Oh je t'écris dans ma langue,
Celle de mon pays,
Du tiens.
Pas celle de notre pays encore,
L'autre language, magnifique en soi,
Mais n'étant pas naissant chez moi.
Oh je t'écris une lettre avec la langue de l'amour,
Serait-elle nuancer et embellir mes mots.Oh, toi, je t'écris dans la langue des amoureux,
Celle qui a inventé les mots doux,
Et les mots compliqués,
Ceux pouvant exprimer,
Décrire,
Les sentiments que je vis pour toi,
Ceux que j'aie vécue,
Ceux que je vie.
Et d'une joie immense,
L'amour fait taire une certaine carence.
Oh, mais toi, que la vie est paisible.
Que la vie semble vivable.
Praticable.Est-ce perspicace si je t'exprime mes sentiments,
Ceux au fond de mes poches,
Entre deux-trois vingt-cinq sous,
Ils n'ont pas eu le temps de rouiller,
Entre chaque souffle,
J'espère qu'ils auront le temps de devenir orange cramé,
Exprimant le temps passant,
Sans que rien ne change entre nous, espérant.De mes lessons de vie,
Mes erreurs, disons-le comme il se doit,
Elles existent, je l'es accepte,
De ces journées où mon aventure semblait morose,
De mes apprentissages,
Je peux dire que je me sens bien avec toi,
Oh, je peux dire que les rayons me frôle les joues,
La chaleur du ciel embellie ma peau,
Et de toute ta vitamine D,
Patmentir, j'me sens un peu fêlée,
Dans le meilleur assemblé.Je n'ai jamais écris beaucoup de lettre d'amour,
Jadis, je t'aurais écris sur mes pensées,
Abuse, j'aurais décrit mes douleurs.
Une poète, une écrivaine morose.
Je n'ai jamais écris une tonne sur être aimé,
Mais je peux enfin dire,
Que je m'y sens bien d'en écrire une lettre d'amour,
Depuis longtemps,
Jamais je ne me suis sentie aussi bien,
Que d'écrire sur le bonheur instant,
Celui que tu m'apportes,
Celui que tu ne contrôle même pas.Et si tu es les saisons, alors que les aimes tous.
Tu es l'été, la chaleur ressentie,
Les feuilles vertes,
En santé.
Tu es le vent caressant mes cheveux,
Me chuchotant des merveilles aux oreilles,
Entouré de grillons, tes mélodies sont inoubliables,
On n'attend que ton retour,
Entre chaque saisons.
Tu es la chaleur réconfortante, le soleil rêve d'être toi.
Tu es les tisons volant dans le ciel étoilé,
Celui accompagnant comme un âme sœur les lucioles,
Oh tu es un souvenir bon,
Celui qu'on voit en fermant les yeux.Tu es l'automne,
Son réconfort dans les changements de température,
Ton visage de mille couleurs,
Émerveillant les paysages,
Tu les dessines tel le meilleur artiste.
Tes marches sont inoubliables,
D'une respiration,
L'air rafraîchissant remplie mes poumons.
Tu es le confort d'être chez soi,
De se sentir à la maison,
Sans posséder cette saison,
Sans posséder quoi que ce soit, tu nous rappelle le confort, l'émerveillement, le bonheur, les nuits longues,
Remplies d'étoiles,
Entourant le ciel d'une lueur.Tu es l'hiver,
Un froid rafraîchissant, un doux,
Celui où les flocons tombent lentement dans une nuit paisible.
Tu nous rappelles la beauté même dans les choses auxquels la plupart des gens n'aime pas.
Oh tu me rappelles comment tu es unique,
Personne ne peut te recréer.
Tu es la fin d'un cycle, tu es une finalité,
Tu dois arriver, nous devons accepter tes vérités.
Tu es le froid. Celui que je ne craint plus.
Tu es l'amour. Celui que j'accepte, comme l'on doit accepter que les tempêtes arriveront.Tu es le printemps,
Tu es la nouveauté,
Celle qu'on oublie, qu'on redécouvre,
Qui nous émerveille à nouveaux.
Tu es le printemps,
Tu es la fleuraisons d'un nouvel amour pour la nature,
Tu es les bourgeons dans les arbres,
Les bouffées florales,
Celle enjolivant nos sorties.
Tu es la renaissance, le fraîcheur que tu reviens,
La nature entière t'accompagne,
Les abeilles t'aiment, tel comme elle,
Tu bourdonnes sur mes fleurs, prenant soin de leur donner toute l'amour auxquelles elles méritent.
Tel les pluies,
Tu nettoies le passé,
Tu nous rappelles d'apprécier les journées au lac,
Celles où pendant le printemps nos jambes avaient le courage de tremper dans l'eau glaciale. Oh tu es le courage,
Celui de tenter des choses juste avant l'été.Tu es les saisons,
Tu es le cycle de la vie,
Et ton visage est dessiné par la nature,
Tu existe, tu es la,
Alors que ton âme est nul part, alors d'être partout.
Oh mais ton énergie transmets toutes ces émotions,
Celle d'attendre chaque saisons,
Et de l'accueillir à son retour.Tu es la nature,
Tu en est autant pure.
De tes mots,
Ceux sortant de ta bouche,
Des phrases de dessinent par dessus ton être,
Des mots embellis par ta voix,
Celle que personne ne serai remplacé.De ton lit,
Accolade,
Nos âmes dansent ensemble.
Je te sers,
Mais mon corps demande d'être encore plus près.
De tes baisés,
Nos salives se rencontrent,
Elles s'aiment déjà.
De tes regards,
Tu transperce mon âme,
Et tu la lis,
Tel les livres que tu adores.
Oh, de ton lit,
J'ai cru vivre un éternité.Le soleil a su se coucher,
Il a donné vie à la lune,
Tel que nous sommes
Alors nous sommes éclipse,
Un événement rare.
Et j'aime ta chaleur,
Ton réconfort,
Ton rayonnement.
J'espère que tu sauras aimé mon reflet,
Mon bleu dans la nuit,
Celui qui accompagne les astres,
J'espère que le soleil,
Celui grandiose,
Puissant,
Présent depuis l'éternité,
Celui qui s'endort pour me laisser vivre,
J'espère que ce soleil,
Saura aimer tout ce qui lui est contraire,
Contrairement, mais d'une si belle destiné.
Saura aimer la lune, celle qui, depuis toujours,
A adorée refléter de ses rayons.Je t'ai écris dans ma langue,
Dans celle qui pourrait être traduite,
In yours. So easily.
Je t'écris mes pensées,
Je t'écris une lettre d'amour,
Car il est juste que tu en connaisse mes sentiments.
Juste de connaître mes intentions.
Oh I've written to you.Je t'ai écris dans ma langue,
Because I know you understand it,
Because I know you don't despite it.
De nos langues,
Nous partagerons les mots les plus magnifiques,
Juste pour que l'éternité,
Realize it was Influenced by us.Mes lettres d'amours,
Marquées à l'infini.
Forever, and more.
À jamais.- Krys.
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Am Ende gibt es keine. Es gibt nur Hoffnung.
PoetryAm Ende gibt es keine. Es gibt nur Hoffnung. . [In the end there is none. There is only hope.] What to wait from the future, in the end of it all, the void : we are strangers of what would be waiting above us. To understand what we can't, to fill ou...