Chapitre 12 : dès le premier regard.

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GENETECH ( L'entreprise où travaille Marie) accepta la demande de Marie. Elle était importante dans la société, mais comme elle n’avait pas l’habitude de prendre des congés, il serait donc plus judiciable de le lui en accorder. Là, Marie fut décidée. Elle voulait se concentrer totalement sur sa famille surtout pour son fils Souleymane. Désormais, elle décide de mettre en avance ses enfants qu’elle mettait en seconde plan au profit de son job. Désormais, ce fut elle qui alla au marché, fit le cuisine, lava les vaisselles, balaya la maison et les week-ends, elle amène les enfants quelque part, au parc, à la plage ou autres endroits. Elle a même acheté un phone pour Sally. Elle les autorisa à participer aux activités extra-scolaires ce qui ne fut pas le cas avant. Elle les a libérées carrément. Elle discutait avec elle, elle partageait même leur chambre pour dormir, tout semblait être parfaite.
Grâce à cette confiance que Marie leur accorda, les enfants se sont plus concentrés sur les études. Elles commencèrent à lire des livres et à faire des recherches pour élargir leurs cultures générales. Les choses redevinrent normales bon, pratiquement car, elle lui manquait son mari. Comment faire pour le récupérer à la fois de là où il est et des mains de sa nièce ? Elle lui arrivait de penser à la trahison d’Idi, mais elle préférait rester objective pour ne pas s’auto-faire du mal.
Depuis des semaines, elle n’a plus de nouvelles de son mari ni de sa sœur. Aicha l’a appelé seulement deux fois après leur arrivés aux USA. Mais, elle avait confiance à sa sœur, et si quelque chose de malheur arrivait, elle serait forcément au courant.
Cela fait plusieurs semaines qu’ils se sont rendus aux USA pour chercher les deux amoureux. Aicha, Zack et sa fille l’amie de Zara, Diarita. Depuis leur arrivés, Jefferson fut à leur côté. Il se sentait un peu coupable de la situation dont vivait son amie. Seulement, il n’avait pas le choix, c’était sa famille ou la famille de son amie. Ensembles, ils battent une campagne de recherche avec la police mais sans Zack. Il ne pouvait pas se permettre un tel privilège mais, il faisait la recherche à sa manière. Il faisait jouer son influence et ces contacts. Il a même engagé un détective privé pour qu’il fasse des investigations. Ils ont fait des affiches partout dans la ville. Non seulement ça, mais ils allèrent ensemble coin par coin avec des photos d’eux.
-   Je ne sais pas ce que je ferais si vous n’étiez pas là pour m’épauler, je suis vraiment reconnaissante pour cette aide gracieuse que vous m’apportez. Et je remercie Dieu de vous avoir mis sur mon chemin. Autour de la table à manger, Aicha remercia sa nouvelle famille qui faisait cette recherche leur propre affaires.
-   Non Mme ne soit pas ridicule. L’interrompu Zack c’est de ça sert une famille. Ça doit se serrer les coudes, quel que soit la situation. « Maman Aicha tu fais partie de notre famille, je te considère comme ma mère on fera tout pour les retrouver ha Papa ? »
-   Ho que oui, mais je pense qu’on s’y prend mal. Si on réfléchissait sur une autre possibilité mes dames ?
-   Je crois que ce sera l’activité la plus simple que j’eu à faire pendant ces derniers temps. Plaisanta Aicha.
-   Alors réfléchissons donc. Dit Diari « je le fait mal mais cette fois ci je vais essayer de battre mon propre record de réflexion. »
-   Qui aurait envie d’enlever quelqu’un que tu ne connais même pas ? S’interrogea Zack.
-   Non il les connait forcement ou l’un d’entre eux. Dit
Aicha.
-   J’appuis ma tente. Intervint Diari.
-   Mais qui cela doit être ici au SAN FRANCISCO Californie.
-   Californie t’as dit ? Diari coupa son père « mais comme je suis une idiote. Comment pouvais-je ne pas m’en douter ?
-   Soit plus expressive ma fille ? La questionna Zack. Aicha se contenta de les regarder en espérant entendre quelque chose de palpable.
-   Il avait un copain ici qui s’appelait Jean Adams.
-   Explique-toi qui est ce Jean Adams ?
- Elle n’a peut-t-être pas tort. Remarqua Aicha, « c’est le jeune homme avec qui elle sortait lors que nous vivions en Californie. »
-   Il m’a dit que Jean l’avait menacé en lui disant qu’il l’avait à l’œil, qu’il l’appartenait et je ne sais pas quoi d’autre.
-   Mais est ce que la police va ouvrir une enquête
seulement pour des spéculations ? demanda Zack
-   Il n’y a qu’une façon de le savoir. Dit Aicha et appela immédiatement le Lieutenant.
-   En attendant il nous faut autre chose pour appuyer nos allégations. Dit Zack
-   Comme quoi Papa tu veux dire quoi quand tu parles d’autre chose ?
-   Je ne sais pas moi mais où est l’ordinateur que t’avait trouvé ici l’autre jour à qui appartient-il d’ailleurs ?
Interrogea Zack.
- A Idi, il appartient à Idi mais lorsqu’on l’a trouvé il était éteint. Mais attendez, je la charge et après je verrai si je peux y extirper quelques choses.
Diari brancha le chargeur l’alluma et se concentra dessus. Heureusement pour elle l’ordi n’était pas codé.
Quelques instants plus tard, elle trouva quelque chose en regarda l’historique des derniers recherches d’idi. La dernière chose qu’Idi à chercher avait une liaison directe avec Jean. Elle appela sa tente et son père pour leur dire qu’il avait trouvé de quoi appuyer leur théorie
-   Si vous vous rappelez bien, Jeff avait dit qu’Idi lui a dit de faire attention si quelqu’un les cherchait, au quelque chose comme  ça.  Mais il avait dit aussi, qu’il ne lui avait pas révélé le nom donc, je crois que c’est  ça.  Si on lui donne notre théorie et ça comme appuie, je crois qu’ils ouvriront une enquête de plus ils n’ont pas vraiment le choix depuis lors, leurs recherches n’ont rien donné. Aicha remercia Diari en lui complimentant « tu pourrais faire une bonne détective privée toi »
-   En parlant de détective je vais appeler le mien pour lui donner cette piste avant que les policiers n’arrivent.
Aicha appela Jefferson et Diari continua les recherches sur Adams busines.
Quelques minutes plus tard, la police arriva c’était le même lieutenant de la première fois. Seulement, les fois suivantes, il était occupé par d’autres dossiers plus anciens. Il sonna deux fois. Diari l’ouvra. Le lieutenant fut ébloui par la beauté de la demoiselle dès son premier regard. Il resta la, sans réagir. « Bonsoir entrez j’imagine que c’est vous qu’ils ont envoyé aujourd’hui » dit-elle. Sur ce, il reprit connaissance et répondit.
- En fait je pensais que je me suis trompe d’adresse. Ainsi il inventa un prétexte pour se faire désirer. Il entra, et se dirigea directement vers le salon.
-   On dirait que ce n’est pas votre première fois. Lui dit Diari
-   Ma première fois quoi, ou vous ne parlez pas de moi ?
-   La première fois que vous veniez ici.
-   En ok vous avez raison c’est pour cela que j’ai cru m’avoir être trompé, par ce que l’autre fois vous n’étiez pas là. Dès qu’Aicha les a vu, elle leur fit signe de rentrer.
-   Prenez place, vous buvez quoi café, du the ?
-   De l’eau ça ira. Diari se leva et alla lui chercher de l’eau avec son compagnon.
-   Nous sommes désolés il fait tard mais je crois que cette fois ci nous avons quelques choses. Lui dit Zack après l’avoir donné la main.
-   Non ce n’est rien c’est notre job c’est normal. De plus on l’habitude de faire ce genre de visite. Se venta-t-il devant
Diari qui venait d’arriver de la cuisine. « Alors que se passe-t-il ? Il parait qu’y a du nouveau. »
-   Comme je l’ai expliqué par téléphone, dit Aicha, on pense que quelqu’un nommé Jean Adams est impliqué. On a trouvé des factures de son magasin dans la maison.
Et lors que nous avons regardé l’ordinateur on a constaté que la dernière recherche d’Idi le concernait.
Non seulement ça, mais aussi le plus important, Jean et Zara avait une aventure lors que nous vivions ici et ça ne s’est pas bien terminé. Diari aussi lui a raconté l’histoire entre les deux.
-   Jean Adams bien sûr encore lui, pourquoi ça ne m’étonne pas ?
-   Ah vous le connaissez ? lui demanda Diari « c’est comment d’ailleurs ? »
-   Moi c’est Archibald mais vous pouvez m’appeler Archi et oui je le connais il revient souvent dans nos investigations. Ainsi leur discussion continua. Diari lui raconta tout ce qu’elles savaient.
-   Ce n’est pas beaucoup, mais c’est suffisant pour monter un dossier. Je vais en faire mon affaire. Il se leva et s’apprêta à partir.
-   Diari accompagne les, dit Zack. Elle se leva et l’accompagna jusqu’à la porte.
-   Nous comptons beaucoup sur vous lieutenant.
-   C’est Archi et ne vous inquiétez pas je ferais tout ce qu’est dans mon pouvoir pour les retrouver.
-   D’accord Archi à bientôt alors. Elle lui tendant la main.
-   J’espère que l’on se reverra très vite. Il prit sa main l’embrassa tout en la regarda direct dans les yeux. Elle ferma la porte et rejoignit les grands qui était en train de discuter de comment le policier la regardait « ce n’est pas mon type » dit-elle.
-   Ecoute là c’est ce que toutes les filles disent pour la première fois si elles sont intéressées.
- Je vais dans ma chambre. Dit-elle.
- Ah déjà, il te manque déjà tu l’appelles ?
- Appelle qui ?
-   Pourtant il vient de partir tu pouvais lui demander de rester un peu je suis sûr qu’il n’y trouva pas d’inconvénient.
-   Papa !! Elle le regarda avec mépris, sourit et parti.
-   Laisse là elle n’est pas intéressée dit Aicha en haute voix pour que Diari puisse entendre.
-   T’as tout compris ma tente, la répondit elle de la même manière et ferma sa porte. Aicha se leva pour mettre un peu de l’ordre sur la maison qu’ils avaient saccagé en cherchant de quoi impliquer jean.
Au lieu de dormir Diarita utilisa ces compétences en informatique pour faire des recherches sur Jean et Adams business. Son père lui avait poussé à faire des études d’informatiques malgré elle, il savait que tôt ou tard elle en aura besoin. Plus elle suivait les cours, plus elle appréciait. Elle approfondit ces recherches jusqu’à avoir accès aux serveurs de l’une des magazines de Jean. Il regarda les vidéos de surveillances pour trouver quelque chose mais en vain. Diari était fatiguée cela faisait plus de trois heures de temps qu’Aicha la rejoignit dans la chambre. Elle effaça ces traces et ferma l’ordinateur.
Plusieurs semaines que Zara n’a pas vu Idi. On l’a fait loger dans un hôtel de 5 étoiles. Dedans, se trouvait tout ce qu’elle voulait. Elle avait à la fois une bonne et un médecin qui venait la rendre visite de temps en autre pour voir comment évaluait sa grossesse. Ça semblait a une liberté mais il n’en était pas une. Car, si ce n’était pas les menaces de Jean, elle serait déjà partie pour chercher de l’aide. Mais Jean lui avait dit de rester tranquille contre la vie de d’Idi « si tu tiens à la vie de ton mari tu resteras tranquille sinon tu ne le verras jamais, j’espère que tu m’as bien entendu. » Zara resta muette. Il essaya de la toucha, Zara le gifla de toute ses forces. Jean toucha son tronche et parti sans rien dire. Elle s’assoie sur le lit et pleura en caressant son ventre. Contre toute attente, Diana rentra dans l’appartement avec des bagages. Dès que Zara l’a vu, elle essuya ses larmes et ferma son visage.
-   Bonjour Zara comment tu vas ? La salua-t-elle. Zara ne lui donna aucune chance. « C’est pour toi, je crois que t’en ai besoin » elle resta toujours sans voix. « Bon je m’en vais » dit-elle et parti. Zara s’allongea sur le lit, regarda le plant fond et se demanda ce qu’elle allait faire. Est-ce que je dois le dénoncer ? Ou dois-je accepter son offre contre mon silence ? Que va-t-il devenir ? Ou moi qu’est-ce que je vais devenir ? Et mon enfant dans tout ça ? Ainsi elle s’est remise en question. Elle savait plus quoi faire. Elle était complétement submergée dans un tunnel ténébreux.
-   Patron qu’est-ce qu’on va faire de celui-là ? Le demanda un gardien devant l’entre pot où se trouvait Idi.
-   Laissez-le là un peu, j’ai besoin de lui pour le moment si
Zara sait qu’il n’est plus là, elle n’aura plus de raison pour rester tranquille. Faites ce que je vous dis et arrêtez de poser des questions.
-   Entendu patron
-   Ouvrez la porte. Dit Jean le gardien se précipita et ouvra la porte. Jean rentra, ce dirigea directement vers Idi qui venait de se réveiller à cause de la porte qui bruissait. Il avait du mal à distinguer qui c’était à cause des rayonnements du soleil. Mais dès qu’il a su qui c’était, il lui demanda « où est Zara comment elle va ? J’espère que vous ne lui avait pas fait du mal ? » c’est la première fois qu’il vit Jean depuis des semaines.
-   Si oui !! Vous ferez quoi ? Le coupa Jean.
-   Je te jure que je vous tue de mes propres mains.
-   Vous n’avez pas à vous inquiéter, elle va bien. On prend soin d’elle et vous devez la remercier. C’est elle qui vous tient en vie. Vous voyez je ne suis pas si méchant que  ça.  Ironisa-t-il
-   Franchement mais vous n’êtes pas drôle. Que me voulez- vous ? Pourquoi vous me retenez ici ?
-   Vous aussi, vous êtes plus intelligent que ça, vous êtes ma garantie pour que Zara fait tout ce que je lui demande, je dis bien tout.
-   Je suis sûr que vous mentez, Zara ne se laissera pas faire si facilement. Au cas où vous ne le savez pas elle a beaucoup changé. Elle n’est plus la gamine que vous avez connue et manipulée dans les temps espèce de pourriture. Jean sorti son phone, pris des photos et des vidéo pendant qu’Idi lui parlait de tout et de rien. Il était en colère. Car, quelque part en lui il croyait ce que Jean lui a dit et l’idée que Jean touche Zara lui était insupportable. Idi était fort physiquement et mentalement. Mais cela fait des semaines qu’il est complétement isolé du monde extérieur, sauf les rayons du soleil qui rentraient de temps en temps quand on ouvrait la porte.
Ayant marre à écouter Idi, jean se leva pour partir.
-   Finissons en une bonne fois pour toute voulez-vous ? dit
Idi désespérément. Jean le regarda et sorti sans prononcer un mot.
-   Mais putain où allez-vous je vous dis que l’on en finisse c’est à vous que je parle. Sur ce, on ferma la porte brusquement et tout redevient sombre, aussi sombre que sa vie ou la vie de sa famille.
Jean rentra à sa maison. Il vivait seul, bon pas totalement, par ce que y avait les gardes et Diana qui passait la plupart de son temps là-bas. Ils vivaient pratiquement ensemble, comme un couple normal, ce qui était loin d’être le cas.  Ils sont assis devant la télévision dans la salle sur un canapé. Ils suivaient les informations. Sur les mains du Diana, y avait du popcorn qu’elle grignotait tranquillement. D’un coup, le téléphone de Jean sonna, le numéro lui était inconnu, mais il décrocha
« allo » dit-il
-   Ici le lieutenant Archibald de la police de San Francisco
Californie j’aimerais parler avec Jean Adams.
-   C’est encore vous, que me voulez-vous cette fois ci ?
-   On a besoins de vous sur une enquête en cours.
-   Enquête en cours, répéta-Jean. En quoi votre enquête en cours me concerne-t-il ?
-   Passez quand vous serez libre, le plutôt serait le mieux et on en discutera ensemble.
-   Evidemment que je passerai, sur ce, il coupa le phone et le lança sur le canapé.
-   Que se passe-t-il ? Qui était à l’appareil ? Le demanda
Diana.
- Ce connard de lieutenant fou, il veut que je passe demain au commissariat. Diana le regarda un moment et lui dit «  je suis sûre que tu penses à ce que je pense »
-   Quoi !! Non ça ne peut pas être  ça.  Je suis sûr que ce n’est pas quelque chose de grave.
-   Tu connais le lieutenant non, il ne t’appellerait pas si ce n’était pas important.
- Je sais et je n’ai plus envie de parler de ça tu veux bien.
- Je veux juste que tu te prépares à tous les possibilités.
Jean comme d’habitude s’il veut étouffer une conversation il se tait. Diana se leva, lança le paquet de popcorn et se dirigea vers la chambre. Jean la regarda un moment et continua ses infos.
De son coté, Diari continua de faire ces recherches. Elle trouva d’autre chose que ce qui la concernait. Il y passait maintenant toute sa journée. Elle se disait qu’elle finira forcement par trouver quelque chose qui concernait Zara. Quant à Aicha, elle se rapprochait de plus en plus de Zack. Elle vivait des moments difficiles, c’était Zara qui la tenait compagnie, mais comme elle n’était pas là y aura naturellement un vide en elle, et ce vide-là, c’est Zack qui le comblait. Parfois, elle appela le lieutenant pour demander où en était-il concernant l’enquête.
Le lieutenant en avait marre, mais c’était son job. De plus il avait d’autre raison pour prioriser cette affaire. Il ne l’a vu qu’une fois mais il pensait à elle fréquemment. Archi que ses camarades appelaient ‘’ commando’’ les femmes le suivaient partout mais il registrait. Il avait une règle qui disait « les sentiments nous rendent vulnérable et cette faiblesse nous empêche de faire notre blot correctement » il s’en moquait carrément. Cependant, dès qu’il a vu Diari, rien d’autre n’avait de l’importance. Désormais, y a plus de règle, tout ce qu’il voulait c’est d’être avec elle et c’est tout. Un jour il appela à la maison, il ne savait même pas quoi dire si quelqu’un d’autre que Diari répondait. Mais comme c’était son jour de chance, elle tomba sur la bonne personne. Diari décrocha mais ne dit rien, lui non plus. D’un coup, elle engagea la conversation « qu’est-ce ? » dit-elle
-   Désolé Mlle je priais pour que ça soit vous qui allait répondre. Le taquina-t-il.
-   Il semblerait que vos prières sont exhaussées qui êtes- vous ? Elle doutait que s’était lui.
-   C’est Archibald le lieutenant de police qui gère l’enquête des Zara c’est moi qui suis venu à la maison la fois passée… ainsi, il enchaina les mots il était nerveux.
-   Vous en avez mis du temps. Lui dit-elle.
-   C’est qu’on n’avait pas beaucoup de preuve il fallait que,,,
- Je ne parle pas de l’enquête.
- Vous parlez de quoi donc ?
-   De l’appelle, Je parlais le fait que vous en avez mis du temps pour appeler. Sur ce, il raccrocha le téléphone. Il était dépassé, il ne savait pas quoi faire de ces genres de situation, il ne s’attendait pas à ça, mais alors pas du tout. Il hurla « yes » il soupira, repris son esprit et rappela. Diari décrocha dès que le téléphone s’est mis à résonner. Elle savait ce qui se passait, pourquoi il a raccroché et surtout le fait qu’il allait rappeler. De ce fait, elle ne s’était pas éloignée du téléphone
-   Putain mais qu’est ce qui se passe ? Qu’est-ce que vous me faites là ? Je ne m’attendais pas à ça vraiment. Vous voulez que je fuie ou quoi ?
