La danse

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Les étoiles dansaient sur le parquet noir céleste,
Moi aussi j'y étais à ce bal, et j'y reste!
La pleine Lune éclairait ces astres tournoyer
Encore et encore. C'est sans fin, à tout jamais!
Je peux donc décrire cet étrange duo:
La Lune était arrivée entourée de malles
Remplies de belles étoiles prêtes à virevolter.
Quand la musique assourdissante fut soufflée
Par le vent trop fort, trop rapide, trop puissant,
La grande ivoire non loin des petits diamants,
S'est joint à leurs discrets mouvements endiablants,
Malheur! La brise s'est arrêtée de crier,
Ma vue, brouillée, puis mes paupières se sont fermées.

Mon recueil de poèmes Où les histoires vivent. Découvrez maintenant