Chapitre 2 : La chance est avec moi

4.9K 14 0
                                    

Je me remettait de cette nouvelle qui rendait Achille et Sara encore plus excitants en discutant sur le chemin du lycée avec eux. J'apprenais au passage qu'ils habitaient dans un très beau quartier et avaient des parents très riches, tous les deux PDG de leur boîte.

Enfin en classe, la professeure commençait par nous présenté le plan de classe, je croisais alors les doigts pour qu'il me soit favorable : j'eu du mal à caché ma joie quand je vis que Sara était juste devant moi et que Achille était mon voisin de table. Et c'est pendant le cours de maths que je pu constater tous les avantages de ce plan de classe. 

Sara était très bavarde avec son frère (et donc avec moi puisque j'étais son voisin) et n'arrêtait pas de se retourner pour parler. Je pouvais alors profiter de son visage magnifique, ses belles lèvres charnues que je fantasmais tant sur mes lèvres et sur ma bite, et ses seins qui remplissaient bien son chemisier pour lui faire deux belles formes. Le reste du temps je pouvais profiter de ses beaux cheveux blonds qui participaient beaucoup à son charme, et de ses belles fesses qu'elle avait l'habitude de cambrer en classe. Autrement dit je pouvais me rincer l'œil constamment, ce qui allait poser de sérieux problèmes de concentrations en cours.

De plus, je pouvais sympathiser avec Achille qui se révélait en plus de sa beauté extrêmement sympa et drôle, ça ne faisais que rajouter à son charme.

J'avais à ce moment une mission claire, me lier d'amitié avec Achille et me rapprocher de sa sœur. 

Seulement l'incroyable attirance que je présentaient pour ces jumeaux pouvaient être problématique. Par exemple, pendant un intercours, je rigolait avec Achille et quand je lui lança une pique, il eu la merveilleuse (ou terrible) idée de venir me faire un étranglement commando par derrière en me disant "Excuses toi ou t'es mort !" en rigolant, je n'avais pas l'intention d'abandonner ou de m'excuser donc je commençais à me débattre mais il était plus fort que moi et me plaqua contre le mur en faisant son étranglement par derrière. A ce moment deux choses m'excitaient terriblement : premièrement, je me sentais soumis à lui, j'étais réellement à sa merci et je me rendais compte de sa supériorité physique, ce sentiment de domination qu'il avait sur moi était juste incroyable ; ensuite vu que je me débattais il étais obligé de se coller à moi pour me maintenir et ses hanches se collaient aux miennes si bien que je pouvais plus ou moins sentir, à travers les couches de tissus, son membre se frotter à mes fesses. J'ai alors eu très vite dans l'affrontement une érection monumentale et presque douloureuse qui se formait dans mon pantalon, je rougissais aussi légèrement mais pas assez pour que ce soit visible. A ce moment, s'il lançait n'importe quel blague débile comme un chat-bite j'étais fini. Heureusement, je finis par reconnaître ma défaite et on entama le cours d'anglais durant lequel je dû caché mon érection pendant encore 30 minutes avant de me calmer. 

Une autre situation fût un peu gênante quand, comme si le destin était de mon côté, et que Sara trébucha sur moi et que je la rattrapât de justesse par les hanches avant qu'elle ne tombe.  

En fin d'après-midi, alors que j'allais simplement au toilette pendant une pause, j'entendais un bruit assez étrange dans les toilettes d'à côté : des bruits de bouches, je compris vite de quoi il pouvait s'agir. 

Donc poussé par une curiosité grandissante j'essayais discrètement de découvrir qui était dedans en sortant de toilettes. Je repéra alors un tout petit trou entre le verrou et la poigné surement à cause d'un assemblage approximative de la porte. L'erreur du bricoleur allait me porter chance. Alors que je rapprochais doucement mon œil du trou je failli crier de surprise quand au spectacle qui se déroulait devant moi. Raphaël, un ami de Achille que j'avais repéré dans la cours, et qui avait également un physique plus qu'attractif : brun de 1m80 environ, avec une voie très grave et presque cassé mais très "mignon" et avec un sourire assez craquant, avec Sara étaient devant moi. Sara, accroupi simplement vêtue d'un string (elle était magnifique : des seins absolument parfaits en forme de pomme se déposaient délicatement sur son torse et je voyais encore mieux ses belles fesses), avec la bite de Raphaël tellement enfoncé dans la bouche que l'on voyait sa gorge déformée, et Raphaël debout tenant la tête de Sara à deux mains. Raphaël ressorti d'un coup sa verge palpitante et pleine de bave d'au moins 18 cm de la gorge de la blonde avant de lui éjaculer sur le visage, dans les cheveux et sur les seins. J'avais rarement vu, même dans les vidéos porno les plus extravagante, une telle éjaculation (en même temps vu à quelle point Sara était une bombe sexuelle je comprenais son excitation, et j'aurais donné n'importe quoi pour être à sa place). Sara accepta son sperme la gueule grande ouverte, la voir soumise à ce point était un délice, elle cachait pourtant bien son jeu de salope. Raphaël la bifla avec sa longue bite, rougit par une fellation qui avait dû être intense, encore à moitié bandante, en réponse à quoi elle gémit. J'hésitais à prendre une photo mais je fus freiner par ma morale. 

En voyant qu'ils commençaient à se rhabiller en s'embrassant je m'enfuis vite. 

La dernière heure de cours, Achille était parti à l'infirmerie et pour ne pas s'ennuyer Sara vient se positionner à côté de moi. Impossible de la regarder dans les yeux sans bander. 

Mais je vis une occasion de la taquiner : elle avait garder une petit marque rouge sur la joue : Raphaël semblait l'avoir bifler plus violemment qu'il n'y paraissait. Et elle avait un petit bout de papier dans les cheveux.

Je lui dit alors : "-Pourquoi t'as une marque rouge sur la joue ?

Elle rougît alors en une demie seconde et dit en bégayant : - Euhh, c'est euhhh, rien, c'est Achille qui m'a giflé gentiment pour rire.

- Et dans tes cheveux, c'est quoi se truc blanc ?? ajoutais je en me délectant de ses réactions.

A ce moment elle sursauta presque et je lui dit que c'était juste un bout de papier en ajoutant "Pourquoi tu pensais, à quoi ?".

Je me rendit compte que j'étais allé un peu loin et qu'elle avait comprise que j'avais vu quelque chose car elle me répondit "On en parle après les cours, je t'en supplies ne dit rien,  personne n'est au courant".



Fantasme au lycéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant