La sphère brûlante est haute dans le ciel,
Les nuages ont disparu dans la mer céleste,
Il s'élève dans le fond bleu, l'arbre mortel.
Un grand arbre malade, fuit comme la peste,
Un arbre pauvre avec ses rares feuilles dorées,
Un arbre vieux repoussant l'éternel mort.
Cet Eucalyptus ne fait que croire, espérer.
Son dernier espoir, sa végétation en or!
Mais peut-il encore vouloir vivre s'il est seul?
Je l'ignore! Il a peut être un compagnon,
Un ami, sans doute un Chêne ou bien un Tilleul.
Pour moi, quand ma tête n'a pas de chansons,
Je regarde le seul qui entend le silence,
Le seul qui sait voir les plaintes dans les rires joyeux,
Le seul qui peut les réduire, les détruire. Il pense
Mes blessures, fait apparaître un sourire heureux.
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Mon recueil de poèmes
ŞiirUn vers, une strophe, Des mots qui sont l'étoffe D'un message, De l'encre sur une page, Des rimes, de la prose, Un poète qui ose Exprimer ses idée, Pour cela il crée Un tercet, un quatrain Ou peut être un alexandrin, Juste un poème Car la beauté n'...