J'avais l'impression que Dieu m'avait prise en joug, le fusil sur la tempe et sans possibilité de fuite. J'avais l'impression que la vie était un immense casino. Dieu était la maison et la maison ne perd jamais. J'avais l'impression de perdre, de perdre à chaque fois. Je n'avais aucune chance face à la volonté de Dieu. Sur la table, Dieu raflait l'entièreté de mes espoirs qui n'était que de petits jetons emportés par Sa grande pelle. Je perds à chaque fois. J'ai perdu.
VOUS LISEZ
Cœur brisé
PoetryRecueil de poèmes pour les cœurs brisés, brûlés, meurtris qui cherchent l'apaisement, la reconstruction et la guérison. Pour les cœurs malades qui cherchent un remède, pour les cœurs en détresses qui attendent un secours, pour les cœurs en feu qui e...