Amour ou Amitié : Deux Chemins, Un Destin

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Hessoul en arrivant chez elle j'ai eu la surprise de voir que la porte d'entrée était ouverte, ce qui me laissais voir un rassemblement autour de la table basse de le salon. Je suis rentré et que fût mon grand étonnement quand j'ai vue zaïm allongé par terre l'air inconscient.

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Lorsque j'ai vu mon frère gisant là, inerte, un sentiment de panique m'a submergé. Mon instinct m'a poussée à courir vers lui, en espérant de tout cœur que ce soit une mauvaise blague, un réveil de sa part. Pourtant, le silence persistait, et il ne répondait pas.

J'ai serré mon frère aussi fort que je le pouvais dans mes bras, priant silencieusement pour que cette situation ne soit pas réelle, que c'était une sorte de cauchemar dont j'allais bientôt me réveiller. Mais il était bien là, inerte. Des larmes ont commencé à couler, et ma voix tremblante a chuchoté : "Ce n'est pas possible, tu ne peux pas me faire ça, réveille-toi." C'était un moment d'impuissance, de peur, de douleur.

Nahël, debout derrière moi, a immédiatement composé le numéro des ambulanciers. Mon frère ne montrait aucun signe de réveil. Son pouls était si faible que je ne pouvais le détecter. Il avait cessé de respirer. C'est à ce moment-là que j'ai réalisé que je devais agir rapidement. J'ai commencé la procédure que mon père m'avait apprise, un massage cardiaque. Le temps s'est dilaté, et je priais de toutes mes forces pour que mon frère revienne.

À ma grande surprise, il a ouvert les yeux. J'avais réussi, je l'avais ramener. Le soulagement, la joie, l'épuisement, tout s'est mêlé en moi. Nous l'avons aidé à s'asseoir sur une chaise, en attendant l'arrivée des ambulanciers. Il avait l'air profondément secoué, et il avait du mal à comprendre ce qui venait de se passer. Toute la pièce était remplie de choc et d'émotion. C'était un moment que nous n'oublierions jamais.

Lorsque les ambulanciers sont arrivés, ils ont pris en charge mon frère immédiatement. Nous les avons informés de ce qui s'était passé, et ils l'ont emmené à l'hôpital pour des examens approfondis. Nous étions tous soulagés qu'il ait repris conscience, mais nous savions que cela nécessitait une évaluation médicale sérieuse.

Pendant que Nahël, Layna, et moi étions à l'hôpital, les frères de Layna sont restés à la maison. Nous avons continué à nous inquiéter, mais au fil des heures, nous avons reçu de bonnes nouvelles. Les médecins ont confirmé qu'il se rétablissait progressivement, bien que la cause de son évanouissement soit restée un mystère à résoudre.

Nous avons fini par rentrer à la maison, où toute la famille s'est réunie pour discuter de ce qui s'était passé. Mon frère était fatigué mais conscient. Nous lui avons posé des questions pour comprendre s'il avait ressenti des symptômes particuliers avant l'incident, mais il a dit qu'il se sentait bien jusqu'à ce que tout devienne soudainement sombre.

Nous avons décidé de ne plus parler de ça et d'aller dormir. Ce soir la je pense que je ne me suis jamais autant attaché à lui. J'avais peur. Mais il m'a réconforté avec des petites papouilles dans les cheveux. Mais je n'arrivais toujours pas à trouver le sommeil.

Quand je me suis rendu compte que ronflex dormais,
Je me suis levée en prenant mon téléphone. C'est là que je me suis rendue compte que j'avais un message d'un numéro pas enregistré. Donc je lui ai répondue « t qui ? » Un sentiment de curiosité m'envahissait, bien que ma préoccupation principale restait mon frère.

Je suis rallongé toujours en espérant trouver le sommeil. Ptdrr Zaïm pour une gars qui a faillit mourrir il était full détente Hyn il s'est allongé en s'assurant bien de prendre toute la place.