En grandissant, nous n'avons plus de rêves, nous n'avons que des souvenirs.
Petite fille, le monde était un vaste terrain, ombragé et verdoyant, sur lequel je pouvais tout construire et tout élever. J'avais l'impression d'être immense. Grande femme, le monde est un couloir étroit, qui n'offre qu'un chemin, dont les murs se resserrent et dont le plafond descend. J'ai l'impression de ne plus parvenir à respirer.
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Cœur brisé
PoetryRecueil de poèmes pour les cœurs brisés, brûlés, meurtris qui cherchent l'apaisement, la reconstruction et la guérison. Pour les cœurs malades qui cherchent un remède, pour les cœurs en détresses qui attendent un secours, pour les cœurs en feu qui e...