CHAPITRE 13

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Tous les deux c'est comme Bonnie and Clyde mais en mieux

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Tous les deux c'est comme Bonnie and Clyde mais en mieux.

NEJ

SOLAL

Je tiens mon visage près de sien, refusant de rompre nos regard l'un envers l'autre. Cette fille me pousse à bout. J'ai tenté de rester loin d'elle, acceptant avec amertume son rejet, allant même jusqu'à refuser les avances des filles du manoir... Mon orgueil en a pris un sacré coup. Me voilà à genoux devant une fille que je trouvais bien quelconque au départ. Je comprends même pas ce qui m'arrive, ne me reconnaissant pas. Comme si j'étais un autre Solal.

- Alors dis-moi ce que ça t'a fait ! Dis-je la mâchoire serré.

Sana approche son visage encore plus près du mien, je peux sentir l'odeur de ses expirations... La cerise. Mon vile esprit souhaiterait l'embrasser et la prendre ici même, cependant je repousse mes pensées et garde contenance...

- Cela ne m'a rien fait. Ment-elle sans honte.

- Ah oui ? Alors tu n'as pas pensé à mes baisers ? Mes caresses ? Mes mains sur ton corps...

Sana déglutie...

J'avance mon doigt sur son cou puis le laisse glisser sur son sein... Elle retient un gémissement sans rompre le contacte de nos yeux... Cette fille est hypnotique, ensorcelante presque même irréelle tant sa beauté est a couper le souffle...

- Tu ne cherches qu'à me mettre dans ton lit Solal. Je suis juste quelque chose de nouveau à tes yeux, quelque chose à laquelle tu n'as encore jamais goûté... Et une fois que tu auras eu ce que tu veux, tu ne m'accordera même plus un regard. Avoue-t-elle avec douleur...

Je me recule alors, les sourcils froncés, pensif..

- Les filles qui t'entourent sont mon opposé... Et je refuse d'être utilisée puis jeter comme une vulgaire putain. Finit-elle avant de se lever pour partir. Mais je la retiens par le poignet, refusant de la laisser me filer entre les doigts de nouveau.
Je la plaque contre moi, et la tiens fermement, ses deux poignets bloqués par ma main et contre mon torse.

- Si seulement tu disais vrai. Si seulement je n'avais que pour seule envie de te baiser puis te jeter, les choses seraient bien plus facile pour moi. J'ai pour habitude à ce que les filles tombent a mes pieds, ne requérant d'aucun effort pour les mettre dans mon lit. Je n'ai qu'à claquer des doigts. 
Mais toi Sana... C'est différent, tu es différente et je l'ai su le premier soir où nous nous sommes rencontré chez toi...
J'ai essayé de garder mes distance, de te détester et Dieu sait combien tu m'es insupportable...

- Sympa. Commente t'elle pleine de sarcasme.

- Ferme-là ! Argue-Je en la serrant un peu plus contre moi.
- Tu es agaçante, opiniâtre et arrogante !

- Et toi tu n'es qu'un pervers qui prend plaisir à venir mettre ma vie en vrac !

Je souris fièrement

Mon InterditOù les histoires vivent. Découvrez maintenant