Chapitre 9: Un peu plus proche

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*Dans la soirée*

Frankenstein : Maitre, jeune maitresse, je vais partir maintenant

Moi : Je ne le dis que rarement, mais ce genre de costume te va te très bien, Frankenstein.

Frankenstein : Merci jeune maitresse.

Raizel : Ils ont dévoilé leur force. Vu qu'ils ont agi en premier, je suis sûr qu'ils ont un plan de secours

Moi : Franky ?

Frankenstein : Je vous remercie mes maitres

Raizel : Tu peux partir

Moi : Par contre, n'oublies pas que tu ne peux pas utiliser complètement ta puissance.

Frankenstein : Je m'en souviens, jeune maitresse. Au revoir mes maitres

Le voilà parti, j'ai confiance en Franky, il est assez fort pour survivre à ça, je le sais bien. Le problème c'est de savoir s'il pourra se contrôler. Mais bon, ça devrait aller, normalement. Enfin bon, moi et Raizel on prenait le thé en mangeant des biscuits. La seule chose qu'on puisse faire maintenant, c'est attendre que Frankenstein rentre de toute façon. D'ailleurs, c'est bizarre que je me souvienne de ça, mais Yuna a dit avoir perdu son téléphone depuis le jour où elle a enlevé. Je pense donc que son téléphone doit être en possession des types de l'autre fois.

*Plusieurs minutes de silences*

Moi : Mais sinon, comment ça va à l'école ?, tu t'adaptes ?

Raizel : (hochant la tête) Cela est assez difficile de temps en temps mais plutôt plaisant. Sharaa, comment s'est réellement passé ces 820 dernières années ?

Moi : Plutôt bien...

Raizel : Sharaa, ne me mens pas. Tu n'as jamais pu me cacher quoi que ce soit

Moi : Si tu veux tout savoir... c'est fatiguant à la longue de revivre encore et encore en revenant sous la forme d'un bébé... de se souvenir de toutes nos vies intérieurs... tu m'as tellement manqué que sans Frankenstein à mes côtés je ne sais pas si j'aurais pu vivre avancer pendant ces 820 dernières années. Avec l'OIC, j'avais l'impression de pouvoir me défouler un peu lors des missions et d'avoir plus de chance de te trouver.

Raizel : Alors pourquoi avoir démissionné ?

Moi : Parce que ça n'a servi à rien, malgré ces trois années à l'OIC, je n'ai pas pu te trouver. (sourire) Mais ne t'inquiètes pas, je suis heureuse de te voir cette fois, tellement que je ne veux plus te quitter

Je me suis levée puis je suis allée m'assoir à côté de lui. Raizel a toujours été ma seule famille, bien évidemment que mon amour pour lui est aussi fort. Avec Frankenstein, ils sont tous les deux les personnes les plus chers à mon cœur.

Raizel : Maintenant que j'y pense, tu chantais souvent autrefois. Ta voix m'a manquée

Moi : (sourire) Tu veux que je chante ?

(sourire) Je suis allée au piano et là j'ai commencée à jouer une mélodie, puis j'ai chanté dessus. Cela faisait si longtemps que je n'ai pas chantée pour autre chose que pour le travail que je me suis laissée emportée. Cependant, voir le sourire de Raizel vaut pour moi, tous les trésors du monde.

Bref, je suis retournée m'assoir près de lui quand d'un coup on a tous les deux eu un pressentiment. On s'est regardé une seconde, puis on s'est tous les deux levés. On est allés à la porte et d'un coup il s'est immobilisé. Ah oui, il ne sait pas ouvrir une porte ... enfin... cette porte pour être précis.

Moi : Euh...

Raizel : Il semble que nous devions sortir par la fenêtre

Moi : Ou alors on peut sortir par la porte

Noblesse x oc: Le destin de la Noblesse et du démon lunaire Où les histoires vivent. Découvrez maintenant