le voulais collé au mur.

𝑼𝒏𝒆 𝒓𝒐𝒏𝒄𝒆 𝒅𝒆 𝒑𝒂𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant