19

3K 49 54
                                    

Kaïs : Leya, je t'en veux pas. Tout ce qui compte maintenant, c'est de trouver ton père.

La tension entre nous s'était un peu dissipée. Nous avancions dans l'usine, attentifs aux moindres indices. Les couloirs sombres semblaient sans fin, mais nous étions déterminés à poursuivre notre recherche, main dans la main.

———

L'aventure à laquelle nous nous étions engagés était pleine d'incertitudes. La lumière vacillante de nos lampes de poche peignait des ombres inquiétantes sur les murs décrépits de l'usine, et chaque craquement ou bruissement nous faisait sursauter. Pourtant, notre détermination à retrouver mon père était infinie.

Alors que nous explorions les couloirs, je repensais à la vidéo que m'avait montrée Eren. Les images de mon père en détresse m'obsédaient. Son visage fatigué et les marques de souffrance étaient une vision cauchemardesque que je ne pouvais pas oublier. C'était une image que je refusais d'accepter pour la réalité de mon père.

Kaïs semblait comprendre l'ampleur de ma préoccupation. Il me donna une étreinte réconfortante.

Kaïs : On va le trouver, Leya, je te le promets. Ton père est un homme fort, et il a besoin de nous maintenant.

Moi : Merci, Kaïs. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi et les autres.

Kaïs : Tu n'as pas à le savoir. On est une équipe, et rien ne pourra nous séparer.

Nous poursuivîmes notre recherche avec une nouvelle détermination. L'usine semblait un véritable labyrinthe, mais nous n'allions pas abandonner. Chaque porte, chaque recoin sombre que nous explorions nous rapprochait un peu plus de la vérité. Mon père dépendait de notre courage et de notre persévérance, et nous ne le laisserions pas tomber.

Alors que nous avancions dans ce labyrinthe d'acier et de béton, un étrange bruit se fit entendre. Un léger grincement, suivi de murmures à peine audibles. Nous nous sommes figés, nos lampes de poche pointées vers la direction du son. La tension montait à nouveau, car nous ne savions pas à quoi nous avions affaire.

Moi : Tu as entendu ça ?

Kaïs : Ouais. Reste derrière moi.

Nous nous sommes approchés lentement, notre vigilance à son comble. Plus nous avancions, plus les murmures semblaient se rapprocher. C'était comme si l'usine elle-même murmurait des secrets que nous étions sur le point de découvrir.

Alors que nous avancions, les murmures se firent plus distincts. On aurait dit des voix chuchotantes, mais nous ne pouvions pas comprendre ce qu'elles disaient. Les ombres semblaient danser autour de nous, créant une atmosphère de plus en plus angoissante.

Et bah nan c'était ses mongoliens, Zaïm et Nahël

Zaïm : Mais ferme ta gueule cette endroit il est jnouner c'est pas possible

Nahël : vzy ouvre la bouche et souffle ptetre ton odeur de shlag ça les fera fuir

Zaïm : Ptdrr kestu parle c'est toi ljoun

Nahël : Ahhh c'est bon j'ai compris pourquoi les bruits nous suivent,

Zaïm : Pourquoi ?

Amour ou Amitié : Deux Chemins, Un DestinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant