Chapter eight- Wait !

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2008
Magdeburg, 6h57.

Ça fait une trentaine de minutes que je suis rentrée chez moi, une trentaine de minutes que j'écoute de la musique, et une trentaine de musique que ma mère dort.

D'accord elle dort mais d'habitude elle se réveille vers 6h00 et là il est bientôt 7h00, je trouve juste ça bizarre c'est tout.

Je descend mes escaliers le plus silencieusement possible pour ne pas réveiller maman et me dirige vers le canapé la où elle est allongée.

Je suis devant elle et son téléphone vient de recevoir un notification, je le prend délicatement et le déverrouille.

C'est un message d'un certain "Max" que je ne connais pas. Je vais sur la discussion et lis les messages inscrit.

Conversation, Max.

Max- Salut ma belle oublie pas de rappeller.

Max- T'étais bonne il faudrait se refaire ça.

Max- appelle quand tu peux j'ai très envie que tu reviennes et qu'on se refasse ça.

Max- Rejoins moi demain pour 18h00 si tu peux ma jolie 😘

Fin de la conversation avec Max.

C'est une blague la ? Ma mère au lieu d'aller au travail aller voir un homme du nom de Max pour faire du sport avec lui ?

J'avais envie de vomir, elle me dégoûte, tout me dégoûte. Je ne veux plus mettre un seul pied dans cette maison de porc.

Je pars de la pièce furieuse puis pris mon manteau et mes chaussures en n'oubliant pas mon téléphone à clapet et mon petit casque que je plaça sur mes oreilles.

Je sors à l'extérieur et marche. Je mets "Where is my mind" de Pixies et m'ambiance sur la musique, je la chantonne. Le vent frais fait danser mes mèches de cheveux ce qui ne me déplait pas.

Je marche sans savoir où aller, je ne fais pas attention à ça je veux juste me libérer l'esprit.

J'arrive dans une rue qui me semble familière, je continue de marcher dans cette rue et vois au loin une grande maison qui me semble familière aussi.

Je m'approche un peu plus de la maison pour mieux la distinguer et-

Non ne me dites pas que je suis devant la maison des Kaulitz ?!

Je baissa la tête lâchant un petit rire nerveux, quand je redresse la tête je remarque une personne en face de moi qui n'était pas là tout à l'heure. C'est Bill, je me perd quelques secondes dans ses yeux bruns et reviens à la réalité quand il me pose une drôle de question.

-Tu nous stalk ? Demande Bill sous l'ironie.

-Hein heu non pas du tout c'est juste que..

je perds mes moyens, je n'arrive plus à parler et réfléchie, ma gorge se noue et mes yeux deviennent humides.

Bill remarque que quelque chose ne va pas quand il voit que je n'ai plus le regard poser sur lui mais dans le vide avec des larmes qui coulent de mes yeux, j'ai fais l'erreur de cligner des yeux alors qu'ils étaient totalement mouillés.

AVANT QUE L'ON NE S'OUBLIE- Bill KaulitzOù les histoires vivent. Découvrez maintenant