A housekeeper for a rich

CHAPITRE 4

Je m'étais levé tôt, vraiment tôt.

C'était l'heure à laquelle se levait les enfants pour aller à l'école.

Je pris mon emplois du temps pour voir, ce que j'allais faire à une heure pareille ?

Amener Lucas et Kaissy à l'école.

Logique.

J'étais enthousiaste à l'idée de faire se que leurs mère devait faire.

D'ailleurs où était partie leurs mère, était elle partie chercher du lait ?

Tout le monde savait qu'elle était journaliste, mais où avait-elle disparu ?

Ses enfants ne lui manquait ils pas ?

Je pris mon petit déjeuner, pour enfilé mon uniforme de travaille.

Quand je leva les yeux vers l'horloge, je vis que j'allais être en avance, une première, j'avais pris quinze minutes à me préparer.

Je monta dans ma Audi bleu, ma couleur préféré.

En quelques minutes j'arrivai à l'endroit de travaille.

Les deux amours m'y attendais.

J'étais contente comme si cela faisait trois ans que je ne les avaient pas vue.

Ils coururent dans mes bras pour me souhaiter bonjour.

- Aujourd'hui, c'est moi qui vous amènes à l'école.

- Ouiiiii !

Leurs yeux brillaient, de joie.

Se qui, me rendis encore plus joyeuse, à mon tour.

On monta dans ma voiture.

En cinq minutes, nous étions arrivés.

Je les déposaient, quand je sentis des regards.

C'était les femme qui après avoir déposé leurs enfants, restaient des heures sur un banc à parler de choses inutiles et de leurs vies.

Se genre de femme m'ennuyais énormément.

L'une d'entre elles vint me dire bonjour, je lui répondit poliment.

- Vous êtes la mère de ces enfants?

Me questonna- t - elle.

- Excusé moi, mais je n'ai pas le temps que vous avez.

J'étais déjà partie avant de voir sa réaction.

J'aimais beaucoup laisser les gens avec leurs doutes.

Bien-sûr je n'exerçais pas cette pratique avec les gens que J'aime.

Sauf exceptions.

En rentrent, je vis Betty m'attendre.

Elle me regardait, avec un regard meurtrier.

Que s'était-il passer pour qu'elle me regarde comme ça.

- Tu travaillera plus tard désormais.

Je sentais dans son regard de la colère et de la rancœur.

- Quelle heure ?

- Vers minuit.

- Non, sa va pas être possible.

Je vis son expression changer.

Cette femme était vraiment versatile.

- Si tu veut je peux te rendre un service. Tu pars après avoir fini le nettoyage et moi je fini tes heures.