Découverte, plus loin que l'horizon.
Au bout du tunnel,
j'imagine encore parfois nos rires entre deux rayons d'épicerie,
Au bout vers la lumière,
Parfois, j'attache mes souliers et un flash de mes cris dans la nuit s'entend.
Oh oui, il m'arrive encore, parfois d'agir avec insécurités,
j'ai encore peur que le bonheur se transforme en douleur.Au bout, où la lumière semble jaillir,
j'ai du mal à voir se qu'il en sera de moi.
Si j'abandonne cette douleur, cet écrasement jaillissant sang et salive,
si j'abandonne cette douleur, serais-je encore poétique?Loin, vers l'horizon,
je me surprend rire,
sourire. aimer.
Loin dans cette plaine,
ou le soleil se lève, il n'y existe plus de dawn,
celui où la nuit arriverait,
accompagnée de tes sermons, de tes coups de couteaux,
de mes douleurs infaillibles.
Loin vers l'horizon,
je me tiens la main.
Alors que je voyais en tunnel vision,
pendant si longtemps,
mon champ de vue s'agrandit,
mes pensées sont d'un flot infinies,
mes désirs fleurissent,
le soleil me caresse de sa chaleur d'été,
alors que je suis encore en février.
alors que je ne voyais,
alors que je m'étais crever les yeux pour ta gouverne,
pour ton empire.
j'avais oubliée que ma royauté était magnifique.
Au bout du tunnel,
mes vêtements recouvert de sang,
une ombre me tendit la main,
Au bout du tunnel,
un visage au trait soyeux ravivait ma faim,
toute petite,
si fragile,
on aurait pu la briser en quatre,
on aurait pu la détruire qu'a son allure.
Une figure si magnifique me tendit la main,
une enfant, au visage de milles feux.
un visage cramant la terre entière, sa surface en était brûlée,
sa puissance, sa pureté, aucunement comparable au pécheur de cette terre.
Au bout du tunnel une jeune fillette me tendit sa main douce et naïve.
Elle portait les cheveux si court, d'un brun pâle.
ses yeux brillaient, reflétant le cosmos lointain, celui oublier de l'homme.
Alors que je lui prit la main,
alors qu'elle prit la mienne couverte de sang séché,
sûrement de mes anciennes batailles du passé,
d'un regard foudroyant,
dans un éclat du temps,
"Que devenons nous dans le futur?"
Je ne su répondre à cette question,
alors que je croyais avoir toucher le fond,
comment aurais-je pu savoir.
comment aurais-je pu donner une réponse sans même percevoir.
De l'autre bout du tunnel,
La lumière régnait,
l'obscurité se perdait,
d'un balancement dit parfait,
Quelque chose que je croyait fantaisie.
J'eu le temps de tenter de mettre en garde cette jeune moi,
j'ai tenté si fort de la prévenir du futur.
elle ne répondit même pas une seule fois,
regardant devant elle,
Elle semblait m'écouter gueuler mes mise en gardes.
elle tenait mes deux doigts externe de sa petite main,
elle les tenait si fort.
Qu'elle s'étampa un peu de mes blessures et de mon sang.
d'un silence régnant :
"Pourquoi ne me réponds-tu pas?"
elle tourna la tête,
me fixa ;
"Tu n'as pas compris. je l'ai ai vécues toutes ces choses. j'ai toujours été avec toi."
"Tu as toujours été là?" , alors que les larmes suppliait de se verser.
"oui." , d'un ton si doux et paisible.
"il n'est pas question de me prévenir du futur douloureux ici Krys" dit-elle.
"Alors de quoi est-il question?"
Un sourire pur, comme l'enfant qu'elle était apparue,
Une larme de joie fendue,
elle enlaça se qu'il me restait de mes membres inférieurs,
s'agglomérant à mes cicatrices,
s'enlaçant à mes vêtements sales,
tâcher de sang,
tâcher de terre.
Elle enlaça cette partie de moi,
cette partie qui avait survécus la mort.
Qui avait survécue la guerre.
Elle aima cette partie qui désirait crever.
"Il n'est question que de s'aimer enfin Krystelle."
D'un silence, qui régna pour l'éternité, elle me chuchota :
"Laisse la nuit arriver"
"D'accord", dis-je.
Alors que les étoiles filantes jaillissaient au dessus de nos corps en symbiose,
la lune apparaissait, brillant tel un diamant,
Je laissa enfin la nuit arriver, je la laissa vivre.
M'écrouant par terre, maintenant à genou,
je laissa cette jeune moi s'endormir sur mon corps,
en lui chantant la plus belle des lullaby,
il était enfin le temps de devenir une femme.
m'écroulant devant une pluie de météore,
dans ce monde parfait,
elle s'endormît,
sachant qu'elle serait toujours en sécurité avec moi.
En guise d'adieu,
il ne restait qu'a verser une dernière larme congelé,
dans cette nuit que j'avais enfin laissé respirer.
En guise d'adieu,
il ne restait qu'a mourir là,
tout les deux.
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Am Ende gibt es keine. Es gibt nur Hoffnung.
PoetryAm Ende gibt es keine. Es gibt nur Hoffnung. . [In the end there is none. There is only hope.] What to wait from the future, in the end of it all, the void : we are strangers of what would be waiting above us. To understand what we can't, to fill ou...