-   Tout d’abord vous allez arrêter de me vouvoyer et si vous avez de quoi écrire, je vous donne mon numéro personnel. Archi se précipita pour trouver de quoi noter.
-   Je vous écoute, bon désoler je t’écoute. Elle lui donne le numéro et raccrocha le téléphone.
-   Qui était à l’appareil Diari ? le demanda son père. Elle hésita un peu et lâcha le morceau.
-   C’était Archi Papa.
-   Qu’est Archi d’ailleurs ?
-   C’est le policier qui s’occupe de l’enquête. Intervient
Aicha. Avant de répondre à la question de son père son téléphone sonna elle s’est dépêchée à répondre et fila vers sa chambre, tout en évitant les commentaires de son vieux. C’était toujours Archi, ils parlèrent pendant des heures. A cette même occasion, ils se donnèrent rendez- vous qui aura lieu quand tout cela sera fini.
Le lendemain matin un autre jour commença pour Archi. Il arriva au travail avec une humeur étonnante. Dès son rentré au poste, il taquina tout le monde, ce qui ne fut pas le cas d’habitude. Quand il arrivait, naturellement il saluait les gens et rentrait dans son bureau. Ce n’était pas quelque chose d’appréciable dans la vie d’une collectivité mais venant de lui, ils en avaient l’habitude. Mais Cette fois ci, c’était diffèrent. L’enthousiasme et les plaisanteries tout était au rendez-vous. L’une de ses camarades se rapprocha de lui et lui demanda discrètement que leur valait cet humour inhabituel.
- N’ai-je pas le droit d’être en bonne humeur Mlle Maric, n’ai-je pas le droit ?
dit-il en la tapa sur son épaule. « Todo esta bien, senorita todo esta bien » continua-t-il en se dirigeant vers son bureau.
« Et comment tu vas toi ?»
-   Bah apparemment pas aussi bien que toi dit-moi ton secret.
-   Qui moi, un secret ? Pourquoi en aurais-je ? Toi aussi tu me connais mieux que  ça.
-   C’est effectivement pour ça que je te le demande par ce que ça c’est tout nouveau.
-   Non ça se voyait donc si que ça ? Sur ce, on heurta la porte. Et quelqu’un vint lui dire que Jean était là. « Si tôt ? dit lui de rentrer » Jean entra avec un air détendu.
Il ne savait pas ce qui allait se passer mais il garda toujours son calme, même si Diana avait orienté son esprit vers l’affaire de Zara.
-   Mr Adams venez donc, rentrez, prenez place je vous prie.
Ainsi Archi accueilli jean avec respect.
-   Bon comme vous le savez déjà je suis du genre très occupé mais avec la loi, je suis toujours dispo. Alors que puis-je faire pour vous. Jean entama ainsi la discussion.
-   Mlle Maric donne-moi un peu de temps après nous continuons notre discussion tu veux bien ?
-   A vos ordres, dit-elle et sorti sur le champ.
-   Mr Adams désolé pour le désagrément je vais être bref.
Dit-il après que la demoiselle soit sortie. « Connaissez- vous cet homme ? » Il lui tend une photo d’Idi. Jean hésita un peu et lui dit « pourquoi je devrais-je ? Fait voir. » Il prit la photo d’Idi, la regarda un peu « mais quel bel homme non ! Je ne le connais pas » « c’est le mari de cette femme. » Archi lui tend une photo de Zara. Dès qu’il a vu la photo de Zara, il sursauta, et demeura pensif pendant un bon moment il avait l’air étonné il faisait comme s’il ne l’avait pas vu depuis longtemps.
-   Elle, Dit-il et se tut.
-   Elle quoi ? Vous la connaissez ?
-   Evidemment que je la connais, elle fut l’amour de ma vie jadis. Lieutenant, que lui arrive-t-elle dites-moi qu’elle va bien s’il vous plait.
-   ça, c’est à vous de me le dire Mr Adams.
