Wooyoung aimait les épaules de San. Comme si elles étaient faites pour lui.
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Wooyoung a toujours été passionné par les épaules de son membre de groupe. Il les observait en permanence, quitte à perdre des informations. Tout ce qu'il l'importait était ses épaules. Tout les autres membres le savait, même le propriétaire de ces épaules.
Wooyoung profitait de chaque occasions pour les admirer. Il savait que San s'entraînait souvent sans haut quand il lui semblait être seul, alors il s'introduisait dans la salle pour le voir. Son dos était tout aussi séduisant, mais ses épaules restait ce qui l'attirait le plus. Chaque fois, San remarquait Wooyoung, souvent au milieu de sa séance, il ne disait rien. Il aimait sentir le regard du plus jeune sur lui. Pour lui, il musclait le plus souvent le haut de son corps.
Quand San avait dit dans un interview que ses exercices favoris était pour ses épaules et son dos, Wooyoung crut se voir fondre, ou exploser. Il adorait regarder ses muscles se contracter, lors de ses séances de musculation, ou pendant les répétitions de leur chorégraphies. Dès qu'il le pouvait, il laissait son regard glisser dessus. Totalement conscient de ses actes, il ne se lasser pas de voir San dans ses hauts sans manches. S'il le pouvait, il lui interdirait de porter quelques chose d'autres, dechirerai les manches des autres.
Et même s'il aimait le voir dans les tenues types costumes que les stylistes lui confectionner, ses préférées restaient celles où il pouvait voir ses épaules, ou les imaginer, avec les hauts les moulants.
Wooyoung en était dingue. Tout ce qu'il voulait, c'est qu'elles soient à lui. Que San soit à lui. Chaque fois qu'ils étaient à côté, il profitait de sa fatigue pour laisser sa tête tomber dessus. San ne l'en empêcher pas, c'était meme s'il l'encourager à le faire, passant sa main dans ses cheveux, et s'ajustant pour Wooyoung. Lui, s'endormait toujours, même si sa fatigue n'était qu'une excuse, les épaules de San étaient si confortable pour lui qu'il aurait pu les confondre avec ses oreillers. Bercé par le fait qu'elles semblaient être faite pour lui, et par les caresses de San dans ses cheveux, il luttait toujours pour ne pas s'endormir.
Parfois, quand il n'arrivait pas à s'endormir, il s'imaginait que ses oreillers étaient leurs double, son matelas le corps de San. Et il tombait dans le sommeil en une ou deux secondes.
Sortant d'un rêve, les yeux encore fermés, la sensation semblait trop réelle. Il lui semblait que dans des bras l'emprisonner au niveau de sa taille, que son menton avait quitté son oreiller, et se trouvait maintenant dans le creux d'un cou et d'une épaule, des cheveux lui chatouillant le bout du nez. Une odeur qu'il ne reconnaissait que trop bien emplissait la chambre et ses narines.
– Qu'est-ce que tu fait là ?
– J'en avais envie.
– Au beau milieu de la nuit ?
– Oui.
– Pourquoi ?
– Ca fait trop longtemps qu'on a pas fait de câlins.
– San, ca fait deux semaines.
– C'est trop.
Il resserra ses mains dans le dos de Wooyoung, l'obligeant à se plus se coller contre lui.
– San ?
– Mmn ?
– Je te veux.
– Quoi ?
– Je veux que tu sois à moi. Toi et tes épaules.
Un léger rire remplit la pièce.
– Je suis tout à toi, Wooyoung. Moi, et mes épaules.
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