Maman,
Toi, tu vis avec les contraintes,
Tes lèvres ne crient pas tes plaintes,
Mais le bonheur, ta bouche rend.
Maman,
Tu écrases fermement les
Critiques qu'un homme fait
Sur la femme et ses droits vivants
Maman,
Dans tes beaux yeux bleus, je vois toute
Ton intelligence qui coûte
À l'homme bête, l'assourdissant
Embarras car il a eut tort
De se mesurer à toi la
Féministe. À chaque pas
Le temps s'arrête et ton sort
Que tu lances sur l'homme con
Agit, ainsi son avis fond
Et laisse place au géant pont
Qui mène à la pondération.
VOUS LISEZ
Mon recueil de poèmes
PoesíaUn vers, une strophe, Des mots qui sont l'étoffe D'un message, De l'encre sur une page, Des rimes, de la prose, Un poète qui ose Exprimer ses idée, Pour cela il crée Un tercet, un quatrain Ou peut être un alexandrin, Juste un poème Car la beauté n'...
