Les vieux démons refont surface.
Je les pensais disparus, depuis le temps
Mais non, je me suis juste voilée la face.
Ils étaient tapis dans l'ombre en me chuchotant
De rester éloignée, de ne pas faire confiance.
C'est ce qui me détruit, c'est ce qui me brise.
Les vieilles blessures, je les panse
Mais elles se réouvrent, c'est comme une brise,
Une brise, de douleur, de doute et de pleure
Une brise que je suis là seul à sentir;
Et dans cette océan de souffrance, je me meure.
Mais je ne me plains pas, certains vivent pire.
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Mon recueil de poèmes
ŞiirUn vers, une strophe, Des mots qui sont l'étoffe D'un message, De l'encre sur une page, Des rimes, de la prose, Un poète qui ose Exprimer ses idée, Pour cela il crée Un tercet, un quatrain Ou peut être un alexandrin, Juste un poème Car la beauté n'...