Il m'a bloqué,
Non je ne parle pas de lui qui m'a récemment aimé,
Je parle du diable,
Je parle du mal lui même,
Celui qui me tenait entre ces doigts,
Bien fermé, bien serré,
J'en ai encore des petites marques rouges.
Il m'a bloqué,
Ma parole libre,
Il est de ce dire, que de savoir ce que j'ai avouée,
Aurait pus le traumatiser.
Et je sais c'est « random »,
Des mois plus tard,
Percer un trou dans ce dôme,
Celui de mon traumatisme.Des mois plus tard,
Elle ne t'a jamais réellement fait confiance,
Quand tu y penses,
Elle avait peur que tu la trouve hideuse,
Elle te l'a caché pour garde une relation heureuse,
À coût d'en pourrir de l'intérieur,
Elle te regardait dans les yeux,
Oui,
Elle te regardait. Et son cœur criait :
« Il va comprendre »
Mais le diable n'aurait pas compris,
Il l'aurait traité de salope,
Se disait la voix dans sa tête,
Toutes ces paroles l'arrête,
À s'en noyer dans son propre cortex.Il m'a bloqué,
Il t'a bloqué,
Est-ce un signe que ta parole,
Secoue les montagnes,
Jusqu'en Italie?
Que les tremblements de terres,
Sont ainsi parce que ta voix se transmet d'un écran à l'autre?
Des mots sur un papier,
Des rimes mal prononcées,
Des films passant dans nos têtes,
Je ferme les yeux et je te vois.
Je ferme les yeux et notre relation m'apparaît.
Le passé j'y est resté trop collé.
Mais tu as bloqué ma parole libre,
Quand tu as réalisé que je n'étais pas fragile comme la fibre.
Oh non Tu m'as bloqué.Et j'essaie de me mettre à ta place,
Mais je n'y parvient pas.
La douleur prend trop de place.
Il a fait trois mois de cela, environ,
Je pouvais acclamer être tienne.
Acclamer que tu étais mienne.
Quelle blague,
Dans ce nouveau matelas.Et j'essaie de me mettre à ta place,
Tu devais m'effacer,
Bloquer mes paroles, moi, la pensé de mon visage,
Tu devais,
Quelle blague,
Alors que le matin,
Étoile dans le ciel, je pense à toi.Et la nuit, je reste immobile,
Je les fixe en priant que nous les regardons.
Et je te parle,
Je suis folle,
Je parle aux étoiles,
Quelle blague : je ne peux me mettre à ta place.
Parce que tu ne t'es jamais mis à la mienne.Égoïste de l'égoïsme : nous sommes deux.
Criant que nous saignons plus qu'autrui,
Égoïsme, nous avons déclaré la mort du romantisme,
Fermant les yeux sur le cosmos,
Le vent sec nous brûle.La neige déposée, nous ne pouvons ressentir l'empathie,
À nos pieds, le sang rouge tapissant un lit.
On ne s'entend plus,
À crier, acclamant être l'être le moins aimé,
Celui souffrant.Dague plantée fermement,
Je t'embrasse alors que tu me tues,
Soleil brûlant, brûlure chimique,
Je meurt de ton regard pathétique.Égoïste, nous avons été.
Simplement pour finir par voir :
Qu'on savait mutuellement bloqué.
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Am Ende gibt es keine. Es gibt nur Hoffnung.
PoetryAm Ende gibt es keine. Es gibt nur Hoffnung. . [In the end there is none. There is only hope.] What to wait from the future, in the end of it all, the void : we are strangers of what would be waiting above us. To understand what we can't, to fill ou...