-   Que je vous dis quoi soyez plus clair.
-   Nous avons des raisons de croire que c’est vous qui les a kidnappés elle et son mari.
-   Et pourquoi devrais-je faire cela kidnapper quelqu’un que je n’ai pas vu depuis des années. Lieutenant vous insultez mon intelligence et si la conversation est finie je voudrais m’en aller, au moins que vous avez des preuves pour me retenir Ici. Il attendit un peu le lieutenant n’a pas répondit et il dit « c’est ce que je pensais »
-   Nous en avons fini, je sais tout ce que je voulais savoir merci pour votre compréhension.
-  J’espère que la prochaine fois que vous me dérangez ce serait vraiment pour une bonne raison.
-   Je vous ai convoqué par ce que je pensais qu’avec la loi vous étiez toujours dispo.
-   Certes, mais pas de cette manière. Mine d’être furieux, il tourna le dos et parti.
-   J’ai l’impression que l’on se reverra très bientôt Mr
Adams. Dit-il sans réponse. Dès que Jean sorti la demoiselle rentra de nouveau dans le bureau.
-   Alors il a fait apparaitre quelque chose ? Lui demandât- elle.
-   Crois-moi il m’a donné tout ce que je voulais savoir. Et toi j’espère que tu as fait le reste du job ?
-   Ho que oui je n’allais pas le rater pour rien au monde et s’est bien caché.
-   Cela va beaucoup nous aider. Mais dit ou en étions-nous d’ailleurs ?
-   On parlait de ton étrange bon humour. Elle le taquina. Mlle Maric aussi fait partie des victimes d’Archi. Elle avait du béguin pour lui. Elle voulait que quelque chose se passe entre eux, mais cela fait longtemps qu’elle s’est faite une idée.

Le congé de Marie ne restait plus grand-chose. Dans les jours qui viennent, elle reprendra le travail. Mais avant ça, elle s’est rendue dans la maison de Zal qui avait subi un accident un peu plus violent. Lorsqu’elle est arrivée, on lui a dit qu’il était artificiellement retenu en vie en hôpital. La triste mère de Zal l’invita à s’assoir. Marie la réconforta. Elle était choquée, mais voyant sa mère elle a tout dissimilée pour ne pas jeter de l’huile sur le feu. Quelques instants plus tard, elle demanda de quel hôpital était-il et elle s’y est rendue. Arrivée à l’hôpital, elle trouva Zal dans une situation critique. Il dormait profondément, on l’infligea tous sorts de fils qui sortait par tout dans sa corps. Il était aussi entouré de bandage là, on dirait qu’il lui a échappé d’elle. Marie ne pouvait pas se rapprocher de lui, ce n’était pas encore l’heure des
Visites, mais elle le voyait à travers une vitre. Elle demanda au docteur qui venait de sortir dans la salle comment il allait. « Priez pour lui son état est critique mais nous avons confiance » lui dit le docteur.
-   Mais il s’en sortira ?
-   Avec l’aide Dieu je crois que oui.
-   Docteur faites tout ce que vous pouvez sa famille compte sur lui.
-   Ne vous en faites pas, nous ferons tout ce que nous pouvons. Ainsi, Marie s’inquiéta pour Zal. Il était la moitié de d’Idi, il avait confiance en lui.
Aicha et sa famille continua vainement les recherches. La police aussi à son côté fait de son mieux mais en vain. Idi lui, continua de se battre pour ça liberté. Quant à Zara, elle vit une vie tranquillement mouvementée. Son ventre s’agrandit de jour en jour, mais elle était très bien suivie. Diarita et Archi deviennent de plus en plus proches. De temps en temps il venait à la maison pour des comptes rendus. C’était difficile pour eux malgré la balise GPS. Jean était prudent, la voiture avec laquelle il venait à la police, il ne l’a plus utilisée. Le lieutenant avait de quoi faire une enquête, mais pas de quoi l’inculper.

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Mlle Zara. Tome 1 : Quand L'amour dit Oui Où les histoires vivent. Découvrez maintenant