Chapitre 18

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Salam Alaykoum
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Dans la peau de Masaliou

Nous arrivons à la maison, elle est super contente des achats que nous avons fait. Voyons voir qui tu es Souadou.

Elle part ranger ces vêtements dans la chambre et reviens me trouver déjà lavé et changé me reposant sur le lit tout en manipulant mon phone.

Elle : *s'assoit à côté de moi* merci beaucoup Masaliou ! On est ensemble depuis seulement hier et tu te permets de m'acheter toutes ces choses. Tu es un amour !

Aveuglée par l'argent ? Toutes les femmes le sont. De nos jours tu veux gagner le cœur d'une femme, donne lui l'argent. Sauf que Souadou me plaît beaucoup, et dépenser sur elle ne me cause absolument aucun problème. Déjà elle est sous ma responsabilité, je l'ai fait quitter Conakry pour ici, son manger, son logement, son habillement devraient être en ma charge désormais.
Pourquoi l'ai-je prêté aide ? Je n'en sais rien. Peut-être parce qu'elle s'est interressée à moi quand j'étais vraiment déprimé. Ou alors j'ai juste voulu l'emmener avec moi comme ça en prétendant l'aider tout en sachant que j'ai développé des sentiments pour elle en une si petite duré. Ou alors c'était à cause de Laïla, surtout celà, elle s'est interressée à moi et voulais me faire me faire oublier ce qu'elle m'a fait traverser.

Bref elle est toujours assise à côté de moi. Je me redresse et m'assois à mon tour. Elle porte des vêtements simple comme elle est à la maison, une robe verte.

Je lui fais un bisou sur la joue, elle était surprise mais se laisse faire. Je pose ma main sur sa joue et tourne sa tête de sorte à avoir accès à ses lèvres.

_C'est parceque tu me plaît beaucoup ! J'ai peur de tomber follement amoureux de toi ma chérie.

La surprise suite à ma dernière phrase, se lis dans ses yeux.
J'en profite pour déposer mes lèvres sur les siennes.
Elle me répond immédiatement et tient ma nuque de ses mains, m'insistant à approfondir le baiser.
C'est maintenant ou jamais que je dois commencer mon teste, l'argent aveugle les femmes et leur fait perdre la tête.
Sans tarder je la fais se coucher et moi au-dessus d'elle, j'embrasse son coup, elle gémit, je touche ses seins à travers le tissu, elle se laisse faire, alors là je me mets à hôter mon tee-shirt, dès que je commence, j'avais à peine dévoilé mon nombril qu'elle a stoppé mes mains.

Elle : *me tenant les mains* non Masaliou !

Je souris intérieurement mais ne laisse pas apparaître sur mon visage, plutôt ce dernier je le fronce.

_Pardon !

Elle : *se lève* non j'ai dit ! On peut pas faire ça !

_Et pourquoi pas ?

Elle : je suis pas ce genre de fille là !

Bien dit ma chérie, pour ma future femme c'est très bien dit, maintenant voyons voir la justification à cette réponse.

_*m'assois* tu n'es pas ce genre de fille ? Tu y as pensé tout à l'heure quand tu bouffait mon argent au centre commercial ?

Elle : je m'en doutais, j'ai accepté ces vêtements à seulement 50%, je savais que ce moment allait arriver d'une minute à l'autre, c'est vrai je suis sous ton toit mais ma dignité avant tout. En m'emmenant ici tu m'avais en aucun cas dit qu'entre nous ça allait être une relation entre une prostituée et son maître.

_*m'énervant lol* bon sang Souadou, tu n'es pas mon esclave mais ma petite amie ! J'ai des besoins ne l'oublie pas !

Elle : ah bah voilà du moment que je ne suis pas ton esclave juste ta petite amie, je dis non à ça ! Et pour tes besoins Masaliou, tu ne les assouviras avec moi que si tu es mon époux. Désolée mais les relations hors mariage, je ne suis pas de dans. Tu m'a peut être ramassé dans un bar mais je te dis là aujourd'hui que c'est pas toutes les travailleuses de bar qui sont des filles mal propres.

_C'est bon tu as tout dit, sors de ma chambre maintenant !!

Elle se lève et disparaît en fermant la porte.

C'est exactement comme ça qu'une femme devrait réagir, sans doute elle sera mon épouse. Mais le teste n'est pas encore terminé, je vais retenter pour voir si elle cède encore une fois.
Ce sera elle ma femme sans aucun doute.

Pendant que je pensais à Souadou dans ma tête comme ma future femme, l'image de Safia vient dans mon cerveau et soudainement mes pensées virent vers elle.

Bon sang je vais casser quelques chose, pourquoi cette fille hante mes pensées ?

PUTAIN C'EST LA COPINE DE TON FRÈRE MASALIOU ARRÊTE DE PENSER À ELLE MERDE !!!

Je me lève pour aller prendre l'air, dès que je sors je la vois. ''la'' c'est pas Souadou, ni ma sœur, encore moins ma mère d'ailleurs elle n'est même pas là. C'est Safia qui entre dans la demeure avec Aliou qui lui tient au niveau de la hanche.

Aliou : *arrivant à mon niveau*  koto !

_Y'a quoi ?

Lui : du calme je te salue juste !

_Salut à toi aussi Aliou !

Lui : *à Safia* bon allons à l'intérieur tu veux ! Celui-là je sais pas ce qu'il a aujourd'hui !

Elle : *à moi* bonsoir !

_Oui bonsoir Safia !

Elle : qu'est-ce qui ne va pas ?

Mais pourquoi elle me demande ça elle ?

_Rien okay ? Juste le boulot !

Elle : ah okay ! Alors salut ! *Partant pour l'instant*

_Oui salut !

Je ne peux pas l'interdire de venir ici, or si je ne le fais pas je vais la croiser très souvent. Aliou tu me mets dans la merde là !

Dans la peau de Aliou

Nous arrivons au salon, elle s'assoit je fais pareille juste à côté d'elle. J'avais besoin de cette proximité today telle fut que je l'ai forcé à venir, elle voulait pas. Selon elle c'est pas une bonne idée d'être every day présente chez moi. Or moi l'avoir en ma compagnie every Time est mon désir le plus cher. Que Dieu fasse qu'elle soit celle qui portera mon nom et mes enfants.

Maman et papa, j'aurais voulu que vous assistiez à cet événement.

Bref j'entrelace mes doigts contre ceux de Safia, tout en se regardant, les yeux dans les yeux je capture ses lèvres. Là on échange un doux baisers avant de se relâcher. Je pose ma main sur sa cuisse et la caresse tout doucement. Elle aime beaucoup mes caresses.

_Bébé !

Elle : oui !

_Allons nous reposer un peu, j'ai envie d'être seul avec toi, ici n'importe qui peut venir nous déranger.

Elle : j'espère que ce que tu as dans la tête...

_*la coupe* tu sais bien que je ne pense pas à ce genre de choses. *me lève* détend toi comme d'hab et suis moi princesse.

Je lui tends la main qu'elle saisit et nous allons jusque dans ma chambre, je ferme la porte et la fais assoir sur le canapé puis m'y mets à mon tour.
Et s'en ai parti pour une heure de romance, des regards intenses, des baisers baveux, des caresses délicieux, des 'je t'aime' des surnoms romantique, ma douce, mon sucre, ma chérie, Mon amour mon miel,... Oh lala j'ai pas envie que ce moment ce termine, mais évidemment, l'heure de rentrer est venu. Je la raccompagne jusque devant sa porte et retourne chez moi.

...

Amour CompliquéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant