L'adaptation est animale.
Si nous sommes animales,
si nous sommes aimables?
Du genre, tame, du genre dociles, à secouer la tête,
sans en faire tout un plat.
Mais l'adaptation,
d'un nouveau décor,
d'un nouveau environnement,
à force on survit dans cette nouvelle jungle.
Aimer c'est souffrir,
C'est voir son coeur pourrir,
L'onction noir coulant des artères,
le muscle continue de pomper à terre.
Un coeur salit par la poussière du sol,
des rêves en envols,
Aimer c'est accepter.
Aimer c'est s'adapter.
et si la douleur s'opère,
qu'on s'incise au bistouri,
en y enlevant ce qui est mort,
évitant la douleur en prenant une gorgé de fort,
quelque chose de fucking fort.
Et si la douleur se procède,
elle coule dans nos veines,
jusqu'a ce que nos cellules l'élimine,
enfin pour de bon,
enfin, enlevant la douleur hors pairs.
Et si les feuilles changent de couleurs,
que les saisons ont une emprises sur le cycle de la vie,
que nos corps s'y tiens aussi,
que la mort survient, ainsi que la renaissance.
Que nos douleurs se pansent,
que nos corps s'y retiennent,
que les vents partent, et reviennent.
Alors, il est de nous de nous adapter à ces changements.
Vent dans les cheveux,
fixant la route.
J'ai enfin le présentement que je peux,
je peux enfin souffler sur le vent de la vie,
le laisser me caresser les pommettes,
m'embrasser de la tempe au menton,
me chuchoter que tout ira bien.
Mes follicules de cheveux me chatouillent derrière l'oreille,
mon corps sent tout ses poils se redresser,
il fait froid.
Un froid que j'aime,
un air exquis,
un air réinvestit,
dans un âme enfin acceptant la vie.
Dans un âme s'adaptant au changement,
guérissant des douleurs de jadis.
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Am Ende gibt es keine. Es gibt nur Hoffnung.
PuisiAm Ende gibt es keine. Es gibt nur Hoffnung. . [In the end there is none. There is only hope.] What to wait from the future, in the end of it all, the void : we are strangers of what would be waiting above us. To understand what we can't, to fill ou...
