Quand la mer céleste perd son éternel bleu,
J'admire la noyade de l'astre brûlant
Dans l'immensité azur. Son rayon qui fend
L'immense montagne rouge comme le feu.J'observe aussi les nombreuses demeures s'éclairer
Comme on allume des milliards de bougies.
Mais au même moment, les voix s'éteignent, ici
Dans la vallée brillante qui me fait rêver.Puis les chênes, les pins deviennent couleur émeraude,
Et la lune s'élève dans le ciel éteint.
Cette vue peut être muse d'un tableau peint.
Malheur! La fenêtre se ferme et le noir rôde!
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Mon recueil de poèmes
PoesíaUn vers, une strophe, Des mots qui sont l'étoffe D'un message, De l'encre sur une page, Des rimes, de la prose, Un poète qui ose Exprimer ses idée, Pour cela il crée Un tercet, un quatrain Ou peut être un alexandrin, Juste un poème Car la beauté n'...